Biden prépare des représailles contre l’Iran, une situation « plus dangereuse qu’en 1973 » affirme le juif Blinken

La rédaction
Démocratie Participative
30 janvier 2024

 

Jordanie : trois soldats américains tués par une frappe des forces pro-iraniennes

Avant-hier, trois soldats américains ont été tués en Jordanie. Fort heureusement, aucun Blanc n’est concerné.

Le ministère de la Défense a rendu publique l’identité des trois soldats de réserve de l’armée américaine qui ont été tués lors d’une attaque sur une base en Jordanie.

Finalement, cette diversification des armées démocratiques n’est pas une si mauvaise affaire.

C’est une bonne chose que les noirs, sacralisés par les juifs en Amérique depuis 60 ans, fassent preuve de gratitude et meurent pour Israël.

Les juifs tapent frénétiquement sur leurs tambours de guerre.

En 1973, les états arabes avaient attaqué « Israël » simultanément, d’où l’analogie faite par le juif Blinken.

Le rapport de force s’est aussi spectaculairement inversé au détriment des juifs dans cette région. La situation est beaucoup plus sérieuse, car ce sont les iraniens qui sont à l’offensive et ils sont bien plus intelligents, combattifs et équipés que les arabes. Ils ont également de fait de quoi se doter de l’arme atomique s’ils le décident.

Hier, Biden tenait un conseil de guerre suite à cette attaque. En vérité, il ne tenait pas grand chose, l’homme étant sénile. En revanche, les juifs qui tiennent son stylo ont pris des décisions.

Pour résumer, ils précipitent les États-Unis dans une guerre générale pour sauver leur colonie qui subit une pression croissante.

Il est question de couler des navires iraniens dans le Golfe Persique.

Politico :

Lundi, la Maison-Blanche a réitéré la promesse faite par M. Biden la veille de « répondre » aux attentats, tout en précisant que les États-Unis n’agiraient pas dans la précipitation.

« Nous ne voulons pas d’une nouvelle guerre. Nous ne cherchons pas l’escalade. Mais nous ferons absolument ce qui est nécessaire« , a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby, lors du point de presse de la Maison-Blanche, ajoutant que la réponse éventuelle tiendrait compte du fait que « ces groupes, soutenus par Téhéran, viennent d’ôter la vie à des troupes américaines ».

Si l’équipe de Biden ne cherche pas l’escalade, elle n’a qu’à cesser de soutenir la bande de Tel Aviv.

Il s’agit des premiers commentaires substantiels formulés par l’administration à la suite de l’attaque du week-end. Ils soulignent l’attitude de réflexion qui s’est installée à la Maison-Blanche depuis l’annonce de l’attentat.

Le président s’est tenu à l’écart de la scène publique lundi, après avoir brièvement parlé aux journalistes le jour précédent lors d’un événement de campagne où il a exprimé son chagrin pour la perte de l’attentat et a promis de prendre des mesures de rétorsion. Les deux responsables américains ont indiqué qu’il était peu probable que M. Biden s’exprime publiquement avant qu’une décision sur les représailles ne soit prise.

Mais la manière dont cette réponse est apportée risque d’enflammer davantage le Moyen-Orient, dont le secrétaire d’État Antony Blinken a déclaré lundi qu’il était « le plus dangereux depuis 1973 ». Ces dernières semaines, la Maison-Blanche a ordonné une série de frappes aériennes contre les militants houthis au Yémen, tout en surveillant attentivement les retombées des explosions en Irak, en Iran et au Pakistan. Les collaborateurs de M. Biden ont ressenti une frustration croissante face à la conduite de la guerre par Israël à Gaza, tandis qu’ils craignent que le soutien à l’Ukraine ne se tarisse au fur et à mesure qu’elle tente de repousser la Russie.

« Et mes shekels, Joe ? »

M. Biden, dont on sait qu’il souhaite limiter les conflits et éviter d’entraîner les États-Unis dans une nouvelle guerre au Moyen-Orient, a demandé à son équipe d’élaborer des options militaires en réponse à l’attentat du week-end.

Parmi les options envisagées par le Pentagone : frapper le personnel iranien en Syrie ou en Irak ou les installations navales iraniennes dans le golfe Persique, selon les responsables. Le gouvernement iranien, pour sa part, a laissé entendre qu’une frappe sur l’Iran lui-même constituerait une ligne rouge. Les responsables ont laissé entendre qu’une fois que le président aurait donné son feu vert, les représailles commenceraient probablement dans les deux prochains jours et se succéderaient par vagues contre une série de cibles.

Ces frappes ne changeront rien à la situation générale, bien au contraire. Le gouvernement américain, tenu par les juifs, est condamné à s’enfoncer toujours plus dans cette guerre régionale qui vient s’ajouter au front ukrainien.

Plus le temps passe, plus le nombre de gens voulant profiter de l’aubaine pour avancer contre les positions américaines va croître.

Washington est conscient de la situation. À présent que l’armée américaine va devoir se battre pour Israël, il faut recruter des gens efficaces.

Des hommes blancs donc.

Miraculeusement, les spots de l’armée US font disparaître les gens de couleur, les gouines.

Le problème, c’est que les Blancs ne veulent plus mourir pour un gouvernement qui les hait et les remplace.

Le Pentagone n’arrive pas à recruter, les Blancs préfèrent vivre en sécurité. Ils ne veulent pas se sacrifier pour juifs qui organisent leur submersion en Amérique.

Slate :

Selon les chiffres datant de fin septembre 2023, trois des cinq branches des forces armées américaines n’ont pas atteint leur objectif annuel de recrues pour l’année 2022-2023. L’armée de terre, qui a du mal à recruter depuis des années, n’a ainsi réussi à convaincre que 55.000 Américains de s’engager, soit 10.000 de moins que prévu. En 2024, elle devra ainsi composer avec son plus petit effectif depuis 1940, passant de 485.000 soldats en 2021 à environ 452.000. La marine n’a enrôlé que quelque 30.000 personnes en service actif sur les 37.700 visées. Du côté de l’armée de l’air, près de 2.700 soldats manquent à l’appel, avec un peu moins de 24.000 recrues sur les 26.800 visées.

Cette crise du recrutement est la plus importante depuis la professionnalisation de l’armée américaine en 1973. Seuls le Corps des Marines et la Force spatiale des États-Unis (USSF), les deux branches comptant le moins de conscrits et ayant donc les objectifs de recrutement les moins élevés, ont enrôlé autant de personnes que prévues pendant l’année écoulée.

Peut-être que les juifs, leurs médias et leurs multinationales n’auraient pas dû détruire la vie des Blancs ?

Nous devrions prochainement entendre parler de rétablir le service militaire, tant aux USA qu’en Grande-Bretagne ou en France.

La troisième guerre mondiale est réellement au programme et il faudra bien que des gens meurent pour la banque new-yorkaise et sa démocratie.

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