Crépol, Patrick Cohen annonce la version officielle : « Sales Blancs ! »

La rédaction
Démocratie Participative
28 novembre 2023

 

Les juifs ont finalement lancé leur contre-offensive médiatique.

La langue perfide Patrick Cohen a livré la version « officielle » des faits :

  • les allogènes passaient une bonne soirée au bal, pour le plus grande plaisir des Françaises présentes
  • le quartier la Monnaie est unquartierpopulaire.png
  • les autochtones jaloux ont provoqué les racisés
  • une bagarre a éclaté faisant un mort
  • çaarrive.jpeg
  • il n’y a jamais eu d’opération punitive pour « casser du Blanc »
  • c’est l’extrême-droite (les Blancs) les vrais coupables
  • ouf

Du sémitisme chimiquement pur :

Alors, on est jaloux du succès des basanés ?

Nous sortions, temporairement, de 6 semaines d’une intense propagande pour faire l’union sacrée autour de la race juive.

Cette affaire de Crépol a soudain privé le peuple élu de l’attention tant recherchée et a donné pendant près de dix jours l’ascendant moral aux Blancs qui ont remis leurs intérêts raciaux en haut de l’échelle des priorités dans le discours public.

Peu importe ce qui se passe en France, tout doit bénéficier au parasite juif. Les Blancs ne doivent pas développer de conscience raciale, prérequis de la défense des intérêts autochtones qui s’opposent par définition à ceux de la juiverie parasitaire.

Le Kahal a deux approches, complémentaires. Celle de droite et celle de gauche, lesquelles permettent de maintenir divisés les Blancs en blocs antagonistes.

Par la droite, Goldnadel a réorienté tout ce qui touche à Crépol vers le salut de la colonie juive. La colère contre les maghrébins, oui, mais sous condition de soutenir la cause coloniale du peuple élu.

À gauche, c’est le juif Arfi, pour Mediapart, qui a cherché à délégitimer l’identification du profil racial des razzieurs de Crépol.

En usant de démagogie à propos « des riches » à prénoms français, le juif voulait prévenir toute prise de conscience d’une menace raciale visant spécifiquement les Blancs. Par contrecoup, cette prise de conscience pourrait réveiller une réaction de défense collective blanche dans l’opinion, par nature incompatible avec les intérêts du parasite juif.

Le juif utilise ses idiots utiles de la gauche blanche comme masse de manoeuvre contre les autres Blancs, alertés par la menace ethnique.

Il est très facile de lire dans le jeu des juifs lorsque l’on comprend que la base de toute leur approche parasitaire est d’empêcher l’émergence d’une conscience collective blanche.

Que ce soit par le discours libéral, qui réduit l’homme blanc à un individu, ou par son faux-jumeau marxiste qui veut le fondre dans une masse marron indifférenciée, le juif sème la confusion dans les consciences blanches pour que le juif reste le maître de la perception de la réalité.

Grâce à cette opération de guerre psychologique permanente, le juif veut éviter l’affrontement racial « bloc contre bloc », car le juif, écrasé numériquement, sait n’avoir aucune chance.

Le juif est infiniment plus dangereux que l’envahisseur afro-musulman. Feignant l’assimilation en mimant les codes culturels des autochtones, ce serpent  diffuse son poison peut le corps de sa victime rendue inattentive.

Désigner constamment le juif aux foules est l’antidote à cette infiltration.

Il faut encore et toujours dénoncer le juif nommément, sans faiblir, pour que tous les regards se portent sur lui.

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