Gaza / Boycott de MacDonald’s dans le monde musulman : « nous constatons un certain impact en France »

La rédaction
Démocratie Participative
20 février 2024

 

Ce n’est pas que nous ayons besoin de MacDonald’s pour savoir que la France est un pays musulman, mais c’est tout de même le genre d’indicateurs internationaux qui dit tout haut ce que l’état macroniste pense tout bas.

Je parle de l’indicateur du Big Mac.

La conférence des dirigeants de MacDonald’s sur les revenus générés au 4e trimestre a permis de faire le point sur le boycott consécutif à la guerre des juifs à Gaza.

Mac Donald’s en Israël soutient les opérations de nettoyage ethnique sur le terrain.

Les forces israéliennes combattent #Gaza avec le soutien de McDonald’s !

Continuez à boycotter !

Les pertes globales de MacDonald’s s’élèvent à 3%, rien de terrible.

C’est le détail des pays qui est intéressant.

Rev.com :

Notre première question est posée par David Palmer d’Evercore.

David Palmer (30:15) :

Merci. Probablement juste une question en deux parties rapidement. Pensez-vous que les boycotts ont un impact sur les résultats des MOI (Marchés Opérés Internationalement), même s’il est faible ? … Je vous remercie.

Chris Kempczinski

Chris Kempczinski (31:22) :

David, c’est Chris. Merci pour vos questions. Tout d’abord, en ce qui concerne votre question sur le Moyen-Orient, il est évident que c’est là que nous constatons l’impact le plus prononcé. Nous constatons un certain impact dans d’autres pays musulmans comme la Malaisie et l’Indonésie. Quant à l’impact de sur les OIM, il dépend du pays. Ainsi, dans un pays comme la France où la population musulmane est plus importante, nous constatons un certain impact en France. Cela dépend beaucoup de l’endroit où se trouve le restaurant et s’il est situé dans une zone musulmane.

Votre MacDonald’s de quartier se trouve-t-il dans une « zone musulmane » ?

Chris (32:00) :

Mais nous constatons un certain impact dans ce pays. Dans d’autres pays, comme l’Espagne ou l’Italie, nous ne constatons aucun impact. Cela dépend vraiment beaucoup du pays. Mais comme je l’ai dit, c’est au Moyen-Orient et dans les pays musulmans comme l’Indonésie et la Malaisie que l’impact est le plus prononcé.

Idéalement, les goyim ne devraient pas manger au MacDo pour leur propre santé.

Tout aussi idéalement, ils devraient fuir les multinationales qui structurent ce système aliénant qui organie l’avènement du sous-homme sans race.

Hélas, en général, la populace se contente de satisfaire ses besoins grégaires.

Ce n’est pas moi qui vais me plaindre du boycott de MacDonald’s en réaction à son soutien à la barbarie juive, qu’il soit initié par des musulmans ou par n’importe qui.

En soi, c’est déjà un exploit que les musulmans s’imposent ici ou là une petite restriction de consommation parce qu’ils estiment que l’anéantissement de Gaza est plus important qu’un Mac Flurry.

C’est juste que la France s’illustre par le nombre de bougnoules qui s’y trouvent, au point où la carte géopolitique du Big Mac la sort du lot.

Il y a un enjeu ethno-communautaire autour des fast-foods. D’ordinaire les gens se plaignent des métèques qui créent des kebabs, mais critiquer ne sert à rien, ne serait-ce que parce qu’aucune critique n’a jamais fait disparaître un kebab.

Les Blancs qui ne savent pas trop quoi faire professionnellement devraient travailler à monter des chaînes communautaires. Aux USA, il y a des chaînes spécifiquement chrétiennes comme In-N-Out qui se forgent des niches avec beaucoup de succès. Le produit est volontairement de meilleure qualité – ils ne cherchent pas à concurrencer les multinationales, donc le plus grand nombre – et vous trouverez des psaumes de la Bible sous votre gobelet.

Évidemment, en France, un truc chrétien ne marcherait pas, mais le principe tient. Il s’agit d’afficher la dimension communautaire de la marque afin que les clients (blancs) soutiennent un business par identification et solidarité.

Vous préférez que votre argent aille à ceux qui vous ressemblent plutôt qu’à des étrangers, voire des ennemis, n’est-ce pas ?

Il y a des façons de procéder. Par exemple, sans afficher une hostilité ouverte aux juifs ou musulmans, par définition illégale, affirmer que le mode d’abattage intègre le paradigme de la souffrance animale. Cela signifie d’emblée que la nourriture n’est ni kasher, ni halal, ce qui fait fuir ces gens qui sont en outre une clientèle ultra toxique.

Idem avec le porc, etc..

Pour l’essentiel, toute leur soi-disant religion tourne autour de l’interdiction de manger des trucs. Les possibilités sont illimitées. Il faut être créatif, simple, viser une certaine clientèle (blanche, à l’évidence), de préférence de la classe moyenne,  grâce à des signaux d’appel.

Plutôt que de boycotter ponctuellement, le mieux est de construire des entités économiques dont le boycott des races de boue est intégré dans l’ADN de l’entreprise dès sa fondation.

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