« Aucune leçon n’a été retenue de l’histoire » (écrite par les juifs) se lamentent les juges face aux actions éclairs des UPA !

La rédaction
Démocratie Participative
09 juillet 2023

 

Les unités de propagande autonomes font un travail formidable.

Le régime est sidéré.

France 3 Bourgogne Franche-Comté :

Alors que des tracts néonazis ont été distribués dans plusieurs boîtes aux lettres de Genlis (Côte-d’Or) en début de semaine, la procureur de la République de Dijon réagit ce vendredi 7 juillet. Il évoque les peines encourues par les auteurs : un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

Nous vous en parlions jeudi 6 juillet sur notre site internet. En début de semaine, plusieurs habitants de Genlis (Côte-d’Or) ont découvert des tracts néonazis dans leurs boîtes aux lettres. Des prospectus adressés aux « compatriotes de race blanche » dans lesquels les auteurs prônent le rétablissement de « la domination de la race blanche en Europe ».

Y apparaissent également des croix gammées et le « Reichsadler », l’aigle du parti nazi. Le prospectus est signé par le « Département d’éveil racial du peuple » et renvoie vers le groupe Gab (un réseau social alternatif) de « Démocratie participative », un site d’extrême-droite interdit dans de nombreux pays d’Europe.

Alors qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Dijon, le procureur de la République de Dijon, Olivier Caratotch a réagi ce vendredi 7 juillet à la distribution de ces tracts.

Est-ce qu’on en sait un peu plus sur la distribution de ces tracts à Genlis ?

Ce sont des tracts qui ont été découverts principalement dans une rue. La gendarmerie a été alertée. Pour l’instant, on a collecté une dizaine de ces tracts nauséabonds dans ce qu’ils écrivent et qui caractérisent un certain nombre d’infractions. Une enquête est ouverte et confiée aux gendarmes de ma compagnie de Dijon, à la brigade de Genlis et la brigade de recherches de Dijon.

Les distributions de tracts néonazis, c’est un phénomène qui se multiplie. C’est arrivé en Bretagne, dernièrement dans le Jura, maintenant en Bourgogne.

C’est un phénomène apparu dès la fin du mois de mai, d’abord par des transmissions électroniques, notamment à des élus. Le pôle national de lutte contre la haine, rattaché au parquet de Paris, s’est saisi de ces transmissions. Nous sommes en relation avec lui pour ces documents électroniques.

Pour les courriers, les enquêteurs et les parquets sont en relation les uns avec les autres pour faire des recoupements. Il n’y aurait aucun sens que chaque gendarmerie enquête alors que c’est manifestement un phénomène national. Les tracts qui sont remis sont du même acabit. Est-ce que ce sont les mêmes auteurs ? C’est l’enquête qui permettra de le savoir.

Le phénomène vous inquiète-t-il ?

Le phénomène évidemment interloque et inquiète. Voir ce type de document en 2023, on a l’impression de voir des documents de 1939 et on a la sensation qu’aucune leçon n’a été tirée de l’Histoire. Donc oui, il inquiète.

C’est faux.

C’est parce qu’elles ont été retenues que ces opérations ont lieu.

Gloire à tous les partisans.

Quelle peine encourent le ou les auteurs ?

C’est un tract qui qualifie l’infraction d’incitation publique à la haine raciale. Il revêt aussi des croix gammées et l’aigle du troisième Reich. Dont cela caractère un rappel d’un embléme d’une organisation condamnée pour crime contre l’humanité.

Pour la provocation à la haine raciale publique, c’est un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. Chaque tract constitue une infraction punie de 1 500 euros d’amende.

On a déjà des pistes aujourd’hui sur les auteurs ?

Non pour l’instant, on n’a pas de piste sérieuse. Il y a des investigations dont je ne vais pas révéler les éléments pour ne pas nuire à l’enquête. Mais évidemment, nous recherchons activement d’où ont pu être produits ces tracts et par qui ils ont pu être distribués.

La guerre raciale est ouverte, les allogènes sont déchaînés, leur impunité garantie par ce régime à l’agonie. Nous avons passé le stade où la répression du régime pouvait dissuader la résistance blanche de passer à l’offensive politique.

La méthodologie choisie est celle des cellules autonomes, sans lien organique entre elles – ce que l’on appelle la « leaderless resistance ». C’est la phase stratégique dans laquelle nous sommes et à laquelle nous devons nous cantonner selon une logique de confrontation asymétrique, du faible au fort.

Ces werwolfs posent les bases d’une résistance raciale qui s’installe de manière organique, par étape. Pour l’heure, créer une agitation raciste permanente et diffuse est l’objectif.

Les consignes sont claires, respectez-les.

Ne diffusez que cet exemplaire. Seuls les modèles proposés ici sont originaux et reconnus par DP, tout autre modèle doit être considéré comme une falsification.

Voici notre dernier tract (clic droit pour télécharger).

Tract précédent :

Rappel des consignes, ce n’est pas si long qu’il n’y paraît ;

  • Agissez seul ou en binôme, jamais plus
  • Organisation des actions uniquement de visu, aucun message par le net ou smartphone, même « codé »
  • Ne parlez jamais de vos actions à qui que ce soit
  • Photocopiez vos tracts (noir et blanc) dans des magasins de bureautique, supermarchés locaux (payez en cash), pas d’imprimante personnelle
  • Ne photocopiez pas dans le même magasin, changez systématiquement et jamais dans votre commune
  • Portez toujours un masque et une capuche lorsque vous imprimez
  • Ne garez pas votre voiture sur le parking du lieu où vous photocopiez (vidéosurveillance)
  • Un tract en format A4 plié en deux ou deux tracts en format A5 (à masicoter)
  • Quelques centaines de tracts suffisent par action
  • Ne conservez aucun stock de tracts chez vous ou ailleurs, tout doit être distribué ou le surplus détruit (pas à la poubelle, par le feu)
  • Durée de l’action : une à deux heure(s)
  • De nuit (idéalement, de 01h00 à 03h00 du matin)
  • Jamais dans votre commune, idéalement pas dans votre communauté de communes
  • Les flics opèrent hiérarchiquement selon le schéma départemental, pour leur rendre plus difficile la tâche n’hésitez pas à opérer en dehors de votre département
  • Pas en centre-ville (vidéosurveillance)
  • Garez votre voiture dans une zone sans éclairage, idéalement à l’écart
  • Portez obligatoirement un masque sanitaire et une capuche/casquette
  • Laissez impérativement votre téléphone chez vous
  • Pas d’utilisation de votre carte de crédit de votre départ jusqu’à votre retour
  • Ne manipulez jamais les feuilles A4 et les tracts à mains nues, uniquement avec des gants (type gants jetables en plastique)
  • Boîtez, scotchez sur des supports ou laissez les tracts au sol dans des endroits fréquentés (de jour)
  • Ne tractez pas intensivement, espacez vos actions dans le temps et l’espace (une action tous les 3 ou 6 mois par département suffit)