Comprendre la contre-insurrection des démocraties juives en vue de la guerre contre la Russie

La rédaction
Démocratie Participative
09 mars 2024

 

💬 La présence des forces de l’#OTAN en Ukraine n’est pas impensable. J’apprécie l’initiative du président Emmanuel Macron, car il s’agit que Poutine ait peur, et non que nous ayons peur de Poutine.

Précédemment : Pologne : le nouveau gouvernement pro-UE accueille triomphalement les clandestins au parlement

La nouvelle majorité homo-féministe au pouvoir en Pologne à trois priorités : intensifier l’immigration non-blanche, imposer l’anal à l’école et déclarer la guerre à la Russie. Bref, faire ce que font les démocraties juives occidentales en général.

Ce Sikorski est le nouveau ministre des Affaires étrangères polonais et, comme vous le voyez, il se consume d’impatience à l’idée de voir la Pologne débitée en morceaux par la Russie.

C’est certainement un penchant BDSM qu’ont les Polonais.

Sikorski avait déjà été ministre des Affaires étrangères entre 2007 et 2014. À ce poste, il avait participé au putsch de 2014 à Kiev aux côtés de la CIA.
La seule chose qu’il y a à savoir sur Sikorski, c’est l’identité de sa femme : la juive Ann Applebaum. Elle est notamment membre de l’Atlantic Council, la vitrine politique de l’OTAN chargée de coordonner les gouvernements fantoches des démocraties.
L’Atlantic Council est dirigé par 7 ex-directeurs de la CIA.
Anne Applebaum
On l’a retrouvée dans diverses initiatives secrètes de la CIA et de son bras militaire qu’est l’OTAN via le MI6 britannique. Notamment une, depuis Londres, qui consistait à déployer la censure militaire sous un vernis civil pour contenir toute opposition, l’Integrity Initiative.
En 2018, les agents des cellules de ce réseau britannique chargée de la guerre psychologique ont été identifiés.
Voici les agents de la zone France :
  • Francoise Thom
  • Jusin Vaisse (ministère des Affaires étrangères)
  • Thomas Bertin (Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale)
  • Caroline Gondaud (ministère des Affaires étrangères)
  • Guillaume Schlumberger (ministère de la Défense)
  • Raphael de Lagarde (ministère des Affaires étrangères)
  • Roland Galharague (ministère des Affaires étrangères)
  • Martin Briens (ministère des Affaires étrangères)
  • Jean-Christophe Noel (ministère des Affaires étrangères)
  • Laurent Rucker (ministère des Affaires étrangères)
  • Alexandre Escorcia (ministère des Affaires étrangères)
  • Nikola Guljevatej (ministère des Affaires étrangères)
  • David Behar (ministère des Affaires étrangères)
  • Claire le Flecher (ministère des Affaires étrangères)
  • Remy Bouallegue (ministère des Affaires étrangères)
  • Paul Zajac (ministère des Affaires étrangères)
  • Nicolas Roche [email protected] (commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives)
  • Manuel Lafont Rapnouil (European Council on Foreign Relations)
  • Laurent Rucker (ministère de la Défense)
  • Patrick Hardouin
  • Etienne de Durand (ministère de la Défense)
  • Janaina Herrera (ministère des Affaires étrangères)

Ces cellules étaient activées pour déclencher des campagnes médiatiques contre des cibles politiques réputées « pro-russes », catégorie très flexible où tout opposant aux menées des juifs était classé.

Si un membre d’une cellule apprenait qu’une cible devait mener une action, il alertait les autres membres de la cellule. Ceux-ci informaient les médias, tous sous contrôle gouvernemental, puis lançaient une campagne sur Twitter, à l’époque sous le contrôle de la CIA.

Un exemple en Espagne :

C’est comme ça que l’information – la désinformation donc – fonctionne vraiment dans les démocraties. Récemment, c’est Dominique de Villepin qui en a été la victime.

Cette opération particulière s’inscrivait dans le déploiement dans l’ensemble des pays de l’OTAN d’un système militaire clandestin de contrôle politique des masses par l’usage combiné des réseaux sociaux, des médias conventionnels, de divers agents d’influence, d’organisations, de structures gouvernementales.

Avec la victoire de Trump en 2016, le gouvernement américain, et les juifs qui le contrôlent, ne s’attendait pas à affronter une réelle révolution non-violente, par la voie électorale. Le principal problème que pose Trump à l’oligarchie en place est son opposition, sinon active au moins passive aux guerres que veut ce système.
Toute victoire populaire selon les règles du jeu en vigueur est désormais qualifiée de « populiste », c’est-à-dire d’illégitime. La CIA a donc mis au point la technique de la contre-révolution de couleur. Elle consiste à accuser le vainqueur légitime d’une élection d’avoir perdu l’élection tout en truquant le suffrage. Il faut préventivement censurer la contestation avant la tenue des élections et mobiliser l’appareil médiatique pour l’écraser.
En 2019, en préparation des élections américaines de 2020, la CIA et l’armée américaine ont mis en place la censure verticale de toutes les plateformes occidentales. C’est pourquoi à l’époque, subitement et de manière coordonnée, des tas de personnes ont été censurées sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, etc., y compris en France.
Même Trump en a été la cible. LCI, la chaîne de l’OTAN, comme tous les médias sous contrôle, justifiait cette opération de contre-insurrection clandestine.

Après la victoire de Trump en 2016, le gouvernement américain, largement dominé par les juifs, a en fait déployé sur le territoire des USA le système des « révolutions de couleur » que la CIA n’employait alors qu’à l’étranger, comme à Kiev en 2014.
Ils ont perfectionné le système en créant des techniques de « contre-révolution de couleur ».
Une révolution de couleur est une fausse révolution populaire organisée par la CIA via l’internet, des ONGs, les médias occidentaux, des agents infiltrés, etc., pour renverser un gouvernement jugé hostile par le gouvernement US.
La CIA accuse un gouvernement ennemi de truquer l’élection du moment, d’organiser parallèlement des rassemblements de masse, souvent au prétexte de concerts, de générer des violences de rue et de faire tomber le gouvernement avec l’aide des partis et figures présélectionnées.
Le dernier exemple a eu lieu en Biélorussie. Parmi les techniques employées, l’usage extensif des femmes et des réseaux sociaux, le tout amplement relayé par la machine de guerre médiatique occidentale.
Une contre-révolution de couleur utilise les mêmes méthodes, mais pour défendre un gouvernement au lieu de le détruire.
Cette technique a été employée par la CIA, le Pentagone, la NSA, le FBI, les ministères de la Justice, de la Sécurité Intérieure, des Affaires étrangères en 2020 pour empêcher Trump d’être reconduit à la Maison Blanche.
Il ne suffisait pas de truquer les élections, il fallait empêcher que l’opposition puisse s’organiser. Pour cela, il fallait étroitement contrôler les réseaux sociaux où ils s’organisent.
C’est pourquoi Obama, lors de son dernier déplacement en Grèce en novembre 2016, alors qu’il était encore président, avait déclaré que la raison de l’élection de Donald Trump était à rechercher dans les « fake news ».
Ce terme, jamais entendu auparavant, était une fabrication de la CIA pour délégitimer l’élection de Trump, l’accuser d’être un agent russe et paralyser son action politique, ainsi que toute opposition.
Dans le cadre de cette opération de contre-insurrection globale, des « fact checkers » astrosurfés par les GAFAM ont été sélectionnés par la CIA et ses différents états vassaux pour mener le travail de désinformation et de censure sur les réseaux sociaux.
Soudainement, tous les médias français se sont alors dotés de « fact checkers ». Ce n’est pas une « incroyable convergence des esprits », mais le résultat d’une opération de guerre psychologique dirigée depuis Washington.
Qui se souvient des « décodeurs du Monde » et de tous leurs équivalents déployés dans chaque média ?
Nous retrouvons les juifs Mendès et Reichstadt dans ce travail de censure sous couvert de lutte contre la « désinformation ». Peu importe l’agenda du système – élections US, Covid, guerre en Ukraine – ils sont déployés pour organiser la censure des réseaux sociaux. Avec l’arrivée de Musk, l’accès de la CIA à Twitter a cependant été largement réduit et leur capacité de nuisance largement diminuée.
Là où en 2022, Mendès pouvait désigner un compte à supprimer, il ne peut plus que s’en lamenter au pied de son mur aujourd’hui.

Le Covid et les mensonges d’état qui l’ont accompagnés ont largement discrédité ces « fact checkers » sous-traitant pour l’OTAN.
À l’époque, nous avons également vu surgir à l’extrême-droite des gens se revendiquant de « l’anti-conspirationnisme » et adopter automatiquement des positions pro Pfizer, pro Ukraine. Ne cherchez pas trop loin qui les prend en mains.
Le parlement américain a publié un rapport sénatorial sur ce dispositif contre-insurrectionnel mis en place par la CIA pour truquer les résultats d’une élection nationale américaine.
Cette méthode sera à nouveau utilisée en 2024 par le gouvernement américain pour tenter d’empêcher Trump d’être élu, mais sans le contrôle de la CIA sur Twitter, l’opposition pourra s’organiser. La riposte de la CIA devra être beaucoup plus directe, donc beaucoup plus brutale et surtout, visible.
Le putsch est déjà en cours.
John Brennan, ex-directeur de la CIA, ancien membre du Parti Communiste des USA, explique que les services de renseignements américains (CIA, NSA, FBI, etc..) ne coopéreront pas avec Trump, que ce soit légal ou non.
Irréel ! L’ancien directeur de la CIA, John Brennan, déclare à MSNBC que la communauté du renseignement cachera des informations clés à Trump après qu’il aura accepté l’investiture républicaine cet été. Nous devons mettre la communauté du renseignement au pas. Il s’agit d’un canular russe 2.0, écrit en toutes lettres.

La guerre civile est ouverte aux USA et elle deviendra inévitablement violente à la faveur des élections de novembre 2024 quand le gouvernement fédéral interviendra pour empêcher la réélection de Donald Trump.
Anne Applebaum et Radek Sikorski sont au coeur de cette machine qui fait la guerre, tant intérieurement qu’extérieurement, à toutes les forces qui constituent un obstacle, que ce soit volontairement ou non. Face au blocage du soutien à l’Ukraine au Congrès par les Républicains, Macron, comme fantoche de cette machine juive globale, est mandaté pour prendre le relais jusqu’en novembre 2024, le temps que Trump soit écarté de la Maison Blanche et que le Congrès soit neutralisé.
Cela implique une mobilisation autoritaire et verticale de l’opinion française contre la Russie par les agents d’influence usuels et la délégitimation de l’opposition à la guerre comme une « cinquième colonne » aux ordres de Moscou. Typiquement, l’accusation de « trahison » avec l’habituel usage du patriotisme de comptoir pour clore la discussion.
Le système dispose à cet effet d’agents bellicistes, tant à droite qu’à gauche, pour attaquer l’opposition (non-juive) à la guerre.
La situation est effectivement révolutionnaire, avec une jonction de plus en plus forte entre l’effort de guerre des démocraties juives contre les adversaires systémiques extérieurs et celui qu’elles poursuivent contre ceux de l’intérieur. Du point de vue du système, il n’y a pas de différence qualitative. Si le système perd la guerre en Ukraine, il anticipe un affaiblissement systémique qui renforcera les forces d’opposition intérieure qu’il qualifie de « populiste ». Pour cette raison structurelle, plus le temps passe, plus il devient impossible, de son point de vue, de distinguer entre la Russie, l’Iran et, par exemple, un électeur RN ou LFI.
Il faut se préparer à une possible, sinon probable, censure de guerre des moyens de communication à partir de 2024.

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