A propos de la droite négrophile qui prétend que les Français de souche sont plus proches des nègres à 65 de QI que des Blancs (Tribune)

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 mai 2019

La bonne nouvelle, c’est que la presse écrite est condamnée à disparaître à moyen terme en raison de l’extinction programmée de deux choses vitales pour elle : les transferts de fonds gouvernementaux accordés par l’état-providence et les Boomers.

Seuls les Boomers paient pour lire des informations juives disponibles la veille sur internet. C’est l’unique raison d’être de la presse écrite : être la version papier d’internet pour ceux des Boomers qui n’arrivent pas à utiliser un navigateur.

En attendant cette extinction, cette presse continue de capter outrageusement des milliards d’euros chaque année pour donner aux Boomers des slogans à la con à nous balancer à la gueule le dimanche midi.

Je suis à l’aise avec une presse écrite de gauche parce que c’est officiellement 95% de la presse française comme des journalistes.

Mais il reste ces quelques 5% de journaux qui ont besoin de l’argent des vieux bourgeois réactionnaires pour diffuser la même merde juive que Libération ou Le Monde, simplement un peu assaisonnée de trucs piquants sur les islamistes pour donner le change.

Du viagra en somme.

Ce sont les Atlantico, Le Figaro, Valeurs Actuelles, tous sous l’emprise de cette droite juive que sont Les Républicains avec leurs beurettes nymphomanes et leurs algériens homosexuels pro-israéliens.

Puisque ce sont les élections européennes, un Boomer de 30 ans du Figaro, un certain Paul Carcenac, s’est laissé aller à une série de tweets frénétiques sur le thème de l’aversion envers la race blanche consubstantielle à la France et la mission négrificatrice de la République.

J’ai trouvé ça intéressant car symptomatique.

Je vous préviens, c’est du Asselineau, du Le Pen ou du Philippot dans le texte.

Le nom d’une rue au Proche-Orient, une baguette sur un caillou du Pacifique et un parler créole d’une colonie refourguée par Napoléon il y a deux siècles aux Yankees. Voilà, c’est nous.

Mais l’Europe, non. Surtout pas. D’ailleurs, la France n’est géographiquement européenne que du bout des lèvres.

Et n’allez pas croire que « l’Europe » en question démarre quelque part aux confins des frontières de la Russie. Pour ce type, c’est sur la rive droite du Rhin. Ce qui fait quand même très près.

En fait, si j’avais l’occasion de discuter avec ce Carcenac, il me dirait probablement que ça commence avec l’Alsace, base avancée du danger blanc.

Donc, Vanuatu c’est proche de nous à cause des baguettes :

Et la Louisiane aussi à cause d’un sabir négrifié :

Et enfin Beyrouth, à cause d’un nom de rue :

En revanche, même de loin, nous, Français de souche, n’avons aucun lien avec ces peuplades obscures vivant au delà du Rhin que sont les Slaves ensauvagés.

Il faut que vous vous le teniez pour dit.

Comme la Slovaquie donc.

Ou la Lituanie.

Effectivement, la continuité bio-historique n’est pas évidente avec la France.

Notez qu’on vend des baguettes en Chine ou aux USA mais c’est censé être un critère pertinent.

 

C’est bien pour ça qu’au Figaro, on ne peut décemment pas nier le fait que nous sommes plus proches des nègres de Saint Denis que de ces barbares de Tallinn.

C’est évident, apparemment.

Ce que je ne supporte pas, c’est l’hypocrisie de ces mange-merde de la droite réactionnaire qui parlent par euphémisme et allusion sans jamais en venir à ce qui les motive réellement.

Il va sans dire que ce Paul Carcenac n’aurait jamais parlé des baguettes magiques du Pacifique si nous n’étions pas totalement submergés par des migrants du tiers-monde dans nos rues. Ce besoin d’embellir le tableau pour nous faire croire que vivre dans une poubelle est un rêve que nous devrions tous partager est une enculade.

Ce type de discussion surréaliste n’a lieu que parce que nous sommes envahis. Plutôt que de hurler à l’invasion, cette tanche de Carcenac – et avec lui, tous les Boomers grabataires du Figaro dont cette lope bafouillante de Rioufol, regardant sans arrêt derrière lui pour voir si le juif ne l’a pas abandonné à son sort – devisent sur les charmes des colonies.

« J’ai un regret : avoir échoué, à une près, à avaler 18 bites circoncises en même temps »

A force de nous assommer de mots, ces plumitifs de la réaction judéo-républicaine espèrent que nous ne ferons plus la différence entre le 19ème et le 21ème siècle, entre l’Oubangui-Chari et le 93.

« Du pareil au même, à un poil ! ».

Parce qu’au fond, tout ce que cette bourgeoisie droitiste reproche aux musulmans, c’est de ne pas se prosterner devant eux comme au temps de l’empire colonial. Leur programme politique, c’est un narcissime rassurrant où le franchouillard est au centre de son empire marron, adulé. Le chef blanc paternaliste d’une tribu nègre le protégeant du péril raciste nordique.

Sauf que depuis, ces bourgeois sont devenus des fiottes rampant sous le juif et qu’il n’y a aucune raison pour que des arabes se comportent autrement avec des bisexuels soumis par des rabbins qu’en les frappant avant de les enculer.

C’est la loi de la vie que de dominer les faibles.

Cette bourgeoisie cacochyme est atteinte de sénilité, purement et simplement, mais pas seulement.

C’est aussi une façon mensongère de maquiller leur ralliement au camp de la défaite. De faire croire qu’ils choisissent une situation qu’ils ne font en réalité que subir et dont ils s’accommodent en trahissant en douce, sans fanfare.

En fait, tout aussi racistes honteux qu’ils soient, ils se sont faits à l’idée de nager dans une piscine de boue en France métropolitaine. Ils lorgnent même franchement sur les opportunités offertes par le programme juif de repeuplement afro-oriental de la France. Juchés sur leurs hordes de nègres, ces chauvins haineux se voient déjà triquer toute l’Europe, en plein hiver démographique.

Bonaparte négroïde.

En attendant cette heureuse évolution, ils cherchent à mystifier le prolétariat blanc qui n’a, dans l’opération, que des taxes et des viols à gagner.

Ces journalistes sont des prestidigitateurs à la solde des youtres. Ils s’échinent à tromper notre attention, à semer la confusion dans les esprits, à détourner notre regard pour que nous ne voyons pas ce que nous voyons et que nous parvenions, à force de saloper notre âme, à leurs propres conclusions, rigoureusement subordonnées à leurs intérêts et comptes bancaires, et non pas à nos conclusions.

Ces ordures escomptent bien gratter un billet de notre exploitation et un merci de la part du rabbin mythologique.

Donc, on nous sort des métèques magiques de Louisiane, des boulangers improbables de Vanuatu et des avenues puant la pisse du Proche-Orient pour que nous trouvions soudainement Mohamed et Fofana, qui squattent notre hall d’immeubles pour dealer du crack, soudainement très séduisants, très civilisés.

Français totalement.

« Oui mais tu comprends, les baguettes de Vanuatu »

C’est inaudible, criminel, homosexuel.

Il y a aussi la très réelle latino-négrification mentale dans laquelle communie cette bourgeoisie dégénérée.

Ces gens, à force de baigner dans le fric et d’évoluer au milieu de youtres d’Algérie, de rouges espagnols socialistes et de l’Arménie échouée chez nous, cultivent une passion pour la cuisson au soleil.

Ils haïssent le nord. C’est leur plus petit dénominateur commun.

Tandis que les juifs brandissent leur temple, leur excuse à eux, c’est Maurras et ses bains de pieds dans la Méditerranée. Le sourd du félibrige avait au moins une demi-excuse pour ses saloperies, c’était l’époque et l’absence de torrent nègre. Et encore.

A la moindre occasion, ces bourgeois sémitisés détalent dans un bouge d’Afrique du Nord, de Turquie.

Plus récemment, la grande nouveauté de cette ignoble croûte de merde séchée qui nous surplombe comme un nid d’hirondelle, c’est la visite de la mère de tous les bassines de friture : Israël.

Cela ne rate plus.

Jérusalem est devenue l’épicentre de cette feuillée à ciel ouvert qu’est la droite française.

Il agite Jésus comme excuse. Le Saint Sépulcre, fameux pélerinage, pour dissimuler leur besoin compulsif de sucer du chibre juif in situ. Des fois que ça aurait des propriétés thaumaturgiques.

Nous sentons un effort constant, depuis plusieurs décennies, pour nous attirer toujours plus au sud.

On nous leste.

Faites le tour des annonces des agences de voyage qui font de la retape partout dans les rues et vous ne trouverez pas un seul bled qui ne soit immergé dans des tonnes d’huile de tournesol.

Ces gens nous sortent tout un tas de motifs à la con pour se justifier d’aimer les températures chaudes et leurs peuplades repoussantes qui y mijotent dans leur graisse.

Comme si c’était effectivement une question de température.

Le seul truc qui change chez nous, à température constante, c’est la composition raciale du pays. La mélanine sans le soleil.

Ces droitistes parlent comme s’il s’agissait de motiver la conquête de je ne sais quel îlot de l’Océan Indien alors que c’est nous qui nous faisons conquérir par des nègres.

Et sans que la grisaille ne se dissipe pour autant. Comme dans toutes les encules hébraïques, on ne gagne jamais rien.

L’Empire romain, le christianisme.

Deux ruines.

Un horizon de fossiles.

Et il faut dire merci à ce con pour ses lumières, payé avec nos impôts.

L’histoire longue, peigne-cul, ce sont les nègres qui engrossent ta fille.

C’est ça l’histoire longue et ça ne sera jamais que ça. Pas de précieux motifs en dentelles sur le thème de la meilleure traduction de Virgile.

Ces sales bourgeois de merde sont des empoisonneurs mielleux, les fourriers attitrés de la toxine hébraïque. Le petit commerce de la juiverie, bien étriqué, calculateur, au centime près.

« Baise ma femme Mamadou, Piotr est un sale con ».

Portrait du droitard négrophile

Je crois que le plus insupportable dans tout ça, c’est la prétention et l’arrogance de ce type de connards fantastiques, nappés dans leur négraille tricolore, qui ont encore l’audace, alors qu’ils pataugent dans la merde, de prendre de haut des nations européennes qui, selon les standards de civilisation les plus élémentaires comme la sécurité, l’hygiène ou la politesse, sont à des années-lumières de la France de 2019.

Je ne vois rien, en 2019, qui justifie qu’un Français ouvre sa gueule pour sermonner quelque pays que ce soit sur cette planète.

Même quand les Français se flagellent, c’est encore pour les mauvaises raisons. C’est quand même extraordinaire.

Ces petits possédants péteux de droite qui affichent ce chauvinisme dégénéré tentent de faire passer la régression anthropologique qu’ils subissent, au même titre que nous, comme le nouvel horizon du progrès. Juste pour disqualifier les nations blanches qui leur renvoient leur image merdique à la gueule du simple fait de leur existence.

C’est l’emballage pour justifier l’injustifiable.

Plutôt que d’admettre qu’ils vivent dans un trou à merde faute d’avoir vaincu le juif, ils proclament que c’est le nec plus ultra du développement humain et que ce n’est pas eux qui sont dans le faux, mais l’humanité blanche du continent et qu’elle va devoir suivre à coups de pompe dans le cul le civilisateur français, le grand Cheikh Sigma Taye.

Comme la France a été une grande puissance impériale, nos vaincus en conçoivent une rage et une jalousie qui ne se maîtrisent plus. Plutôt que de faire preuve d’humilité et d’introspection, ils multiplient les coups bas, le bavardage hypocrite et les manoeuvres fielleuses pour entraîner l’Europe vers la mort raciale. Et accessoirement ceux des Français de race blanche qui ne sont pas encore convaincus de la grandeur qu’il y aurait à finir au niveau de Haïti.

Carcenac, foutu couillon, tu as oublié de nous vanter la communion avec cette île francophile et francophone.

Ces Français-là prétendent que leur déchéance biologique et morale justifie l’obsolescence des nations d’Europe. Ils veulent survivre à l’Europe après l’avoir détruite racialement sans savoir pourquoi.

Cela s’explique : les juifs ont depuis longtemps pris la place de leur propre conscience. Ils le chérissent, ils le carressent, ce youtron logé au fond de leur coeur. Ils ont troqué Jésus contre un petit youtre en pyjama rayé. Ils le blotissent.

C’est leur médaille miraculeuse.

Enlevez le juif à cette fin de race de la réaction et comme les chiards perdus à l’accueil des supermarchés, ils chialent en appelant « maman ». Le juif est l’âme du bourgeois réactionnaire, son grigri.

Son père, son fils, son saint esprit.

Et le juif, lui, sait pourquoi il veut abâtardir le sang blanc en Europe. Avec cette bourgeoisie sénile à sa main, il avance ses pions, crânement.

Il est chez lui sur tous les plateaux télés.

Ce sont les Goldnadel, les Bensoussan, les Finkielkraut. L’araignée juive, sans lueur de vie dans son oeil rond et noir, emballe sa proie dans ses fils et la désarticule mécaniquement, tout à son aise.

Ces droitards zombifiés par les juifs, se sont ralliés au parti nègre par défaitisme. Ils tentent de construire a posteriori un baratin vaguement intellectuel pour justifier leur faiblesse, leur soumission et leur échec.

Bref, le fait qu’ils soient merdiques depuis toujours.

Ils essayent de normaliser leur dégénérescence pour marginaliser les gens normaux qui les renvoient à leur propre foirade, aussi bien domestiquement qu’à l’international.

C’est la mission de ces mange-merde de la droite négrophile, putréfiée de sang juif.

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