L’autorégulation des arabes à l’AK47 à Marseille nous rappelle une vérité : les Blancs doivent arrêter de vouloir réparer les races pétées

La rédaction
Démocratie Participative
17 juin 2022

 

Le problème sur cette terre, c’est l’homme blanc avec son empathie fondamentale.

Sans ce besoin maladif de vouloir sauver les basanés d’eux-mêmes depuis des siècles, la nature aurait déjà régulé le problème.

Dernier exemple en date à Marseille.

France 3 PACA :

À l’arrivée des marins-pompiers, l’homme avait déjà perdu la vie. Il a été tué par balles dans la cité du Castellas peu avant 20h, ce jeudi. Une fusillade qui s’est déroulée au pied d’un immeuble, quartier Saint-Joseph dans le 15ème arrondissement de Marseille.

Le 23 mai dernier un autre jeune homme, de 22 ans cette fois avait perdu la vie dans le même quartier. Depuis le début de l’année dans les Bouches-du-Rhône, déjà 14 morts par arme à feu. La majorité en lien avec le trafic de drogue.

Une enquête est ouverte. On ignore pour le moment si ce fait divers peut-être considéré comme un règlement de compte.

 C’est très bien que les maghrébins s’entretuent.

Idéalement, ils devraient le faire dans leur pays, mais les choses étant ce qu’elles sont, ils s’entretuent chez nous. Quand c’est le cas, il ne faut pas intervenir, mais au contraire laisser ces populations se dévorer entre elles et compter les cadavres.

Comme pour un PSG OM, en quelque sorte.

Les Français ont ce problème mental de penser que l’humanité est un bloc homogène et que ces gens-là sont nos égaux, qu’ils fonctionnent comme nous et qu’en agissant sur leur environnement à coup de fric gratuit et d’assistantes sociales, ces bicots deviendront aussi doux que des agneaux et aussi cons que des Gaulois soumis aux juifs.

Il est très dur d’enlever ça de la tête d’un Français, ce concept absurde « d’égalité ». Les Français, comme être collectif, ont l’égalité pour identité.

C’est le résultat d’un très vieux recâblage du Français par l’Eglise Catholique – au départ, les comportements sociaux qui servent la tribu sont récompensés par des shoots de sérotonine. Vous aidez le groupe, vous accroissez ses chances de survie, vous êtes gratifié d’une dose de sérotonine qui vous fait vous sentir heureux après une bonne action. La logique étant d’inciter l’individu à servir utilement la tribu.

L’Église Catholique a piraté ce mécanisme en le découplant du service à la tribu pour le mettre à son service. Autrement dit, l’Église Catholique est la première multinationale à avoir lancé une OPA sur les mécanismes psychiques de l’humanité pour qu’elle serve sa classe dirigeante.

C’est primitif, mais très efficace.

En gémissant qu’il n’y avait plus « ni Grec, ni juif, mais surtout de Grec », le vieux yid Saül décrétait l’humanité mise au service d’un seul centre politique, autoproclamé intermédiaire entre cette terre et « Dieu » : l’Église.

Les rabbins ultra racistes, veillant jalousement à la préservation de leur suprématie raciale et de ses secrets de gestion de leur propre plèbe, étaient estomaqués d’une telle trahison. Ils poursuivaient Saül de leur colère tribale, pressentant, à juste raison, le potentiel énorme d’un plan visant rien de moins qu’à étendre le système juif à la terre entière. Partout où Saül allait, les rabbins organisaient de violentes émeutes, suppliant les autorités locales d’enfermer l’agitateur.

C’était trop tard, le mécanisme était enclenché.

Plus tard, on retrouvera les mêmes tensions entre marxistes et sionistes, avant que les deux camps ne finissent par trouver une synthèse en la forme actuelle de la démocratie financière internationale avec Israël pour siège social.

L’évêque de Rome, à la tête de l’organisation internationale, se décréta en charge de ces relations et, par l’intermédiaire d’une armée de prêtres, utilisa à outrance ce mécanisme cognitif. D’un côté le bâton de la culpabilisation avec le « péché », péché désormais défini comme une mauvaise action selon la nomenclature exclusive de l’Église et de ses chefs, de l’autre la carotte du « pardon » agité devant le nez des masses. Moyennant le confessionnal, les dons, des exercices d’autocritique – que reprendront les marxistes – et une stricte obéissance, le paysan pouvait espérer accéder au paradis, représentée comme un accès perpétuel à la sérotonine, i.e. « la vision béatifique de Dieu ».

Ce pouvoir sur les esprits était si énorme que l’Église pouvait faire plier n’importe quel empereur, roi ou prince en l’excommuniant, c’est-à-dire en le dénonçant aux foules comme un ennemi du groupe.

Imposez un tel régime de rééducation psychique à un peuple pendant 15 siècles , et vous obtenez des névrosés incapables de gérer le mécanisme de solidarité tribale de manière adéquate. Servir, comme un esclave, est une fin en soi et ce service ne peut qu’être universel et inconditionnel, puisqu’un esclave, par définition, ne choisit pas qui ni quand il sert. Servir sa tribu, c’est poser des conditions, c’est fausser compagnie au nouveau groupe global forgé par l’Église qu’est l’humanité abstraite du « peuple de Dieu ». Tant que l’Europe était engoncée dans une économie paysanne, traversée d’incessantes guerres de territoires, le détournement de ce mécanisme psychique avait des effets secondaires modérés. Les princes ramenaient constamment la plèbe à des obligations de services bornées dans le temps et l’espace.  Mais avec les révolutions industrielles, l’urbanisation de masse, la standardisation médiatique, l’unification planétaire a donné à cette structure mentale un terrain de jeu nouveau, où elle peut pleinement se déployer.

La grande nouveauté dans cette reconfiguration psychique, c’est que les juifs ont bien saisi tout l’avantage qu’il y avait de détruire l’Église Catholique, et les églises chrétiennes en général, pour faire main basse sur ces centaines de millions de Blancs prêts à tout pour utiliser leur énergie au service de tout, sauf de leur race.

Le monde chrétien débarrassée de l’Église, c’est la démocratie juive occidentale. Elle est menteuse par définition car elle sert une race, la race juive, tout en prétendant servir l’humanité.

C’est notre impasse actuelle. Les Blancs veulent être des esclaves au service du reste du monde, mais ils sont conditionnés pour ne servir qu’après en avoir reçu l’ordre de l’autorité religieuse constituée dont les démocraties juives ont pris le relais.

Donc, oui, techniquement, quand une nation reste catholique, elle sert l’ancienne autorité religieuse, généralement associée à des débris de l’aristocratie régnante d’antan, avec sa forme d’acculturation locale, voire parfois de patriotisme intéressé. C’est longtemps resté moins nocif que de servir les buts des juifs. Mais aujourd’hui, entre Bergoglio et Glucksmann, la différence est presque nulle, car depuis au moins Vatican 2 l’Église est insérée dans le grand dispositif juif international. Et elle est à l’avant-garde du Grand Remplacement dans chaque paroisse.

Le problème cognitif pourrait être tactiquement contourné en créant une église chrétienne raciste, mais ce serait un contresens ouvert, car évidemment on ne peut pas limiter le christianisme à un pays ou à un peuple, sauf à singer le monothéisme racial des juifs, ce qui rendrait l’opération absurde puisque la raison d’être du christianisme est de dépasser le judaïsme en devenant universel. Toutes les églises pourraient hurler à l’hérésie, avec raison. Sans parler du fait que personne ou presque en Europe ne croit en Dieu ou en Jésus, ou en quoi que ce soit de transcendant, ou alors de manière très évanescente. C’est aussi pour cette raison que je ne cherche pas querelle à des racistes blancs qui sont chrétiens et qui, par un biais ou un autre, parviennent à concilier ça dans leur esprit. Mais à l’évidence, ce sera toujours marginal.

De ce côté-là, l’islam a innové et ce n’est pas un hasard, si c’est par la main d’un arabe : Mahomet. Ce seigneur de la guerre, que l’on dit conseillé par un rabbin, a bien vu, comme Saül, le potentiel du monothéisme débordant d’une peuplade. Mais ce sémite, pragmatique par définition, sentait la nécessité de subordonner le service des esclaves à des buts beaucoup plus concrets et plus susceptibles d’enthousiasmer ses semblables que les très iréniques buts affichés de l’Église : l’attaque de caravanes.

Il se proclame inspiré par Dieu, cite abondamment Jésus – « Issa » -, reprend la formule chrétienne, l’arabise, emprunte les éléments juifs de l’Ancien Testament qui l’inspirent, autorise la guerre de rapines pour peu qu’elle soit au service de cette nouvelle église réformée d’Arabie. Le principe est simple : dieu veut que nous soumettions tout par la force, tuer l’insoumis, c’est-à-dire l’infidèle, est prescrit. Si le musulman meurt, il va directement au paradis où il est servi par 72 vierges pour l’éternité.

Le génie du psychologue empirique Mahomet consiste à activer dans les cervelles élémentaires des pillards arabes toutes les incitations sadiques qui les échauffent : le rapt de femmes et le meurtre. En quelques années, il soulève la péninsule arabique, possédée d’une soif inédite de conquête, et agglomère tous les candidats au pillage divin qu’il croise sur sa route.

Lorsque Adolf Hitler disait admirer l’islam, c’était uniquement pour l’extraordinaire outil psychologique qu’il représentait entre les mains de chefs de guerre avisés, pas parce qu’il aimait les tapis de prière.

Nous nous retrouvons quant à nous avec un troupeau aryen démoralisé, brûlant de servir n’importe quelle race étrangère, et tout aussi déterminé à ne jamais servir sa propre race, parce que son système cognitif est reconfiguré depuis 1,500 ans pour servir aveuglément tout et n’importe quoi, mais sous une direction unique très hiérarchisée édifiée sur l’administration de l’empire romain, et que l’Aryen aliéné, se haïssant profondément, n’est heureux que lorsqu’il torche le cul d’un pouilleux du tiers-monde, surtout si ce pouilleux veut lui faire la peau.

Les gauchistes blancs sont les représentants de ce besoin atavique de larbiner pour les autres, mais jamais pour les siens. On ne peut pratiquement jamais guérir ce genre d’individus, parce que cela revient à les priver de leur sérotonine et à les rendre malheureux. Les gauchistes blancs ne trouvent une forme de bonheur fugace qu’en poignardant leur race à la première occasion, recevant un gros shoot de neurotransmetteurs issus de l’ingénierie raciale jérusalémique. La gauche blanche illustre ce dicton fameux : on peut sortir le Blanc de l’Église, mais pas sortir l’Église du Blanc.

Voilà notre situation actuelle, du point de vue ethno-psychiatrique.

La véritable guerre qu’il importe de gagner, c’est celle visant à reconquérir la maîtrise de nos cervelles et d’écraser l’église masochiste qu’on appelle la gauche blanche et ses périphéries qui s’étendent jusqu’à l’extrême-droite.

Ce que j’écris ici va forcément susciter des mécontentements, mais c’est déjà mieux que le statu quo.

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