L’alcoolo-tabagique qualifie de « victoire » la constitutionnalisation de l’infanticide de masse

La rédaction
Démocratie Participative
05 mars 2023

 

Soutenir ou tolérer qu’une femme s’infiltre en politique se terminera invariablement de la même façon. Ses ovaires lui serviront de programme politique et elle contribuera à la destruction de l’ordre social à la moindre opportunité.

Donc l’alcoolo-tabagique estime que la seule victoire qu’elle accorde à Macron est l’ajout d’une ligne dans la constitution en faveur de la mort industrielle d’enfants blancs. Une ligne dictée par la juive Simone Veil, gazée à Auschwitz et ressuscitée.

Nous devons cette position au gang d’homosexuels qui se cachent derrière cette femme horrible qu’est Marine Le Pen. Ce n’est même pas de la « dédiabolisation », mais bien une croisade de sodomites contre la famille blanche. Ces sidaïques sont partout au RN. Les Chenu, Tanguy, Briois, Bilde et consorts.

La classe politique française est complètement dégénérée, tous bords confondus. Il n’est que de voir ce qui peuplait Versailles hier. Des tantes, des rombières débraillées à gueule d’assistantes sociales, triomphantes sur les ruines de ce qui fût sous Louis XIV le centre politique du monde connu.

Et même des négresses analphabètes.

La bonne nouvelle, c’est que cette constitution ne tiendra que quelques années de plus. Le régime est profondément affaibli pour des raisons structurelles dans lesquelles, justement, le féminisme joue un grand rôle.

Le féminisme n’est pas une cause en tant que telle, mais une conséquence, celle de la société capitaliste de consommation avec l’émergence du salariat féminin et de l’inévitable ascension des traînées modernes qui devait suivre.

Cela nous mène exactement où nous sommes démographiquement.

La nature a horreur du vide.

Relancer la natalité est parfaitement possible, mais il faut déjà identifier les causes profondes du problème et ceux qui font obstacle à la restauration de l’ordre : le juif dont les goules blanches hystériques ne sont que le bras armé.

La démographie, donc la famille et la natalité, est une affaire nationale, donc, par voie de conséquence, de l’État. Celui-ci dispose du pouvoir suprême d’intervenir pour assurer la pérennité du peuple. Au plan des mesures, un système de gratification des attitudes sociales adéquates et de punition des comportements antisociaux suffirait à juguler la crise.

Tout d’abord, il faut créer un grand dispositif de rééducation des ennemis de l’ordre social en Guyane. Tout opposant y serait envoyé, sans appel possible. Sans cette mesure pour détruire l’opposition, rien ne peut être fait.

Dès les premières déportations, en moins de deux semaines, le calme social serait restauré.

Ensuite, l’abolition de la propagande féministe serait la première mesure. Cela passe par la purge de l’Éducation Nationale, la fin du financement public des associations féministes et du planning familial, la reprise en mains autoritaire des médias. Un message pro-natalité, pro-maternité, pro-famille serait la nouvelle norme sociale. Tout provocateur qui s’y opposerait, ouvertement ou insidieusement, serait arrêté et déporté.

Ensuite les femmes doivent être ramenées au foyer en dissuadant activement le travail féminin. Peu importe le coût théorique pour le sacro-saint PIB des banquiers internationaux, ce qui se joue, c’est la survie même du peuple. Nous serions bien avancés avec un PIB imaginaire fait de 1 et de 0 dans un pays repeuplé de noirs et d’arabes qui aurait le niveau de vie réel de l’Égypte.

Cette mesure peut-être organisée graduellement et d’abord en en finissant avec les bullshit jobs dans lesquels prolifèrent les femmes.

Ensuite, il faut interdire l’avortement, mais surtout marquer au fer rouge les traînées surprises sur le fait. De lourdes pénalités fiscales à vie, étendues à l’ensemble du foyer, donc à l’homme, seraient promulguées par l’État. Cela plongerait les catins potentielles dans la terreur de finir seules et pauvres.

Naturellement, tout saboteur identifié comme un avorteur clandestin serait déporté à son tour.

À ceci, il faudrait encore rendre exceptionnellement difficile de divorcer. Nous ne pouvons plus avoir des Magalie qui fuient leurs responsabilités parce qu’elles savent que la CAF et la juge des affaires familiales lui garantiront le Nutella gratis.

Les femmes sans enfants de moins de 40 ans seraient fiscalement si lourdement pénalisées, que cela deviendrait impossible pour une femme de vivre seule et sans famille. À partir de 20 ans, chaque année sans enfant ajouterait une tranche d’imposition. On appellerait ça « l’impôt sur les traînées ».

Passer un certain nombre d’enfants, au dessus de 3, des régulations pourraient être admises.

Enfin, les gratifications. Les couples veulent un foyer stable, la meilleure façon d’y parvenir est, pour l’État, d’offrir une maison par tranche, pour chaque enfant. Mettez 4 enfants pour une maison intégralement payée par l’État.

Si vous me dites que cela coûterait une fortune, je réponds non.

Je supprime intégralement tous les transferts vers les zones de peuplement allogène. Plus un euro versé dans un seul quartier à métèques. Rien. Pas un abribus, pas un coup de peinture, pas une sortie nègres au ski. J’ajoute la fin du régime d’assistanat social, sous toutes ses formes. Je supprime aussi le ministère de la Culture, les autres ministères inutiles, et encore les aides aux associations qui ne servent à rien (90%).

Ces économies énormes réalisées, je donne tout aux familles blanches sous la forme des gratifications évoquées, voire de nouvelles, complémentaires.

Pour que ce système soit parfaitement cohérent, les pénalités infligées aux traînées financeraient directement les femmes vertueuses et leurs foyers.

Chaque traînée doit savoir que son attitude de pute finance les femmes qui se soumettent au pouvoir de l’homme à travers le respect des lois de l’État. J’imagine que l’on pourrait personnaliser ce dispositif en envoyant à une traînée taxée le détail montant versé à la famille qui en a bénéficié, afin de la torturer davantage.

Enfin, pour la paix des esprits, j’interdis aux femmes le droit de créer des comptes sur les réseaux sociaux. Elles n’ont rien à y faire.

Tout cela est possible.

Il suffit de le vouloir.

C’est une pure question de volonté.

Tant que nous pourrissons dans le jus démocratique, perclus de partis enjuivés peuplés d’idiotes, nous continuerons de nous noyer dans l’océan de la négritude islamique. Et au final, si le monde afro-oriental devenait majoritaire en France, le patriarcat serait également rétabli.

Le choix est donc clair. C’est la vie ou la mort, il faut se décider.

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