La révolution raciste européenne que nous voulons (Analyse)

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
04 octobre 2017

Je vais donner mon point de vue sur la situation en Catalogne et en Espagne.

Tout d’abord, il est préférable de ne pas moraliser cette question en évoquant les « bons » d’un côté et les « méchants » de l’autre. C’est une lutte pour le pouvoir, motivée d’abord et avant tout par des questions fiscales, comme dans toute révolution. L’identité y joue cependant un rôle central, étant entendu ici au sens « d’identification ».

La question de la légalité n’intéresse, en fait, que les bureaucraties étatiques actuelles qui sentent bien que leur légitimité est en train de s’effondrer partout dans le monde occidental. Ce sont elles qui s’intéressent aux décrets, règlements, chartes, droits de l’homme, accords internationaux, bref à tout le fatras légal hérité de l’ONU depuis 1945. S’abriter derrière un juridisme de pure forme traduit bien la profonde médiocrité des motifs qu’agitent Madrid.

Trop souvent ai-je lu ici ou là qu’il fallait que la « nation espagnole reste unie ». Par définition, si une majorité de Catalans manifestent un sentiment national propre, c’est que cette « nation unie » n’existe pas en premier lieu. Une nation n’existe pas contre son peuple, c’est un non sens.

Ceux qui reprennent ce slogan confondent état et nation, une confusion entretenue en France depuis la révolution mais aussi, plus généralement, par les tenants du libéralisme démocratique.

Un état n’est national que s’il est l’outil politique d’un groupe ethno-culturel homogène. C’est l’instrument qui permet  à la personnalité d’un peuple d’atteindre l’âge adulte, donc la responsabilité de son destin.

La « nationalité » renvoie à la filiation comme la racine latine du mot « nation » le sous-entend, se distinguant de la citoyenneté qui est la sujétion à un état. La Fédération de Russie n’est par exemple pas une nation mais un état multiracial dont le cœur est la nation russe de souche slave. Pareillement des USA avec son noyau anglo-germanique et ses millions de nègres : cet état impérial ne saurait être tenu pour « national », même si les Américains se définissent comme une nation au sens libéral – et faussé – du mot.

Le fétichisme autour de ces états hérités du passé me laisse totalement froid. Cela revient à vénérer une administration postale au seul motif qu’elle existe depuis un certain temps, sans regard pour sa pertinence. Ces états monarchiques d’hier, devenus pour certains des républiques, ont été forgés pour lever des impôts afin d’entretenir des armées contre leurs voisins. Les questions religieuses et dynastiques ont prolongé cette mobilisation puis, après 1918, la confrontation idéologique.

Désormais, cette raison d’être n’existe plus. Seul un effort de défense légitime peut permettre à un état de se maintenir au XXIème siècle et cette défense ne peut être que raciale et non plus morale, loyaliste ou passablement idéaliste.

Naturellement, tous les progressistes, communistes et autres antiracistes redoutent l’état ethno-racial comme le Diable l’eau bénite. Ils savent que c’est le baril de poudre sous l’édifice des états métèques démocratiques. D’ailleurs, Mélenchon fait preuve d’une prévention toute républicaine au sujet de cette affaire catalane malgré l’orientation gauchiste d’une partie du mouvement national catalan.

Pas d’illusion

Maintenant, je ne suis pas né d’hier. Les politiciens démocrates catalans ne valent pas mieux que ceux de Madrid, mais j’admets le droit des Catalans à disposer de leurs pourris plutôt que de ceux de Madrid parce que leur affinité tribale les y porte.

L’argument sur le « gauchisme inhérent » de la Catalogne appelle ensuite quelques réflexions car certains veulent réduire une question nationale à un clivage droite/gauche au sein d’une même société, ce qu’elle ne peut pas être par définition puisque la société catalane se sépare actuellement, du moins en partie, de la société espagnole.

Si c’était le cas, la droite catalane serait alliée à la droite espagnole contre la gauche catalane. Or, ces contradictions sont actuellement dépassées malgré la radicalité de la gauche catalane, ce que seul un mouvement réellement national peut parvenir à réaliser.

Aux gauchistes catalans que l’on m’exhibera volontiers, j’opposerai les gauchistes de Podemos, compagnons de route du chavisme et de l’Iran ainsi que leurs parrains communistes revenus en force après la chute du franquisme. J’opposerai plus largement tout ce foyer rouge et socialiste qui affecte toute l’Espagne depuis si longtemps et qui ne saurait être circonscrit à une région ou à un peuple. L’affirmer, c’est faire croire que la crise que nous affrontons en Europe de l’Ouest n’affecterait que certaines régions et pas d’autres.

Or, nous avons compris depuis 1914 que les contradictions internes des états occidentaux sont générales et qu’en conséquence, toute solution est également générale. Ce que la finance internationale et les marxistes ont compris, ainsi que les islamistes plus récemment, mais pas encore pleinement les nationalistes européens.

Il ne faut pas chercher ailleurs l’homogénéité relative du mouvement fasciste des années 20 et 30 en Europe, non plus que celui du communisme de la même époque. Ni davantage la montée du populisme actuelle : les frontières administratives ne parviennent pas à empêcher le peuple européen d’exprimer, mystérieusement, un même souffle spirituel qui n’est à aucun moment le fruit d’un plan organisé.

Malgré les différences, ce qui rapproche les Européens est bien grand que ce qui les sépare. C’est ce qui me rend le souverainisme si ridicule et prétentieux quand, vraiment, il ne propose rien qui soit de nature à répondre à la crise existentielle qu’affronte la race blanche d’Europe. Tout au plus offre-t-il une position de défense temporaire.

Bien sûr, l’état catalan en devenir sera une république sociale-démocrate rongée par le marxisme dégénéré, l’islamisation et l’affairisme. Mais il aura une base ethno-nationale relative qui découle de l’effondrement d’un état impérial espagnol qui n’a plus aucune espèce d’idée sur lequel reposer. Le nationalisme catalan est au moins un sentiment qui s’articule sur quelque chose de tangible.

Cette monarchie libérale, acquise à l’islamisation et à l’invasion raciale de la péninsule ibérique au même titre que la gauche indépendantiste catalane, est devenue une farce grotesque. Le catholicisme n’existe plus comme idée force pour légitimer son action et en faire l’expression d’une volonté populaire. Ne disposant plus de la puissance impériale pour justifier une unité, l’état espagnol est devenu obsolète.

Une fois l’état catalan constitué, il verra assez rapidement une droite nationaliste ethnique émerger contre laquelle luttera la coalition affairo-communiste au pouvoir. En somme, l’état catalan connaîtra une crise politique majeure qui fera s’opposer les anciens tenants de l’antifascisme anti-franquiste ayant gagné sur un malentendu historique et les authentiques nationalistes.

Bien sûr, je ne dis pas que les nationalistes gagneront, mais qu’ils auront l’état d’inspiration ethnique implicite avant même d’accéder au pouvoir.

Cette deuxième révolution ne manquera pas d’arriver une fois les conditions réunies. Mais, bien sûr, cela n’est qu’un volet d’une révolution plus large en cours.

Seul un autre état fondé sur des principes nouveaux, pourrait prendre le relais de l’état espagnol. Mais aussi de l’état italien, autrichien, belge, etc.

L’état républicain redoute le pire

Paradoxalement, le républicanisme catalan engendre une crise d’angoisse chez les républicains français qui se solidarisent tous de la monarchie post-franquiste du Parti Populaire réactionnaire au pouvoir et de son monarque. Preuve que les étiquettes de l’heure sont en voie de péremption avancée.

Le problème catalan suscite un unanime sentiment d’insécurité en France puisqu’il renvoie au vide identitaire généré par deux siècles d’un jacobinisme terroriste qui a virtuellement détruit le socle culturel et ethnique de la France traditionnelle. La France moderne s’est érigée contre sa propre substance, contre sa tradition religieuse, contre toute son organisation communautaire qui faisait son liant. Elle a substitué à cette réalité une idéologie passe-partout dite « républicaine et laïque », marche-pied du globalisme avant l’heure. Seul demeure l’état maçonnique enjuivé, lui même parfaitement intégré dans la gouvernance globale et l’Union Européenne qui est son bras séculier.

En détruisant l’Alsace germanique comme la Bretagne celtique au nom d’un universalisme « grand républicain », on posait inévitablement les jalons de la naturalisation de Mamadou et de Karim sous les hospices de Messieurs Ben Simon et Manouchian pour peu que les conditions objectives soient réunies. Ce qu’elles sont désormais à la faveur du torrent afro-musulman qui se déverse sur la France.

Aujourd’hui, la raison même d’être de l’État Français est de détruire spécifiquement les populations historiques de la Gaule, tant par métissage qu’immigration de remplacement mais aussi lessivage psychologique de tous les instants, ceci pour bâtir l’utopie égalitaire universelle tant attendue. Ce phénomène est encore aggravé par la colonisation intérieure progressive de cet état par les métèques qui s’en servent comme d’une arme contre toute insurrection autochtone.

La seule vue d’un préfet mulâtre ou d’un gendarme maghrébin devrait donner à réfléchir au maurrassien le plus obtu.

N’allez pas chercher ailleurs le fanatisme républicain des « Français » d’importation comme Valls ou Mélenchon. C’est pour eux une clause de garantie contre la rage gauloise.

Comment cet état pourrait-il encore tenir longtemps debout puisqu’il est édifié sur la destruction des racines raciales et identitaires des populations qu’il administre au profit d’éléments parasitaires improductifs ? Ce régime ne prospère que par la guerre raciale permanente qu’il mène contre les autochtones, que ce soit fiscalement ou physiquement. L’arrivée massive de musulmans assoiffés de sang représente d’ailleurs, à mon avis, la meilleure assurance-vie de ce système. Il permet de tenir les Gaulois en respect en agitant devant leur nez la lame islamique que retient – ou pas –  cet état criminel.

Un tel état ne peut que procéder au génocide des Français de race blanche pour se maintenir. La religion catholique, les langues et dialectes n’étaient que l’apéritif. Les Français découvrent petit à petit que le sort des Bretons ou des Basques ne faisait que préfigurer le leur. Ce système a sa cohérence et après avoir traité les périphéries, il s’en prend désormais au cœur avec une radicalité encore plus nette.

Cette peur du séparatisme autochtone qui tenaille Paris est cependant exagérée : en ajoutant la Corse, la Bretagne ou l’Alsace, la France ne connait de questions du type catalan que pour 5 à 6 millions de ses habitants. Ce n’est pas tant de perdre de puissantes régions économiques qui est redouté que de voir un effondrement du système idéologique centralisé qui affirme que l’égalité anti-ethnique et antiraciste est l’horizon indépassable de toute organisation étatique.

Les Corses, en s’en prenant aux mosquées comme ils l’ont fait alors que leurs élus nationalistes s’emparent de l’île, peuvent créer un précédent insurrectionnel et identitaire grave pour l’état républicain et ce dernier ne le sait que trop bien. La république française s’accommode très bien de la violence islamique, en revanche elle ne survivra pas à une mobilisation raciste.

C’est pour cela que la capacité de nuisance de questions ethniques localisées dépasse de beaucoup leur poids démographique. Elles posent la question du fondement du périmètre politique et posent, même confusément, le prérequis l’affinité ethno-culturelle. Cela peut faire tâche d’huile.

La révolution allemande

Si la révolution française de 1789 fut la matrice des révolutions socialistes et communistes ultérieures, la révolution allemande de 1933 en est l’antidote et c’est la notre.

La révolution française, avec son virus universaliste et égalitariste, fut ultérieurement poursuivie et dépassée par le socialisme et le communisme. Mais ils n’en furent que le prolongement. Et cette révolution globale s’est étendue sur près de deux siècles et demi.

La révolution allemande nationale-raciste constituée en réaction n’a pas même 85 ans. Et ses principes sont fermement ancrés dans la réalité indépassable de la race, ce qui la rend infiniment plus durable dans ses fondements que le bavardage autour de questions sociales posées par les révolutionnaires français. En d’autres termes, cette révolution née en Allemagne n’en est qu’à ses débuts.

En France, la révolution jacobine ne parviendra à s’établir solidement au pouvoir qu’en 1875, soit presque un siècle après la première république.

Naturellement, on dira que la révolution allemande n’est que « allemande » et fut écrasée en 1945. Mais la révolution française fut écrasée de la même façon avec l’invasion de la France après la défaite de Waterloo. Et pourtant, les idées perdurèrent malgré la restauration et inspirèrent universellement l’Europe.

Une grande idée ne change pas le monde en quelques années. Entre la publication du « Manifeste du Parti Communiste » en 1848 et la Révolution d’Octobre, il y a 70 ans.

Si la gauche est en train de disparaître, la pourriture démocratique infectée de marxisme ouvre la voix à la négrification et l’islamisation totale de l’Europe de l’Ouest. La situation de l’Europe de l’Est, bien que meilleure, est cependant précaire parce qu’elle n’a pas amorcé la grande révolution raciste initiée par Adolf Hitler.

Ces régimes démocratiques ont des bases étatiques pourries mais un socle populaire encore sain qui limite la progression de la dégénérescence. Mais soyons clairs : une Pologne ou une Hongrie démocratiques restent perméables au poison de la finance internationale et du judéo-trotskisme occidental.

L’état raciste européen

En somme, ce que cette question catalane pose, c’est celle de la pertinence de l’état et de ce qui le fonde. Raisonner en termes de frontières administratives et agiter un drapeau tricolore pour célébrer les exploits de sportifs nègres tandis que le nombre de mosquées approche les 3,000 unités constitue une erreur de jugement très grave aux conséquences catastrophiques.

Pour illustrer mon propos, je dirai qu’il y a ceux qui, pour nourrir l’illusion d’une grandeur perdue, préféreraient conserver la totalité du territoire français dans un état unique, même peuplé à 50% de nègres, et ceux qui se contenteraient de la moitié de ce territoire pourvu qu’il soit totalement blanc et donc français.

Ainsi donc, peu importe les formes du passé qui nous encombrent, il faut des outils pertinents qui répondent à nos besoins compte tenu de la situation. Dans un 21ème siècle où nous verrons pulluler jusqu’à 6 milliards de nègres en 2100, les Blancs d’Europe ne pèseront plus que 5% de la population mondiale. Et encore seront-ils pris d’assaut par des vagues de colons musulmans et autres prédateurs à peau sombre voulant s’emparer de leurs terres, de leurs femmes et de leurs richesses tout en tuant leurs enfants.

Si je comprends que les briques ethniques qui forment le corps européen veuillent être libres en s’affirmant pour elle-même, comme une division sur un front, tout cela ne tient que si un état unifie le tout. Un centre de commandement unique. Et cet état, selon moi, ne peut-être qu’un état-continent raciste explicitement fondé par et pour les Européens, débarrassé de la pollution idéologique marxiste, maçonne et démocratique. Bref, un état désenjuivé.

Nous avons besoin d’un grand mythe, de quelque chose de grand comme ont pu l’être les empires britannique et français en leur temps. Mais quelque chose de plus fondamental, de plus archaïque dans sa source de vie. Un projet qui permette l’individuation de l’Europe.

Une superpuissance européenne raciste et fasciste, voulant la puissance et luttant pour sa survie en se projetant dans le futur d’un pas déterminé. Avec un motif impérial.

Sa première tâche, outre l’unification des Européens, consistant à purger le continent de la pourriture allogène. Et constituer, y compris dans le fer et le sang, une nouvelle élite guerrière et plébéienne.

L’Union Européenne ne me déplait pas parce qu’elle n’est pas démocratique mais parce qu’elle n’est pas raciste, militariste, ne recherche pas la puissance, n’élève pas, ne crée pas une avant-garde pour sauver le continent. En fait, la seule chose d’effectivement positive avec l’UE, c’est précisément qu’elle n’est pas démocratique et qu’elle offre à ce titre une lueur d’espoir quant à la sortie de ce système horrible.

Je suis donc absolument hostile à la fragmentation du continent sur des bases boutiquières mais pour y répondre, seule une révolution autoritaire et raciste continentale offrira une alternative. On ne peut pas résoudre une crise sans la dépasser.

La révolution raciste

J’évoque le racisme ici car c’est ainsi que sont définis les Blancs ne voulant pas disparaître de la page de l’histoire en se laissant égorger. Il est absolument inutile de vouloir se dédouaner à tout prix du « crime » de « racisme » dont nous sommes accusés : l’ennemi veut nous anéantir et pour lui, seule notre extermination sera de nature à l’apaiser définitivement. Toute concession constitue pour lui un progrès vers ce but.

Aussi faut-il donner un sens que nous jugeons positif au racisme, exactement comme le mot « populiste » a longtemps été négativement connoté dans la presse juive avant d’être repris par ceux qu’il visait.

Mais il y a plus que l’utilisation d’un terme, il y a le but fondamental. Il est absolument vain, à présent que l’ordre social a été anéanti par la démocratie, de se focaliser sur des questions religieuses ou économiques quand elles ne sont pas de nature à unifier. Un athée ne comprend rien de ce que dit un Catholique et ce Catholique ne comprend rien de ce qui dit la Papauté actuelle. Et il en va ainsi de tout : rien ne fait plus suffisamment l’unanimité pour servir de base de ralliement.

Sauf l’appartenance raciale.

C’est l’appel du sang, des origines. C’est une réalité tangible, physique, qui ne souffre pas la contestation. Et c’est aussi cette réalité qui tous les jours structure la vie en Europe de l’Ouest : de l’effondrement de l’éducation en passant par la chute du système social ou la criminalité endémique, tout s’explique par la réalité raciale.

Le racisme est le seul contrat social alternatif à celui imposé par les globalistes.

Et c’est précisément pour cela que c’est le tabou absolu des démocraties.

La base de cette révolution raciste est simple : aimer et défendre les Européens et s’assurer qu’ils aient un avenir.