Bonne nouvelle : la haine des juifs progresse rapidement chez les nouvelles générations

La rédaction
Démocratie Participative
06 mai 2024

Comme nous le disons sans cesse : c’est le début de la fin pour les juifs.

Le Parisien :

Ce n’est pas le seul enseignement, loin s’en faut, de la vaste enquête réalisée par l’Ifop pour l’antenne française de l’American Jewish Committee (AJC Paris), en partenariat avec la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol), que Le Parisien – Aujourd’hui en France dévoile en exclusivité. Ce vent mauvais, il n’y a pas que les juifs qui le ressentent : 76 % de l’ensemble de la population constate désormais « la force de l’antisémitisme en France », selon la formule du politologue Dominique Reynié. De plus en plus intensément : 12 points de plus qu’il y a deux ans, lors de la dernière radiographie en date de l’AJC. Il n’est pas inutile de rappeler que, avec environ 500 000 individus, la plus forte communauté juive d’Europe est française.

La cinquième colonne juive compte 450,000 espions en réalité, mais c’est effectivement scandaleusement élevé.

« On assiste à une propagation et une normalisation de l’antisémitisme qu’on connaît depuis deux décennies, et qui se confond avec le rejet d’Israël, alerte Simone Rodan, directrice de l’AJC Europe. Même si ça n’est pas majoritaire, ça a explosé en France et dans tous les pays, jusqu’aux plus improbables. » On pense évidemment au succès stupéfiant du slogan « From the river to the sea » (« Du fleuve à la mer »), promesse de destruction de l’État hébreu, sur les campus des États-Unis, pays pourtant allié le plus fidèle d’Israël.

Cela fait plus de 3,000 ans que l’antisémitisme existe et il ne semble jamais devoir disparaître. C’est certainement parce que les juifs se comportent systématiquement en parasites agressifs et que tôt ou tard la victime finit par se révolter.

Cette fois-ci cependant, c’est au niveau planétaire.

Là-bas comme dans l’Hexagone, il n’a pas fallu longtemps pour que les images effroyables de la guerre à Gaza fassent oublier dans l’opinion celles, insoutenables, du pogrom du 7 octobre. « On aurait pu s’attendre à un élan durable d’empathie et de solidarité, ça s’est très vite retourné. C’est une constante, déjà observée après la tuerie à l’école Ozar Hatorah de Toulouse en 2012 : chaque tragédie contre les juifs libère les passions antisémites », déplore Simone Rodan.

Ces juifs sont décidément nés avant la honte.

Le 7 octobre n’est pas un « pogrom », c’est-à-dire, dans la bouche de ces juifs, une agression gratuite contre des juifs qui n’auraient rien eu à se reprocher. C’est une action de résistance contre des colons de la part des indigènes qui se défendent de la voracité territoriale des juifs.

Cette manipulation des mots est caractéristique. Pour le juif, il s’agit de se présenter en victime  afin d’agir en toute impunité contre les autochtones qu’il opprime férocement.

Au-delà des facs, le « rajeunissement de l’antisémitisme » est un grand, et inquiétant, enseignement de l’enquête. Ainsi, 35 % des moins de 25 ans estiment justifié de s’en prendre aux juifs en raison de leur soutien supposé à Israël, contre 21 % de la population générale, signe d’un vrai « saut générationnel », résume Simone Rodan, pour qui ils « peinent à voir les juifs comme de possibles victimes ».

Cela prend effectivement une très mauvaise direction pour les juifs.

Les juifs ne sont victimes de rien, ils détiennent le pouvoir.

Il n’y a que les boomers pour croire que Bernard-Henri Lévy ou Arno Klarsfeld sont des victimes. Sans l’obsession des boomers pour le mythe de l’holocauste, il y a beau temps que les juifs ne pourraient plus extorquer quoi que ce soit aux goyim.

Ce n’est pas étonnant que leur leader ait été un anarchiste juif.

Heureusement, l’influence culturelle des boomers est à son pic au plan institutionnel. Un plateau est déjà atteint dans la société et la décrue du philosémitisme est amorcée. Les zoomers sont complètement indifférents aux larmes de crocodile des juifs à propos de cette histoire stupide de chambres à gaz, ce qui pave la voie à la chute de la juiverie.

Sans disposer du statut de vaches sacrées, les juifs ne peuvent arriver à rien.

L’ennui, pour les démocraties, c’est que les juifs sont le ciment du système, il ne peut pas se maintenir sans eux.

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