La gendarmerie censure au plus haut niveau la diffusion des noms des razzieurs de Crépol

La rédaction
Démocratie Participative
24 novembre 2023

 

Pour le gouvernement d’Élisabeth Bornstein, la sécurité d’Israël n’est pas négociable.

Celle des maghrébins non plus. Ordre est donné de ne pas donner les noms des bougnoules impliqués dans la razzia de Crépol.

Le Figaro :

Mercredi matin, en marge du Conseil des ministres, Gérald Darmanin montre à l’un de ses collègues les noms des suspects placés en garde à vue la veille, après l’attaque au couteau à Crépol. «Ils sont français, mais pas un seul n’a un nom à consonance française, confie après coup ce ministre en soupirant. Vous verrez ce que ça suscitera dans le pays… Cette affaire traumatise légitimement nos compatriotes. Il faut remettre des règles et de l’ordre, sinon le pays partira à vau-l’eau.»

Il serait quand même temps de remettre des règles. Sinon un jour des gens seront assassinés à coups de couteau !

Le calcul de ces flics, tous membres de la maçonnerie, c’est-à-dire chiens des juifs, est qu’en retardant au maximum la diffusion des noms, l’impact dans l’opinion sera considérablement affaiblie, les gens étant passés à autre chose.

Comme je le disais à propos de l’Irlande : ACAB !

Les Irlandais ont adopté une véritable position révolutionnaire en réagissant à l’attaque d’hier en ciblant ces flics.

Incendie d’une voiture de police dans le centre ville de Dublin

Au présent stade, cibler des allogènes ne sert à rien politiquement parlant. Pour un crouille amoché, le système en importera 100 en renfort, et ils seront protégés par les médias, les juges, les Antifas et… les flics, bras séculier du système.

C’est vider l’océan avec une cuillère.

L’immigration non-blanche est un flux.

Les flics, en revanche, sont un stock. Et ils sont le bouclier du système. Stratégiquement, c’est une différence fondamentale. Ils n’ont pas de ressources humaines supplémentaires. Une révolution blanche qui affronterait prioritairement les flics placerait ceux-ci dans une guerre sur deux fronts ingagnable dans la durée. Au bout d’un temps, ils resteraient dans leurs commissariats et brigades et feraient la grève du zèle, abandonnant aux masses blanches le contrôle physique de leur territoire.

Avez-vous jamais entendu parler d’une « police » à Gaza ?

Non, c’est normal. À la place, il y a le Hamas.

Contester le monopole de la violence du régime juif est la priorité de tout révolutionnaire. Soutenir les flics, c’est soutenir le pilier du régime.

Ce sont les naïfs aveuglés par l’imposture démocratique qui s’imaginent que demain des fonctionnaires en bleu composés de Magalie obèses, d’Antillais, de syndicalistes, nettoieraient quoi que ce soit.

Ces flics, depuis 1944, sont une police antifa. Ils suivent les cours d’endoctrinement de la LICRA.

À chaque attaque, les serviteurs des juifs du RN et de Reconquête, qui ne sont rien d’autre que des syndicats de flics, appellent à soutenir les bleus.

Mais voter Marine Le Pen, quand on est flic, c’est seulement voter pour une rallonge budgétaire et une augmentation salariale, pas faire la révolution.

Dans le monde de demain où l’État aura implosé, il n’y aura plus de police d’état. Il y aura des milices raciales émanant directement du peuple.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.