Festival d’Avignon : le travelot Philippe Ménard, financé par le ministère juif de la Culture, dénonce l’armée et le patriarcat (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juillet 2018

 

Puisque nous parlions hier des campagnes anti-SIDA comme arme de subversion utilisée par les sodomites contre l’ordre social, aujourd’hui nous compléterons avec l’art dégénéré financé par les juifs du Ministère de la Culture dans le but de détruire la culture aryenne du peuple français.

Cette fois-ci, c’est le travelot Philippe Ménard qui, sur fonds publics, prétend dénoncer le « patriarcat » et « l’armée » qui, comme vous le savez, n’ont jamais été si puissants en France qu’à notre époque.

Même si c’est l’évidence, rappelons que nous avons à faire ici à un authentique cas psychiatrique puisque ce taré refuse d’assumer sa biologie.

Comme le juif parasitaire face aux sociétés aryennes, productrices et stables, le malade mental homosexuel est en rébellion contre la notion même d’ordre social qui l’entrave dans ses actes destructeurs contre la société. C’est tout naturellement qu’il s’en prend, du même mouvement, à l’Armée, symbole de la puissance masculine blanche, et au « patriarcat » dont elle découle.

Pour que cette sous-humanité se sente libre de détruire, elle a besoin d’anéantir psychologiquement les autres hommes. Ce qui se traduit par cet empoisonnement anti-culturel permanent, cet encouragement systématique à la déchéance morale et formelle.

Là où le jeune adolescent voit dans un défilé militaire une force virile qui l’inspire, ces éléments antisociaux perçoivent la menace du mâle blanc souverain et dominateur.

Le Ministère de la Culture est en réalité le ministère de la culture juive. C’est-à-dire de l’anti-culture. Culture européenne et anti-culture juive, répétons-le toujours, s’opposent radicalement.

Ce ministère juif charrie métèques, désaxés en tous genres, sodomites en tête, le tout sous le patronage du juif, le chef d’orchestre diabolique.

Ce ministère de l’anti-culture juive agit comme un véritable soviet judéo-bolchevique et détruit systématiquement les artistes qui pourraient permettre à l’humanité blanche de France de renouer avec son âme profonde. C’est probablement le nid de terroristes hébraïques le plus influent de tous puisqu’il contrôle les médias publics.

Est-ce surprenant si c’est ce ministère qui supervise actuellement la loi de censure dite « anti fake news » ?

Et qui appelle inlassablement à la censure en France ?

Oui : les juifs.

C’est pour cela que France Culture, radio truffée de youtres, est à l’avant-garde, avec France Info, de la promotion de la dégénérescence et qu’elle ne perd jamais une occasion de déverser son pus sémitique partout.

Le seul type d’exposition juive tolérable

Une authentique politique culturelle suppose d’écarter les juifs de toutes les activités y étant liées : littérature, musique, cinéma, opéra, théâtre. Tout, sans exception, doit être purgé de l’influence empoisonnée généré par l’intellectualisme juif dégénéré.

Il ne faut pas chercher ailleurs l’effondrement total de la vie artistique en France : tout, intégralement, y est juif. De quoi découle la présente stérilité sur fond d’obscénité et de médiocrité hébraïque que nous connaissons.

Je n’ai, à ce jour, jamais entendu cette question de l’aryanisation de la culture en France être abordée dans nos milieux en dépit de sa centralité.

D’autant que, comme nous l’avons dit, les juifs se déchaînent pour détruire la culture française, à l’instar de la récente négrification du Louvre par un immonde youpin de Jérusalem.

C’est ici qu’il faut à nouveau louer la grande lucidité d’Adolf Hitler et de Josef Goebbels sur cette question fondamentale et les mesures énergiques prises contre ce danger de la judéo-négrification des esprits que porte l’art dégénéré.

Les juifs sont les destructeurs de la culture occidentale.