74% des nègres considèrent leur origine raciale comme fondamentale pour leur identité contre 15% pour les Blancs (Analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 avril 2019

Une étude récente réalisée par le Pew Research Center aux USA souligne l’extrême force du sentiment racial collectif chez les nègres tout comme sa prédominance chez les autres groupes raciaux, à l’exception des Blancs.

Pour 74% des nègres américains, leur race est « centrale pour leur identité ». 52% d’entre eux estiment qu’elle est « extrêmement importante » tandis que 22% estiment qu’elle est « très importante ».

Pour 54% des asiatiques, leur race est également « extrêmement » ou « très » importante dans la formation de leur identité.

Ce chiffre est de 59% chez les hispaniques.

Enfin – cela ne surprendra pas nos lecteurs -, seulement 15% des Blancs considèrent la race comme centrale pour leur identité.

L’indifférentisme racial, paradoxe du déterminisme racial blanc

Il faut observer, en tout premier lieu, qu’il s’agit d’une réponse subjective à une question. Une réponse subjective n’est pas une vérité objective.

Les Blancs y répondent massivement (85%) « non, pour moi, mon origine raciale n’est pas importante dans la formation de mon identité ».

Or le rejet de l’origine raciale comme élément majeur de l’identité est un sentiment spécifiquement blanc comme on le voit, les autres groupes affirmant très majoritairement l’inverse. C’est le paradoxe de la race blanche : le déterminisme blanc prédispose au rejet du déterminisme blanc. En dehors de la race blanche, cette croyance s’évapore.

L’aspect négatif de cette représentation collective chez les Blancs est que ces derniers ne se défendent donc pas en tant que groupe distinct des autres. C’est même considéré comme moralement inacceptable car socialement et historiquement régressif.

L’aspect positif est que les Blancs ont une tendance naturelle à vouloir dominer les autres groupes sans en avoir conscience puisqu’ils considèrent que ce qui vaut pour eux vaut pour les autres races et ils sont prêts, pour y parvenir, à mobiliser toute leur énergie afin d’imposer leurs valeurs à ces groupes.

C’est l’autre paradoxe blanc : la domination raciale blanche se fait au nom du dépassement – impossible – du facteur racial.

Les non-Blancs y voient une forme de domination hypocrite quand, en réalité, elle est de bonne foi.

Vous ne trouverez pour ainsi dire aucun Blanc pour dire que les Blancs doivent dominer les autres races. Vous trouverez en revanche une écrasante majorité de Blancs pour affirmer que la démocratie individualiste – la culture blanche implicite – doit être imposée à la planète entière. Mais cette écrasante majorité de Blancs n’y voient pas une forme d’oppression mais bien de libération puisqu’ils projettent sur les non-Blancs leur propre image, donc leurs propres attentes, sans s’en rendre compte.

Conscience raciale blanche post-impériale

Il y a ici un snobisme ouest-européen à l’oeuvre vis-à-vis de l’Amérique.

Chez les Français, les histoires d’état-nation et de littérature sont perçues comme autrement plus importantes que ces questions « vulgaires » voire odieuses, pour tout palais raffiné, de biologie raciale. Ce serait justifié si l’intégrité raciale de la France était assurée et que celle-ci pouvait donc se focaliser sur la production culturelle qui en découle. Mais les Français, engoncés dans ce qui leur sert de patriotisme, à savoir le narcissisme culturel de salon, en sont au dernier stade de la sénilité biologique. Victime de l’Alzheimer racial, ils ont perdu leur source de vie originelle qu’est l’instinct de conservation raciste, et préfèrent divaguer sur ce qui n’en sont que des conséquences comme la forme de l’état ou la « littérature ».

Le lien est d’ailleurs si évident que plus la France rejette sa mémoire raciale, plus le niveau de sa littérature s’effondre.

Fragilisés et tétanisés à l’idée de devoir se battre physiquement comme le laissent entendre les discussions racistes, ces Français tentent de convaincre des masses de jeunes allogènes agressifs, par le recours à un petit chantage moralisant de vieille dame, de l’intérêt qu’ils auraient à adopter leur culture.

Ce qui était jadis imposé hors de France par la force est aujourd’hui suggéré en France par la faiblesse. Mais le prisme universaliste reste le même.

Aux USA, un état plus jeune que la France, la race est, d’emblée, un paramètre historique beaucoup plus structurant qu’en Europe en termes identitaires où l’identité est d’abord structurée autour de la langue et des divisions ethno-nationales.

Il y a bien sûr eu des tensions entre Irlandais, Italiens et Anglo-saxons en Amérique, mais pas de manière durable. L’existence d’un état et d’une langue uniques et la proximité génétique effacent, en une ou deux génération(s), les différences ethno-culturelles entre Blancs aux USA.

C’est une évidence mais tant que les Blancs ne sont pas au contact d’autres races dans un même espace, aucune prise de conscience raciale ne peut avoir lieu, faute d’expérience. Prise de conscience raciale ne signifie d’ailleurs pas « racisme » mais intégration de la réalité de ce paramètre comme force structurant les groupes.

Contrairement aux USA, la conscience raciale blanche, comme phénomène de masse, est extrêmement nouveau en Europe. Il est concomitant à la colonisation de peuplement extra-européenne.

L’égoïsme racial chez les non-Blancs

Il est évident, au vu du comportement des nègres en France ou en Europe, qu’ils ne divergent pas de leurs congénères d’Amérique du Nord en termes de nationalisme racial.

Il est même très probable, du fait que les nègres d’Amérique ont tous, en petite quantité, du sang blanc, que les nègres colonisant l’Europe soient encore plus racistes que leurs congénères nord-américains.

Une étude américaine a démontré que les nègres manifestent plus d’empathie au plan émotionnel pour des nègres en difficulté que les Blancs pour des Blancs en difficulté. Selon cette étude, plus les nègres s’affirment racialement, plus ils ont d’empathie pour les autres nègres.

Dans cette étude, les Blancs, s’ils faisaient bien preuve d’empathie, ne témoignaient pas d’une empathie proportionnellement plus importante pour les membres de leur groupe racial.

En d’autres termes, les Blancs ont une tendance relative à l’égoïsme individuel par rapport aux autres groupes raciaux qui ont eux une tendance relative lourde à l’égoïsme racial s’ils sont en présence de Blancs, ce qui n’exclut pas d’ailleurs l’égoïsme individuel.

Chez les Blancs, le primat de l’individu

Pour en revenir à l’étude précitée, c’est une donnée constante : les Blancs ont naturellement moins d’empathie les uns pour les autres car leur psychologie dissocie clairement l’individu du groupe. Ce qui tend à faire porter un maximum de responsabilités à une personne face à la vie.

Pour un Blanc, le « je » n’est pas réductible au « nous » et il n’y a aucune prime raciale accordé à un individu du fait de sa seule race, origine raciale qui est largement perçue comme un fait et non un choix. Comme l’origine raciale n’est pas le fruit d’une décision individuelle, elle n’entraîne aux yeux des Blancs aucun mérite particulier et n’a, par contrecoup, aucune valeur particulière pour eux.

Pour les Blancs, la valeur d’un individu se détermine non pas parce qu’il est mais par ce qu’il fait.

C’est ici qu’il y a un piège : les Blancs, à tort, n’établissent pas de lien entre ce qu’un homme fait et son potentiel latent, legs de son patrimoine génétique. Or, bien que non-raciste en apparence, cette conception d’un homme somme de ses actes ne fait placer les déterminismes raciaux en arrière-plan sans toutefois les effacer.

Et pour cause : les réalisation de l’homme blanc le séparent toujours plus des races improductives qu’il s’entête à percevoir comme potentiellement ses égales. Plus l’homme blanc accorde de l’importance aux actions d’un homme, moins il est à même d’apprécier les races inférieures qui s’implantent dans son environnement.

Comme on l’a vu, c’est la façon dont les Blancs articulent subjectivement leur perception de la race, ce qui ne signifie pas que c’est ce qu’ils sont objectivement au plan racial.

Ceci dément d’ailleurs radicalement (hélas) ce que disent hypocritement les non-Blancs au sujet d’un supposé « racisme structurel blanc », comprendre une stratégie de domination raciste blanche consciente. Les mêmes qui sont précisément animés d’un égoïsme racial exacerbé accusent les Blancs d’égoïsme racial exacerbé dans une inversion accusatoire tribaliste caractéristique.

C’est parce que ces groupes raciaux sont incapables de penser individuellement qu’ils ne peuvent réagir qu’en accusant collectivement.

A contrario, si un Blanc voit un autre Blanc en difficulté sociale, son réflexe premier sera de se dire que cette personne n’a pas fait tout ce qu’elle devait pour l’éviter. Que la somme de ses actions parle pour lui.

Du moins, si aucune condition manifestement injuste n’indique l’inverse.

Le socialisme des faibles

Ce n’est qu’avec l’émergence du socialisme en Occident que la déresponsabilisation de l’individu a pris son essor au point de le réduire à l’état de spectateur de sa propre vie.

Aux racines du proto-socialisme, sous l’Ancien Régime, l’individu était considéré par les révolutionnaires comme empêché d’agir par un système social injuste fondé sur le privilège de naissance.

Cette volonté de libération de l’individu au profit d’une méritocratie a dégénéré en triomphe de la bourgeoisie exploiteuse, rapidement rejoint par le spéculateur juif. Y a répondu un socialisme de combat, vers la moitié du 19ème siècle, qui a cependant dégénéré à son tour en jalousie collectiviste mue par une mentalité d’esclave. Ce courant a été habilement manipulé par les agitateurs juifs libérés par la démocratie qui y vont le moyen d’établir leur tyrannie sur tout l’Occident et donc, par contrecoup, la planète entière.

En France, on le voit particulièrement dans la dégénérescence du droit, à partir du 19ème siècle et plus encore au début du 20ème siècle, où ce n’est plus l’individu qui est responsable de ses actes puisqu’il n’est que le produit de son environnement social. Ce qui est parfaitement résumé par la formule de Victor Hugo, « Ouvrez une école et vous fermerez une prison ». Paradigme qui permet aujourd’hui aux prédateurs non-blancs d’agir en toute impunité.

Chez les Blancs, l’individu est, a priori, toujours placé en état d’accusation en cas d’échec selon le proverbe, « aide-toi, le ciel t’aidera ». Si quelqu’un n’est pas aidé par le ciel, c’est qu’il ne s’est pas aidé lui-même en premier lieu. Tel est le mécanisme élémentaire de la psychologie blanche. Mais cette psychologie a été considérablement altérée par l’étatisation des rapports sociaux portée par le socialisme des faibles.

Au collectivisme aliénant, les Blancs préfèrent culturellement l’équité et la liberté. Les Blancs haïssent ce qui empêche un individu de se réaliser librement en toute justice. Cette triche intra-raciale au profit de groupes d’intérêts particuliers nourrit généralement la contestation sociale. Pas le fait de réussir en soi.

Cependant, certains Blancs parmi les déchets ethno-sociaux de notre peuple, haïssent toute forme de réussite chez leurs frères de race parce qu’ils refusent d’admettre qu’ils sont eux-mêmes des ratés. C’est le coeur psychologique de la démagogie marxiste.

Ce phénomène a été considérablement amplifié par l’avènement de l’état-providence socialiste qui a transféré les libres et nécessaires solidarités organiques (paysannes, ouvrières) vers le guichet social, lequel repose sur le pillage fiscal coercitif des plus productifs au détriment des moins productifs par le truchement des politiciens contrôlant l’État.

Ce pillage fiscal redistributif, au départ réalisé au nom de la correction d’injustices sociales au profit des travailleurs, est devenu la première cause d’injustice sociale : totalement dégénéré, il détruit le mérite personnel et le droit de propriété, qui est fondamental pour la culture blanche, et collectivise de facto par la taxation à outrance. Cette politique nourrit le pullulement des ratés, notamment raciaux, régis par le ressentiment et la fainéantise contre ceux qui les entretiennent et dont ils surveillent les gains avec âpreté.

S’il y a bien une tendance individualiste innée chez les Blancs qui les pousse à structurer leur identité personnelle par delà leur groupe biologique via leurs réalisations personnelles, c’est pour bâtir une civilisation qui transcende les tribus : bâtir l’empire.

Leur identification collective à l’état libéral-démocratique, après sa dégénérescence collectiviste, semble contribuer à un repli encore plus fort sur leur individualisme, par mesure défensive.

En d’autres termes, les Blancs peuvent avoir tendance à jeter le bébé avec l’eau du bain, c’est-à-dire à rejeter toute forme de solidarité raciale en ne la distinguant pas de la seule forme de collectivisme qu’ils connaissent, le collectivisme d’état qui détruit leur culture.

Car le collectivisme étatique est bel et bien en train de détruire la civilisation occidentale comme le prouve les stratégies de survie qu’il déploie, à l’instar de l’immigration de peuplement encouragé par l’égoïsme intergénérationnel, forme radical de l’égoïsme individuel que manifestent les boomers.

Emotivié blanche, hyper émotivité non-blanche

Un autre point : si nous trouvons que les Blancs en général trop émotifs, il ne faut pas perdre de vue que les non-Blancs sont quant à eux hyper-émotifs et très instables au plan nerveux.

L’émotivité blanche est généralement contrôlée par la raison et se limite au cercle des relations sociales immédiates fondées sur les rapports directs entre individus.

Les nègres, les juifs ou les arabes sont quant à eux incapables de contrôler leurs émotions et tout particulièrement quand leur groupe tribal est attaqué ou se perçoit comme attaqué.

Leur niveau de conscience individuelle est trop limité pour qu’ils distinguent nettement entre le « je » et le groupe auquel ils s’identifient.

Vous pouvez voir les orientaux mahométans entrer dans un état de détresse émotionnelle intense en raison d’événements qui se déroulent à l’autre bout de la terre mais qui implique leur groupe religieux.

Ce maghrébin réagit comme si l’attaque de Christchurch s’était déroulé dans son quartier. Vous pouvez voir l’état de désespoir dans lequel il se trouve.

Ce n’est pas une réaction originale : tout le monde islamique réagit ainsi.

L’islam dans le monde

QI dans le monde

Mais le QI n’explique pas à lui seul la dimension émotionnelle grégaire de ces groupes.

En revanche :

  • plus le QI est faible,
  • plus la distinction qu’opère l’individu entre lui et son groupe d’appartenance est restreinte,
  • plus ses émotions sont conditionnées par l’état émotionnel du groupe.

On objectera que cultiver l’instinct racial chez les Blancs reviendrait à vouloir copier des masses à faible QI.

C’est erroné.

Il s’agit en fait de corriger une tendance à l’égoïsme qui, placé dans un contexte multiracial, menace la stabilité de la société aryenne en laissant les groupes raciaux hostiles se livrer à toutes les déprédations sans rencontrer une résistance blanche organisée.

Avant toute résistance organisée, il faut une conscience commune et cette conscience ne peut être que raciale.

C’est donc bien une correction nécessaire au bien commun.

La solidarité blanche s’exprime par l’organisation

Il faut cependant éviter de caricaturer : si les Blancs étaient des égoïstes forcenés, ils n’auraient pu bâtir aucun état. Le but fondamental de tout état est d’organiser politiquement l’empathie au sein d’un groupe donné.

Or, les Blancs sont des bâtisseurs d’état par définition. Peu importe où les Blancs se sont établis, ils ont créé des états.

Ce sont également eux, singulièrement les Britanniques et les Français, qui ont inventé l’état moderne. Plus tard, les Allemands ont corrigé les défauts de l’état moderne libéral – déjà menacé de l’intérieur par l’égoïsme anarchisant – en créant l’état ethno-national, l’état social-raciste, avant que la réaction individualiste ouest-européenne, excitée cyniquement par les juifs pour leur propre but, ne détruise le IIe puis le IIIe Reich.

Les Blancs créent des états pour maximaliser les effets de la solidarité au sein du groupe grâce à l’organisation.

Un Blanc organise. C’est ce qu’il est.

La solidarité des Blancs passe par son organisation hiérarchique. La solidarité blanche passe toujours par une organisation méthodique, pyramidale, qui doit être préalablement perçue par le groupe comme légitime.

Les sémites ou les nègres, incapables de produire une culture, convoitent les fruits de cette solidarité organisée en état. Ils tentent, une fois établis dans un état blanc, de s’emparer du contrôle de ce mécanisme de solidarité étatique pour le transformer en instrument de prédation raciale.

Les accès de violence anarchique – les « ratonnades » – sont au mieux des exceptions anecdotiques, au pire un mythe de la presse juive antiblanche.

La violence blanche passe obligatoirement par l’organisation et la justification morale. Une fois ces deux conditions remplies, la capacité de destruction des Blancs est pour ainsi dire illimitée.

Les Blancs ne rejettent pas la violence, ils rejettent la violence extra-légale. C’est une nuance énorme. Face à la question raciale, les populations blanches ne se livreront à aucun « pogrom », elles organiseront une politique d’état.

La crise finale de l’état libéral-démocratique blanc

C’est ici que se trouve la crise des états libéraux-démocratiques occidentaux. Légalement, ces produits politiques de la culture aryenne ne reconnaissent que des individus, des « citoyens ». En proclamant que la norme psychologique individualiste blanche est la règle, tant au plan mondial qu’intérieurement, ces états sont incapables de discerner l’existence en leur seing de groupes guidés par le collectivisme racial prédateur dont l’action entraîne la destruction de ces états.

Ces états-providence libéraux – qui ne raisonne qu’en termes d’individus donc – ne disposent pas des outils conceptuels pour comprendre ce qui se passe. Ils réagissent, notamment sur pression des juifs et des groupes raciaux hostiles qui les colonisent, en faisant porter leur défaillance progressive sur le seul groupe fondateur de cet état : les autochtones blancs.

Sémitisés par le haut, refusant moralement de discerner le paradigme du collectivisme racial, ces états aryens dégénèrent en tyrannies antiblanches à force de répondre aux exigences des groupes non-blancs par des représailles contre la base biologique dont ils procèdent.

Ils le font d’autant plus que, au terme du paradoxe propre au déterminisme blanc, le racisme blanc est un double crime aux yeux de ces états blancs : un crime contre la morale blanche et un crime contre les allogènes, perçus de manière erronée comme des égaux.

Le libéralisme, idiot utile du racisme hypocrite juif

La caricature de cette dégénérescence libérale est parfaitement incarnée par le libéral Nicolas Moreau qui alterne entre constat affligé sur l’égoïsme racial non-blanc et condamnation des mesures d’autodéfense collective des Blancs.

Le clou du spectacle :

Les Blancs libéraux sont historiquement les meilleurs amis politiques des juifs.

Pour mettre en couple réglée un pays, les juifs ont besoin, en tant que groupe numériquement minoritaire, que le peuple autochtone ne témoigne d’aucune empathie collective pour lui-même, qu’il soit atomisé en une myriade d’individus aux intérêts contraires que les juifs peuvent manipuler à leur profit.

Le juif y devient en même temps banquier et agitateur bolchevique.

Les libéraux, sorte d’égoïstes blancs radicalisés, sont les tenants du primat de l’égoïsme économique contre le bien commun du groupe blanc diabolisé au nom de « l’anti-socialisme ».

Ce sont, ni plus ni moins, que des goyim zombifiés servant les intérêts du mammonisme.

Le juif, en exacerbant ces dissensions au sein du même peuple, porte la guerre civile et la révolution comme la nuée l’orage.

Or, l’élément fondamental pour la structuration de l’empathie d’un peuple envers lui-même n’est autre que son homogénéité raciale et culturelle. C’est cette homogénéité que le juif attaque méthodiquement en normalisant le cosmopolitisme, en appelant à l’immigration étrangère et en détruisant socialement la famille indigène, matrice de la survie biologique du peuple qu’il attaque.

Le libéralisme professé par les juifs est en réalité le masque de leur collectivisme tribal hostile et de ses intérêts bien compris.

Mais les racistes blancs peuvent désormais utiliser le libéralisme fiscal pour défendre leur agenda communautaire stratégique.

En privant les allogènes de l’état-providence qui pille les travailleurs blancs pour nourrir le pullulement des sous-hommes qui les vampirisent, le libéralisme fiscal peut assécher le camp ennemi très rapidement.

Le parti raciste et le socialisme des forts

La lutte qui s’annonce est celle du socialisme cosmopolite, c’est-à-dire du pillage des Blancs par la finance juive et les cohortes d’allogènes, contre le socialisme blanc, c’est-à-dire la méritocratie équitable aryenne. Le socialisme des forts.

Le progrès du racisme blanc, bien que contre-intuitif chez les Blancs comme on l’a vu à ce moment de leur stade historique, est inéluctable dans la mesure où la conscience raciale blanche ne peut que progresser dans un environnement étatique dégénéré sur fond d’effondrement de l’impérialisme démocratique occidental.

Mais cette conscience raciale blanche restera diffuse et désordonnée sans l’action d’un parti raciste blanc international capable de la penser et d’en faire la source de l’action politique.

La droite réactionnaire, qui raisonne en terme de propriétaire établi, ne peut pas apporter de solutions à la présence crise, seulement prétendre pouvoir la contenir en essayant de maintenir le statu quo qu’est la démocratie-libérale implicitement blanche. Elle est toujours dépasser par le parti raciste allogène qui profite du terreau moral de l’égalitarisme démocratique pour affirmer son racisme et sa haine antiblanche.

Les racistes doivent travailler au dépassement de la réaction chauvine petite-bourgeoise stato-nationale en faisant accoucher la conscience raciale blanche partout où se trouvent des peuples blancs avec, pour objectif, la création d’un état raciste blanc global sur les ruines des états libéraux-démocratiques présentement associés au sein de l’Otan.

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