La télévision polonaise s’excuse pour n’avoir pas promu le sexe anal sur les enfants avant l’arrivée au pouvoir de la gauche pro-UE

La rédaction
Démocratie Participative
14 février 2024

En quelques semaines, le centriste radical Donald Tusk a instauré une dictature euro-anale sans partage en Pologne

La Pologne est le cas le plus spectaculaire de reprise en mains par le système. Depuis l’élection du macroniste local, Donald Tusk, une purge généralisée de la société a lieu pour aligner la Pologne sur l’UE, notamment au plan idéologique.

Les médias sont méthodiquement expurgés.

Libération :

Dimanche 11 février, 21h30. Sur la chaîne polonaise TVP Info, le jingle vient de retentir, la dernière interview de la soirée va débuter. Le journaliste Wojciech Szelag présente ses invités : Bart Staszewski et Maja Heban, deux jeunes militants LGBT +. Pour la télévision publique polonaise, c’est déjà un événement. Depuis huit ans, aucun représentant de la communauté LGBT n’avait été interviewé en direct.

Avant de poser sa première question, Wojciech Szelag se tourne vers la caméra. «Pendant de nombreuses années en Pologne, des mots honteux ont été accolés à des individus, simplement parce qu’ils ont choisi de déterminer par eux-mêmes qui ils sont et qui ils aiment, dit-il, la voix légèrement tremblante. LGBT+ ne désigne pas une idéologie, mais des personnes. Avec des noms, des visages, des familles, des amis. Tous ces gens devraient entendre le mot “pardon”. Je m’excuse.»

C’est du niveau des purges bolcheviques. On peut voir le présentateur craindre pour sa vie.

Après des années à dénoncer le contrôle exercé par le gouvernement polonais sur les médias du pays, cette brutale reprise en mains n’a entraîné aucune critique de Bruxelles, ou des démocraties, bien au contraire.

Ce changement radical de ton a été permis grâce à la reprise en main des médias publics par le nouveau gouvernement, composé par la coalition des libéraux, des conservateurs modérés et de la gauche, et mené par Donald Tusk. Quelques jours à peine après son entrée en fonction en décembre, il a remplacé, par la manière forte, les directeurs de TVP, de l’agence de presse PAP et de la radio nationale. La méthode a été critiquée mais la décision commence à porter ses fruits. Wojciech Szelag, le présentateur qui a présenté ses excuses à la communauté LGBT, a été embauché le mois dernier.

Libération, propriété de Patrick Drahi, le milliardaire bienfaiteur de Tsahal, est très à l’aise avec le contrôle autoritaire des médias s’il soutient sa propre guerre d’influence.

En parallèle, le nouveau gouvernement d’orientation plutôt libérale s’emploie à détricoter certaines mesures ultraconservatrices du PiS. Le libre accès à la pilule du lendemain a été voté en janvier. Depuis 2017, il fallait une ordonnance pour obtenir ce contraceptif d’urgence. Une autre proposition de loi, nettement plus ambitieuse, doit être discutée prochainement au Parlement pour autoriser «l’avortement légal et sécurisé jusqu’à la douzième semaine de la grossesse». A ce jour, il est uniquement possible d’avoir recours à l’IVG en cas de viol ou si la vie de la mère est mise en danger. Un projet de loi en préparation prévoit aussi l’ouverture des unions civiles aux personnes de même sexe.

La Pologne fait face à une crise de la natalité majeure. Cette révolution de couleur, soutenue par Soros, vise à accélérer la dénatalité blanche en soutenant tous les comportements morbides – contraception, avortement, faux mariage homosexuel – puis à entamer le grand-remplacement dans le pays en y déversant massivement des migrants du tiers-monde.

Voici @szymon_holownia, le président du Parlement polonais ou Sejm. Il se réjouit d’accueillir des réfugiés et des migrants en Pologne.

Vous n’imaginez pas à quel point vous allez le regretter.

L’opposition fait valoir que cette reprise en mains est totalement inconstitutionnelle.

Hier, très soucieuse de la constitution, la nouvelle majorité euro-LGBT explique que c’est sans importance.

Remix News :

Le Tribunal constitutionnel polonais (TK) a jugé inconstitutionnel le recours au droit commercial pour mettre en œuvre des changements dans la gestion des médias publics ou pour liquider des entités de médias publics, méthodes utilisées le mois dernier par le nouveau gouvernement de gauche.

Le jugement de jeudi a été rendu en réponse à une demande adressée au TK par des députés du PiS, soumise peu avant que le nouveau gouvernement n’utilise le droit commercial pour justifier la suppression et le remplacement de la direction des médias publics. Par la suite, le gouvernement a également mis unilatéralement ces médias en liquidation.

Cependant, le gouvernement a immédiatement réagi en déclarant que la décision de la Cour constitutionnelle était invalide parce qu’elle concernait un juge nommé illégitimement sous l’ancien gouvernement de Droit et Justice (PiS) et deux autres qui avaient un conflit d’intérêts parce qu’ils étaient d’anciens députés du PiS.

Voilà une leçon de politique pour les droitardés qui croient que l’on traite la vermine de gauche autrement qu’en écrasant sa tête à coups de talons, façon Loukaschenko.

Ce principe d’élections libres est absurde. Soros a passé les trois dernières années à inonder le pays de cash en prévision de ce putsch. À présent que les médias sont directement sous le contrôle de la juiverie, la mise au pas de la société va se faire à marche forcée.

L’ancien gouvernement de droite polonais avait un train de retard.  Son opposition nationaliste à la Russie était un anachronisme hérité de la Guerre Froide. Si les fondamentaux stratégiques, antirusses, sont les mêmes, désormais l’idéologie et le projet de société de la nouvelle Pologne LGBT sera cohérente avec son intégration dans l’OTAN, le bras armé du judéo-capitalisme woke.

C’est un peu comme tous ces bataillons jadis composés de hooligans en Ukraine. Les médias juifs occidentaux étaient extrêmement mal à l’aise avec eux, en dépit d’un intense ravalement de façade. Bon nombre sont morts, ce qui a quelque peu permis de reprendre les choses en mains.

Comme en Syrie, ces nationalistes font le travail sur le terrain, mais ils ne doivent pas faire partie de l’équation politique future, exclusivement du ressort des juifs.

Si la Pologne ne veut pas disparaître, sa seule option est une alliance avec la Russie. Mais comme les Polonais sont de véritables chiens enragés sur ce sujet, ils vont retarder d’une guerre et cela s’avèrera fatal. Pendant que les hommes blancs en âge de se battre seront mobilisés pour prendre la suite de l’Ukraine, le nouveau régime préparera l’installation des masses d’hommes marron chargés de les remplacer à l’arrière.

La meilleure chose qui puisse arriver à la Pologne serait une invasion russe généralisée et l’instauration d’un pouvoir hétérosexuel à Varsovie.

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