Gay-tapant à Marseille : une fiotte échappe à un lynchage organisé par « trois hommes »

La rédaction
Démocratie Participative
02 octobre 2023

 

Décidément, la mosaïque d’espérances est riche d’actualité d’espoir.

Stop Homophobie :

Un jeune homme d’une vingtaine d’année a été victime d’une tentative de meurtre, dans la soirée du lundi 25 septembre, alors qu’il avait rendez-vous dans le quartier de l’Estaque à Marseille avec un inconnu rencontré via le site Coco.fr. Un guet-apens organisé par trois complices qui ont tenté de percuter son scooter, dès qu’ils l’ont identifié.

« Ils ont voulu me tuer ! J’étais à quelques mètres de l’adresse indiquée et je les ai entendus s’exclamer ‘ha c’est lui’ avant de voir leur véhicule s’engager à toute allure vers moi. J’ai tenté de bifurquer mais j’ai atterri dans un bosquet », a-t-il expliqué dans son témoignage. Contraint de faire demi-tour, il s’est donc retrouvé face à ses agresseurs, qui ont de nouveau foncé sur lui en ricanant.

« J’ai pu éviter le choc en sautant entre deux voitures qui étaient garées là et je me suis mis à courir aussi vite que je pouvais, jusqu’à m’enfoncer dans un espèce de couloir, sous-terrain. Je devais sauver ma vie », insiste-t-il, bouleversé. « Je n’avais jamais eu peur jusque-là, mais maintenant je sais ce que ça veut dire d’avoir peur ».

Le jeune homme a ensuite alerté la police mais en vain. « Ils ne comprenaient pas ce que je leur disais. Mais j’ai appelé mon oncle, qui est aussi policier et qui est finalement venu me chercher. Mais c’est indéniable qu’ils voulaient me tuer. Pendant qu’ils me traquaient, l’un d’eux continuait à me parler sur l’application pour que je lui dévoile où je me cachais. ».

Il a déposé plainte et s’il a accepté de témoigner, c’est pour alerter et prévenir d’autres agressions. « Ces sites de rencontres, et Coco particulièrement, sont excessivement dangereux », poursuit-il. « Je m’en sors avec des contusions, j’ai connu la peur, mais j’aurai pu y passer si je n’avais pas eu la condition physique pour courir. ».

Dans 15 jours, cette fiotte sera de nouveau très actif sur cette plateforme.

Les gens normaux – les Blancs hétérosexuels, surtout les femmes blanches – ont une conception complètement décorrélée de l’homosexualité réelle. Ils se disent que c’est comme une relation entre homme et femme, mais entre homme et homme.

Ils croient par exemple qu’il y a des « couples » homosexuels.

Les homosexuels sont des détraqués dont la vie tourne autour de leur rectum et de ce qu’ils y insèrent, ce qu’ils ne mettent pas vraiment de difficultés à reconnaître en privé.

S’introduire autant de pénis différents dans l’anus que possible constitue 99% des relations « amoureuses » entre homosexuels.

Les applications de rencontre ont grandement contribué à assouvir les besoins de ces gens-là. Auparavant, ils étaient cantonnés à des boîtes de nuit, des bars privés, quelques parkings. Les fiottes ont cette vilaine habitude de s’entre-sodomiser entre inconnus, de préférence dans des endroits glauques.

Les startupeurs d’Emmanuel Macron n’ont pas mis longtemps à identifier ce marché en pleine expansion grâce aux applis pour pédés-qui-s-enculent. À la fois pour les racketter, mais aussi pour les violer, car, en islam, si se faire sodomiser est haram, sodomiser est halal.

Sodomiser des infidèles est tout particulièrement prisé des moudjahidines.

La véritable raison de l’expansion ottomane dans les Balkans jusqu’aux portes de Vienne n’a pour seule explication que les besoins colossaux en petits garçons blonds des moustachus d’Istanbul.

En tout cas, la communauté de l’alphabet veut en découdre.

Autant le régime républicain est très hostile aux « milices d’extrême-droite », autant des milices anales seraient très certainement plébiscitées par la république française comme une avant-garde progressiste.

Hélas, nous n’en verrons jamais aucune, car les fiottes rasent les murs.

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