Après le coup de poignard d’Attal et de la FNSEA, une évidence : l’Ukraine doit donner des terres à nos paysans

La rédaction
Démocratie Participative
02 février 2024

 

Comme nous l’avons annoncé de manière visionnaire durant une semaine, la jacquerie des paysans s’est terminée en pet mouillé.

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Les syndicats majoritaires représentent l’oligarchie auprès de la base et non la base auprès de l’oligarchie. Sinon, ils seraient interdits.

Ce n’est même pas un scoop, tout le monde le sait.

Rousseau, l’homme de Macron à la tête de la FNSEA, est très satisfait. Je n’ose même pas imaginer les accords qu’il a obtenus sous la table lors de ses discussions avec le juif Attal.

C’est un accord d’une durée de trois ans, soit la durée qui nous sépare de 2027.

Dans ce processus général de concentration inscrit dans l’ADN de l’agriculture moderne, les gros dévorent les petits. Les gros producteurs français veulent sacrifier les petits pour résister aux plus gros de l’extérieur.

Rousseau a certainement sécurisé un deal sur la limitation des importations ukrainiennes. Elles sont particulièrement concurrentielles.

L’Ukraine est une puissance agricole au potentiel colossal, simplement stagnante parce qu’elle est peuplée d’Ukrainiens fainéants, incultes et alcooliques qui préfèrent tuer des Russes que de faire quoi que ce soit d’utile dans la vie. Entre les mains de l’agro-industrie d’Europe de l’Ouest, l’Ukraine deviendrait une grande puissance agricole.

D’ailleurs, s’il n’y avait pas tous ces Ukrainiens en Ukraine, les 500,000 paysans français en feraient une puissance mondiale.

Hélas, l’Ukraine est dirigée par des juifs, peuplée d’Ukrainiens ivres du soir au matin, et par ailleurs condamnée à être annexée par la Russie. Ceci dit, les Russes auront le même problème avec ce pays : des Ukrainiens alcooliques, fainéants et incultes qui refusent de faire quoi que ce soit sans un pot-de-vin.

L’Allemagne NS avait fait une analyse sérieuse de la situation et elle ne tergiversait pas. Son objectif était la colonisation de l’Ukraine par des paysans allemands compétents plutôt que de laisser cette terre noire exceptionnelle aux mains d’incapables. C’était la garantie d’un approvisionnement constant pour l’Allemagne et l’Europe.

Le Reichsführer SS était à l’avant-garde de ce plan grandiose.

Hélas, les juifs, les marxistes et les démocraties ont tout fait pour empêcher cette aube nouvelle d’advenir. L’Ukraine est aujourd’hui chargée de nourrir des nègres d’Afrique, entre autres.

Ce sont donc les juifs qui veulent s’en emparer, notamment Fink, de Black Rock.

La question ukrainienne demeure intacte, y compris au plan agricole, car elle n’a pas été réglée entre 1941 et 1945. Elle vient hanter l’agriculture européenne, faute d’organisation générale d’esprit raciste, quand ce n’est pas du fait du pillage juif généralisé.

Il faut une solution et cette solution passe par la destruction de cet état fantoche situé à Kiev, l’éviction des juifs qui s’y trouvent,  et un accord entre Européens de l’Ouest et Russes sur le co-développement de cette zone stratégique.

A priori, je dirais que les paysans français doivent recevoir chacun des centaines d’hectares prélevés sur le pays en compensation des sommes odieusement ponctionnées par le juif Zelensky. Et de même pour tous les paysans européens, au prorata des sommes versées.

Voilà une solution concrète, tangible, pour nos paysans. Des terres, de grands espaces, la liberté, l’esprit pionnier, l’Europe et la production. Et moins, beaucoup moins de juifs dans les organes de décision continentaux.

Nous devons revenir au bon vieil esprit conquérant aryen alliant le glaive et la charrue.

Les petits paysans celtes ou germains asphyxiés trouveraient là une occasion unique de créer cette base de production capable d’alimenter l’Europe pour des millénaires.

Chaque milliard d’euros cédé à l’Ukraine doit désormais être échangé contre de la terre et ce de manière inaliénable.

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