La femme Le Pen exige et obtient que la lesbienne à la tête de l’AfD abandonne la question de la remigration

La rédaction
Démocratie Participative
22 février 2024

Les deux partis populistes français et allemand sont dirigés par des femmes blanches.

C’est toujours la recette pour une catastrophe.

France Inter :

Fin janvier, Marine Le Pen avait pris ses distances avec ses partenaires allemands de l’AfD, allié du RN au Parlement européen. Le parti d’extrême droite allemand était accusé d’avoir présenté un plan d’expulsion massive du pays d’étrangers et de « citoyens non assimilés ».

Marine Le Pen, Jordan Bardella et Alice Weidel, la coprésidente de l’AfD, ont déjeuné à Paris mardi. Le députée Rassemblement National Marine Le Pen avait pourtant pris récemment ses distances avec le parti d’extrême droite allemand, après les révélations autour d’un projet secret de remigration des étrangers et des citoyens non assimilés, auquel des membres de l’AfD ont participé.

Une rencontre révélée par Alice Weidel elle-même, sur Twitter et confirmée par le RN, auprès de France Inter. « Nous avons discuté de nombreuses questions politiques et avons constaté que nous recherchions les mêmes solutions aux grands problèmes d’aujourd’hui. Je tiens à vous remercier beaucoup pour votre accueil chaleureux à Paris », écrit la coprésidente de l’AfD.

Un déjeuner a bien eu lieu hier entre la présidente de l’AFD et les deux têtes du RN, le président du parti Jordan Bardella et Marine Le Pen. Pourtant, fin janvier lors de ses vœux a la presse parlementaire, la cheffe de file des députés RN à l’Assemblée nationale avait pour la première fois, pris publiquement ses distances à cause de ces révélations sur le plan secret de remigration, n’excluant pas un divorce.

Ce n’est pas un « plan secret ». C’est le programme officiel de l’AfD.

Du moins, c’était.

L’alcoolo-tabagique s’était donnée en spectacle à l’Assemblée, alors que l’affaire ne la concernait ni de près, ni de loin, pour donner encore plus de gages au système.

« Je considère que nous avons, si c’est le cas, une opposition flagrante avec l’AfD. Et nous serons amenés à discuter, des divergences, et voir si ces divergences ont ou n’ont pas des conséquences, sur la capacité que nous avons à nous allier dans un même groupe », avait-elle déclaré. Depuis, les relations étaient très tendues au parlement européen.

Forcément.

Quand vous avez cette épave de Le Pen qui se met à jouer la partition de la gauche allemande, vous l’interprétez comme tel.

Un eurodéputé RN raconte le sentiment de trahison de l’AfD, « ils ne comprennent pas pourquoi ça fait le jeu de nos adversaires ».

« Ne pas faire la politique de la gauche fait le jeu de nos adversaires »

Au sein du Rassemblement national, deux camps se font alors face. L’entourage de Marine Le Pen, 2027 dans le viseur, qui rêverait de ne plus être associé aux Allemands : « Mieux vaut être seul que mal accompagné », répète un proche.

Ça, c’est signé.

Ce sont les fiottes autour de l’alcoolo-tabagique. Les infâmes Bruno Bilde et Steeve Briois.

Ce quarteron de pédés est la cause du véritable SIDA qui a infecté l’ensemble de ce parti sur toutes les questions.

C’est une règle d’airain : à la minute où une femme blanche accède à un poste de pouvoir, elle ouvra la porte aux juifs et aux homosexuels. Ils s’engouffrent et verrouillent tout.

De l’autre, les élus européens. Leur enjeu est tout autre : préserver leur groupe Identité et démocratie. Car si le principal allié jusqu’ici s’appelle Matteo Salvini, son parti, la Ligue, pourrait s’éffondrer en juin prochain, alors que l’AFD pourrait gagner des élus. Les eurodéputés poussaient donc à cette rencontre entre Marine Le Pen et Alice Weidel. La dirigeante de l’AFD selon qui ce rendez-vous s’est remarquablement bien passé, « nous suivons les mêmes approches, dit elle, pour résoudre les grands problèmes. » Le RN lui n’a pas souhaité commenter.

Avec une cerise sur le gâteau.

Il s’avère que c’est la femme Weidel, une gouine maquée à une goudou du sous-continent indien, qui a proposé cet abandon de la remigration – en Allemagne ! – et que l’atroce Marine Le Pen se soit empressée d’exiger un papier signé.

Ces femmes blanches sont un désastre universel et, pour une raison incompréhensible, elles continuent à se mêler de politique dans l’indifférence générale, avec un bilan toujours plus désastreux.

L’AfD a commencé comme parti souverainiste en 2013 avant de devenir un parti anti-immigration. Malgré la montée en puissance des nationalistes en son sein, une partie de l’organigramme est profondément pourri, peuplé de femmes blanches et d’opportunistes. Comme le RN, en somme.

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