Comme prévu, la « marche blanche » de Châteauroux a été un insupportable spectacle de faiblesse

La rédaction
Démocratie Participative
05 mai 2024

 

Précédemment : « On va rester dans la gentillesse » : le père de Matisse refuse « la haine » et les amalgames de la « droite »

Les marches blanches sont désormais exactement ça : des marches avec uniquement des Blancs.

J’ai dans l’idée que cet exercice collectif à très faible taux de testostérone ne dissuadera pas l’envahisseur d’assassiner des autochtones, mais je peux me tromper.

Tu seras un « vrai goy », mon fils

Je hais vraiment le père de la victime, comme certainement jamais on a haï le père d’une victime.

Au bout d’un moment, on ne veut tout simplement plus être associé à des gens comme ça. C’est une question de respect de soi-même et de dignité, mais aussi de sécurité. Ces golems prostrés mettent en danger tout le monde en envoyant sans cesse des signaux de faiblesse raciale à l’envahisseur.

Ces bêtes malades font littéralement tuer des Blancs avec ces conneries.

L’intérêt d’une marche devrait être d’appeler à la vengeance totale, pas à divaguer l’air ahuri en pensant être en train de réaliser quelque chose d’utile.

C’est bien dans la cervelle éclatée des Blancs que se trouve le problème et ce problème se situe à la convergence de deux phénomènes : la dévirilisation et le surmoi victimaire chrétien.

D’où ces marches femelles.

C’est le dieu celte de la mort et de la vengeance qu’il faut invoquer. La haine est salvatrice, il faut la chérir et l’entretenir contre l’ennemi.

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