Le « Château de ma mère » de Pagnol transformé en truc social pour Algériens par la mairie islamo-woke de Marseille

La rédaction
Démocratie Participative
16 juin 2023

Nous parlions justement de Marseille hier.

Le juif Weill de Quotidien s’émerveille de l’occupation de Marseille par la pouillerie africaine

Il doit y avoir une faille spatio-temporelle.

Le Figaro :

Malgré un bilan excellent, le petit-fils de l’écrivain et son équipe sont sommés de quitter le château de la Buzine. Benoit Payant, maire de Marseille, souhaite confier ce lieu mythique, symbole patrimonial de la Provence, à une association ouvrière dont le cœur de métier est la gestion de centres sociaux.

C’est un coup de téléphone auquel Nicolas Pagnol, petit-fils du célèbre écrivain et cinéaste, ne s’attendait pas du tout. Mercredi 14 juin, Jean-Marc Coppola adjoint à la Culture (PC) de la mairie de Marseille -avec qui il a toujours eu de très bons rapports- lui annonce que le comité en charge de la délégation de Service Public du château de la Buzine a décidé de ne pas lui renouveler son contrat.

«La mairie de Marseille nous vire pour nous remplacer par une association ouvrière dont le cœur de métier est la gestion de centres sociaux et n’a aucune aucune expérience en équipements culturels, dit-il d’une colère froide. Ils vont transformer ce lieu mythique du patrimoine de Provence en Maison de Quartier. Ce château ce n’est pas juste quatre murs et un toit. C’est l’histoire de mon grand-père. J’y suis extrêmement attaché. Au-delà de mon cas personnel, c’est un lieu phare pour tous les Provençaux. Ce château symbolise leur langue, leur culture, leur patrimoine. C’est le patrimoine intellectuel de la Provence qu’ils vont détruire. C’est aberrant. »

En fait, ce sera un machin « populaire ».

« Populaire » dans la vulgate gauchiste désigne une population non-blanche, afro-maghrébine et criminogène dont la NUPES dépend pour gagner les élections.

Au vu du bilan, c’est effectivement étonnant. Entre la programmation de la belle salle de cinéma avec des films en version originale (fait rarissime dans la région) de belles expositions comme celles consacrées à Yves Montand, Johnny Hallyday ou encore Jean-Paul Belmondo, le château de la Buzine dirigé par la dynamique Valérie Fédelle est devenu un lieu culturel qui compte. Un équipement municipal de renommée nationale. « Nous avons multiplié par huit le nombre de visiteurs pour atteindre 80.000 visiteurs. Nous devons être la seule DSP de Marseille où les comptes sont à l’équilibre. Nos ateliers attirent 13.000 enfants par an des écoles comme des centres sociaux, toutes nos expositions ont été des succès et notre politique tarifaire est plus que raisonnable », se fâche Nicolas Pagnol. Et de poursuivre : «Le pire, c’est que la mairie de Marseille me vire mais me dit vous resterez avec nous. S’ils croient qu’en échange je vais leur servir la soupe, c’est d’une impolitesse incroyable. »

Autour de Marseille, l’annonce fait scandale. Pour la sénatrice Valérie Boyer (LR), « Benoit Payan relance les purges communistes. C’est inacceptable ! » À La Ciotat, berceau du septième art mondial avec l’Eden, le plus vieux cinéma du monde encore en activité et le Palais des frères Lumières, la colère gronde aussi. « La création d’un circuit touristique très riche autour du cinéma entre La Ciotat, Marseille, Marignane avec le musée Raimu, les studios à Martigues est en cours, tonne Jean-Louis Tixier, adjoint au cinéma de La Ciotat et vice-président de l’Association Pagnol au château de la Buzine. Marseille avec le château de la Buzine -qui était le lieu choisi par Marcel Pagnol pour sa Cité du Cinéma- avait tout intérêt à être au cœur de ce parcours et ce d’autant plus que le président de la République Emmanuel Macron veut faire de Marseille une capitale mondiale des tournages. Je ne comprends pas comment un maillon essentiel de ce parcours se retire pour une activité qui n’a plus rien à voir avec le septième art.»

Oui, enfin Macron dit des tas de choses. Il a également dit une fois que la Seine-Saint-Denis était la Californie sans la mer.

Pour tous, Benoit Payan est poussé dans ses retranchements par l’aile extrême gauche trotskiste du Printemps Marseillais. Comment la mairie de Marseille espère-t-elle atteindre l’équilibre financier sachant que les subventions du département et de la Région étaient liées à Pagnol ? Par ailleurs, comment des gens qui touchent le RSA vont-ils se rendre au château de la Buzine où le manque de transports en commun est un souci ? Mystère. Joint par Le Figaro, Jean-Marc Coppola n’a pas répondu dans le temps imparti pour le bouclage de cet article. Sur le Vieux Port, le conseil municipal doit entériner la décision du comité le 23 juin. Outre un recours administratif, Nicolas Pagnol compte organiser une manifestation le vendredi 23 juin au pied de la mairie de Marseille et une pétition pour défendre son bilan.

La décision idéologique de la mairie est d’autant plus étonnante qu’à Allauch, à quelques kilomètres du Château de la Buzine, le chantier du futur musée Marcel Pagnol avance à grands pas. « L’étude de faisabilité est en cours. La rédaction du projet culturel et scientifique sera achevée fin juillet. Ensuite sera lancé un appel d’offres pour trouver un cabinet de scénographes. Je prévois une ouverture au premier trimestre 2026. »

Désolé Nicolas, mais l’identité provençale a disparu depuis longtemps.

Le peuplement de la Provence a été détruit par Marseille, port colonial et porte d’entrée de l’Afrique en France. Arméniens, Italiens rouges, Nord-Africains, Comoriens, cafres et autres Levantins de tous horizons, il y a beau temps que l’homme provençal a rejoint le musée d’anthropologie.

Le maire de Marseille incarne parfaitement ça d’ailleurs.

Tout comme ce Coppola.

D’ailleurs je suis devenu extrêmement pro-Turquie, pro-Azerbaïdjan contre cette vilaine Arménie chrétienne qui nous a fourni avec une régularité méthodique une ribambelle de métèques extrêmement hostiles à la race blanche.

De Manouchian, l’assassin à la solde des juifs, en passant par Aznavourian, l’antiraciste millionnaire réfugié en Suisse, jusqu’à Barseghian, la desaxée de Strasbourg, l’immigration arménienne a été une catastrophe raciale et politique.

J’observe d’ailleurs que le méchant journal Le Figaro, propriété des trafiquants d’armes juifs Bloch-Dassault, est peuplé de droitistes parisiens mollement intéressés par la submersion allogène que nous subissons, mais véritablement hystériques à propos des embrouilles azerbaïdjano-arméniennes des confins de l’Asie.

Le ci-devant Buisson, directeur-adjoint du Figaro Magazine en parle tous les jours. Leur discussion tourne autour du bon et du mauvais abrahamisme des gens marron.

Bref, cette liquidation, même si d’aventure elle était retardée, n’est qu’une conséquence inévitable du repeuplement de cette ancienne terre d’empire par les bouègres de la république.

Le monde germanique a constamment tenté d’empêcher la Provence de devenir une bauge afro-méditerranéenne. La dernière tentative a été menée par le Troisième Reich entre 1942 et 1944 sous les protestations de la faune arméno-bicoïde « marseillaise ».

Ce que les derniers Provençaux savaient parfaitement.

Une fois arrachée au monde germanique, elle a pourri à petit feu jusqu’au point actuel.

Les chiens ne font pas des chats.

Personnellement, ces colifichets culturels me paraissent secondaires. Si on ne veut pas parler du nettoyage ethnique à grande échelle à mener là-bas comme ailleurs, je pars du principe que l’on est pas sérieux. Je laisse Vardon et Auque à leurs jérémiades judéo-chrétiennes sur « l’identité de Marseille », un concept incompréhensible, pendant que les maternités de PACA finalisent la conquête anti-aryenne. Ça suffit amplement dans ce registre.

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