Angoulême : soulèvement de noirs de Guinée et de femmes blanches contre la police raciste

La rédaction
Démocratie Partipative
18 juin 2023

 

Angoulême connaît de fortes tensions raciales depuis des jours.

La raison en est que si vous importez des noirs d’Afrique, vous aurez des émeutes raciales comme en Afrique.

Une révélation choquante pour la plupart des habitants d’Angoulême.

En cause d’après ces Français : la police française raciste.

La Charente Libre :

Entre 800 et 1000 personnes ont manifesté ce samedi matin en mémoire d’Alhoussein Camara, ce jeune homme de 19 ans tué d’un tir de policier lors d’un contrôle, aux Planes, à Saint-Yrieix.

Une marche commencée au Champ de Mars. Marquée par l’émotion et la colère. Tour à tour différentes personnes ont pris la parole pour appeler à défiler dans le calme. Ce fut le message principal de l’ambassadeur de Guinée en France, Sinkoun Sylla, descendu de Paris vendredi soir pour se joindre à la mobilisation. L’homme a d’ailleurs rencontré la préfète de Charente ainsi que la procureure de la République d’Angoulême.

Les gouvernements africains ne manquent jamais une occasion d’exprimer leur solidarité raciale avec leurs compatriotes, quitte à prendre la tête d’une colonne d’un millier de noirs dans les rues de France pour exiger vengeance contre les flics français.

Pour sa part, le gouvernement en France n’exprime qu’une seule chose : sa haine des indigènes et son souhait de les éradiquer par l’immigration de masse.

Donc oui, de ce point de vue, les Guinéens sont mieux considérés dans leur pays que le Blanc de base en France.

Selon nos confrères de RTG, la télé guinéenne, présents pour couvrir la manifestation à Angoulême, le ministre des Affaires étrangères de Guinée aurait également joint la préfète Martine Clavel.

À l’avant du cortège, l’ambassadeur s’est livré à une prise de parole. « Comme vous le savez, le rôle d’ambassadeur est de représenter son pays à l’extérieur et de veiller à la sécurité de ses concitoyens dans sa juridiction. Nous sommes donc à Angoulême suite à ce drame qui a touché un des nôtres. » Il a aussi évoqué « la tristesse de l’ensemble du peuple de Guinée. Je me suis déplacé pour rassurer la communauté guinéenne de cette ville. J’ai aussi été bien reçu par l’autorité préfectorale et j’en profite pour la remercier sincèrement. » Il a également confirmé l’émoi que créé cette affaire dans son pays : « C’est toute la Guinée qui est affectée par ce drame. Mais quel que soit le ressenti, on doit exhorter au calme. » Plusieurs fois, il a appelé les manifestants à se faire entendre dans la « sérénité et la discipline ».

Entre la Guinée et la discipline, il faudra choisir.

La colère s’est tout de même exprimée. Les nerfs à vif, trois jours après la déflagration. Les slogans « police assassin » ou « police criminelle » ont résonné à plusieurs reprises dans les rues d’Angoulême. Bruyamment. Du Champ de Mars au Foyer des Jeunes Travailleurs (FJT) Pierre-Semard de Bel-Air, de la gare au palais de justice, on a vu des larmes et des personnes choquées. Des pancartes « Pas de justice, pas de paix », « Justice pour Alhoussein », ou « Qui nous protège de la police ? ». « On continuera tant que la justice ne sera pas rendue », clamait au mégaphone une femme sur les marches du palais de justice.

« Justice » est un mot souvent employé par les noirs.

Il veut dire « vengeance ».

Vengeance raciale, aveugle, totale.

“Ce n’est pas une marche pour jeter la pierre mais pour se remémorer ce garçon”, nuançait Zalissa Zoungrana, conseillère municipale d’Angoulême. Devant le FJT, le directeur de l’établissement a une nouvelle fois rappelé que Alhoussein Camara “n’avait jamais posé de problème. Aujourd’hui, on a du mal à trouver les mots.” Une manifestante française confiait pour sa part “la honte de (s)on pays”.

Les Françaises sont nombreuses à avoir honte de leur pays.

Ce sont les mêmes qui couchent avec des noirs.

Pour autant elles ne quittent jamais la France. Elles se contentent de passer trois semaines dans un pays d’Afrique se faire bourriquer par des noirs tout en prétendant creuser un puits dans le village.

Dans l’ensemble, la marche s’est déroulée sans incident. Un manifestant plus véhément qui a renversé une poubelle et des barrières a vite été rappelé à l’ordre par des camarades. Un Abribus a également été brisé.

La situation s’est un peu tendue vers 13 h 45. Après la fin de la manif’ officielle au palais de justice où une minute de silence a été observée, environ 200 personnes se sont rendues au rond-point de l’Eperon. Les policiers basés au commissariat sont descendus et les ont dispersés usant de lacrymos. Selon nos informations, deux personnes ont été blessées lors de cette intervention dont une mère de famille. On ignore pour l’heure la gravité de ses blessures.

Les CRS sont ensuite montés au carrefour de Lille puis au Champ de Mars où ils ont procédé à l’interpellation d’un homme qui les aurait outragés. Mais il ne s’agissait pas d’un manifestant guinéen.
À 16 heures, la MJC Mosaïque à La Grande-Garenne a accueilli les personnes qui souhaitaient se recueillir.

Le bordel nègre usuel.

C’est ainsi que, petit à petit, année après année, on s’enfonce dans le chaos racial complet et qu’un état anciennement aryen devient un bidonville d’Afrique de l’Ouest comme un autre.

Le bourgeoisie française, avec ses préfets, ses scribouillards de presse indignés et ses rombières blanches à principes, et le pire, ses étudiants, ne peut pas se sortir le cul d’un tel bain où elle a immergé son séant avec jubilation dès le premier jour.

Nous avons effectivement à faire à des scatophiles.

Ce ne sont pas tellement ces noirs et ces arabes le problème, tout au plus un symptôme. Le problème, c’est cette viande blanche bourgeoisie avariée, avachie, putréfiante qui ose encore respirer et émettre du CO2.

Si ces gens veulent de la décroissance, du rationnement climatique, de la « sobriété », nous avons ce qu’il faut dans nos tiroirs.

Quelque chose à mi-chemin entre Kim Il Sung et Pol Pot.

Pol Pot a pris les mesures les plus radicales pour se débarrasser de la partie dégénérée de son peuple. Longtemps incompris parce que diffamé, chacun perçoit aujourd’hui à quel point, quand on ne nettoie pas la mauvaise part d’une race malade, on laisse la gangrène tout emporter. Les enseignements lumineux de Grand Frère n°1 marquent de leur limpidité la conscience révolutionnaire mondiale et paraissent, aujourd’hui plus que jamais, comme une source intarissable de jouvence idéologique.

Envoyons tout le fatras contre-révolutionnaire en camps, à commencer par tout ce qui porte une paire de lunettes et appartient à l’Éducation Nationale, et allégeons le monde de ce poids devenu intolérable.

 

Soyez cet homme.

Le coeur serein du Bouddha marchant parmi les démons sur la voie de la parfaite illumination.

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