La presse britannique affirme qu’il est temps de parler de la future « chute de Kiev »

La rédaction
Démocratie Participative
28 mars 2024

Note : le journal The Times n’est pas un site factice créé par les services de renseignements russe, mais l’un des journaux britanniques les plus respectés et Tristan Mendès « France » est bel et bien juif.

J’allais justement le dire, mais si les Anglais le disent en premier, très bien.

Il est temps de parler de la chute de Kiev (écrivez « Kyiv » si vous êtes homosexuel).

C’est désormais admis : l’Ukraine est finie et ce n’est qu’une question de temps avant que la Russie remporte une victoire triomphale sur le juif Zelensky.

The Times :

Nous sommes en juillet et l’armée russe est aux portes de Kiev. Le président Zelensky diffuse un message d’urgence pour réitérer ses propos provocateurs, prononcés pour la première fois en février 2022, selon lesquels il n’a pas besoin de quitter l’Ukraine. Non, il a besoin de munitions pour rester et combattre les Russes. Si seulement l’Occident avait écouté et fait davantage lorsque les courageux Ukrainiens imploraient de l’aide, cela aurait pu faire la différence. Alors que les alliés se querellent et que les États-Unis finissent par fournir 60 milliards de dollars d’aide supplémentaire, le printemps se transforme en été et les troupes de Poutine percent les lignes au sud et à l’est. Les forces ukrainiennes en retraite n’ont pu que ralentir leur progression. Lorsque les Russes se sont rapprochés de la capitale, une nouvelle vague de réfugiés a fui l’Ukraine pour se mettre à l’abri des bombardements incessants.

Tel est le scénario cauchemardesque qu’envisagent aujourd’hui les responsables politiques occidentaux. Les événements obligent les dirigeants militaires et civils de Londres, Washington, Paris et Bruxelles à envisager l’effondrement catastrophique des forces ukrainiennes, privées des armes et des munitions dont elles ont besoin.

Contrairement à l’opinion prédominante selon laquelle il s’agit d’un « conflit gelé » perpétuel, où aucune des parties n’est en mesure de prendre un avantage décisif, la ligne de front est âprement disputée et il existe un risque réel de voir les forces ukrainiennes repoussées. Les dirigeants de l’OTAN doivent espérer que leur rassemblement à Washington en juillet pour un sommet célébrant le 75e anniversaire de l’alliance ne sera pas accaparé par une telle crise.

Il y a un an à peine, la situation était bien différente. On espérait alors une offensive ukrainienne au printemps pour reconquérir le territoire. Cela n’a pas fonctionné et, comme le magazine américain Foreign Affairs l’a écrit cette semaine, « l’Ukraine saigne ». « Sans une nouvelle aide militaire américaine, les forces terrestres ukrainiennes pourraient ne pas être en mesure de tenir la ligne face à une armée russe implacable ».

Les gouvernements qui soutiennent le plus fermement l’Ukraine sont manifestement inquiets et envisagent même les pires scénarios. La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a lancé plusieurs avertissements sur le fait que l’Ukraine était à court d’argent, tout en exhortant le Congrès à adopter le projet de loi sur l’aide qui est bloqué en raison de luttes législatives intestines. Les États-Unis risquent d’être responsables de la défaite de l’Ukraine, a-t-elle déclaré.

Une avancée russe serait évidemment désastreuse pour les Ukrainiens. Elle confronterait également l’Occident à toutes sortes de défis difficiles à relever. Les alliés enverraient-ils des troupes pour défendre Kiev ? Le président Macron a clairement senti le danger et tente d’orienter l’Occident vers une approche plus musclée en évoquant la possibilité d’envoyer des troupes au sol. D’autres pays, comme l’Allemagne, s’y opposent fermement.

Selon un sondage réalisé en janvier par le Conseil européen des relations étrangères dans 12 pays, seuls 10 % des électeurs pensent que l’Ukraine peut gagner. Quelque 37 % d’entre eux pensent qu’un compromis est le plus probable et 19,5 % pensent que la Russie finira par l’emporter.

D’autres scénarios que la défaite militaire sont possibles, bien sûr. Il pourrait y avoir un coup d’État en Russie ou un président Trump nouvellement élu pourrait chercher à imposer un cessez-le-feu et une capitulation de facto de l’Ukraine. Peut-être que l’Ukraine s’accroche et que l’Europe se ressaisit, en utilisant le poids d’un PIB dix fois supérieur à celui de la Russie pour une population trois fois et demie plus importante.

Ce n’est pas une question de PIB. Environ 90% du PIB de l’Europe est à l’ouest du continent et les Européens de l’Ouest se foutent énormément du sort de cet état factice post-soviétique qu’est l’Ukraine.

Quant aux rares états d’Europe qui s’en soucient, ce sont des états sans le moindre sou qui appellent à la guerre, mais avec notre argent. Qui peut croire que les Pays Baltes ou la Roumanie peuvent faire la différence face à la Russie ?

La seule chose que l’Ukraine a créé, ce sont des problèmes entre l’Europe développée et la Russie, pour le compte des juifs de Washington.

La défaite de l’Ukraine est indispensable au retour de l’ordre sur le continent. Pour que les bourgeoisies européennes soient définitivement vaccinées de leur suivisme pro-américain, il faut que cette défaite soit sévère, avec une épuration de l’Ukraine à grande échelle par les forces de libération russes.

Cet exemple refroidirait les têtes brûlées qui parlent bien trop fort depuis la Finlande, les Pays Baltes ou la Pologne. Ces gens-là doivent réapprendre la politesse.

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