Le gouvernement, les juges et les médias sont formels : vous devez laisser vos gamins se faire violer par des clandestins, parce que la justice est leur monopole

La rédaction
Démocratie Participative
26 octobre 2022

 

Correction par rapport à hier. Le violeur de Roanne n’était pas maghrébin, mais guinéen !

Qualitativement, cela ne change rien à la situation d’ensemble.

Le père de la victime est bien maghrébin, tout comme le procureur qui geint depuis 24 heures sur le monopole étatique (de la clique au pouvoir donc) de l’usage de la violence.

Indépendamment du fait que ce soit un Maghrébin qui ait pulvérisé ce nègre clandestin, les goyim ont le droit à un formidable cours de rattrapage de ce qu’est la démocratie et « l’état de droit » auxquels les juifs et la bourgeoisie enjuivée tiennent tant.

Ils geignent hypocritement depuis hier sur le sort d’un pédophile clandestin, quand en réalité la seule chose qui les angoisse, c’est la garantie de l’usage exclusif de la violence (« la justice ») contre le bétail goy qui doit rester désarmé, docile et inoffensif.

Ce que les goyim ne voyaient pas, c’était jusqu’à qui ces juifs et cette bourgeoisie démocratique étaient prêts à défendre pour préserver ce monopole sans lequel ils seraient renversés demain matin : des nègres pédophiles pris en flagrant délit.

Loin de reculer, l’État, c’est-à-dire la bourgeoisie démocratique qui le contrôle, redouble d’agressivité dans la défense de son privilège du recours à la violence.

L’écran de fumée politico-médiatique à propos de la « démocratie » et de « l’état de droit » sert à convaincre les paysans de la légitimité de la domination en place. En réalité, la violence d’état est par définition privatisée par le groupe socialement dominant, c’est-à-dire la bobocratie judéo-macroniste.

Elle n’a rien de neutre ou de « juste » et n’aura jamais rien de neutre ou de juste.

La « justice » réelle, contrairement à l’illusion idéaliste, n’est toujours que la loi du plus fort.

« Les différentes formes de gouvernement font des lois démocratiques, aristocratiques, tyranniques, en vue de leurs différents intérêts ; et ces lois, qu’ils font pour leurs propres intérêts, sont la justice qu’ils rendent à leurs sujets, et celui qui les transgresse, ils le punissent en tant que transgresseur de la loi, et comme être injuste. Et c’est ce que je veux dire quand je dis que dans tous les états il y a le même principe de justice, qui est l’intérêt du gouvernement ; et comme il faut supposer que le gouvernement a le pouvoir, la seule conclusion raisonnable est, que partout il y a un seul principe de justice, qui est l’intérêt du plus fort.« 

Thrasymaque de Chalcédoine

Ce que nous expérimentions, c’est l’effondrement de l’état de droit. Non pas parce que les plébéiens prennent l’initiative de se révolter contre lui, mais parce que l’oligarchie qui contrôle l’état privatise toujours plus l’application des lois en fonction de ses intérêts exclusifs. La « justice » ne montre plus de férocité que contre ceux qui menacent ces intérêts, laissant les classes sociales inférieures qu’elle domine à la merci des prédateurs avec lesquelles la classe dirige conspire. En l’espèce, l’immigration massive qu’elle importe.

Il y a deux catégories de gens qui échappent à la « justice » : les parasites du haut et ceux du bas, coalisés contre le peuple.

Ce processus de privatisation radicale de l’appareil d’état est parallèle avec la volonté de la clique dominante de faire taire tout point de vue critique de ses intérêts et de ses plans.

L’affaire Lola, suivie de celle-ci, et quotidiennement alimentée par les « OQTF », accélère la prise de conscience dans les masses de cette réalité de « l’état de droit ».

La perte de confiance des masses dans l’État, devenu trop corrompu car ses mécanismes légaux sont irrémédiablement truqués au profit de la clique dominante, précipite l’effondrement de celui-ci.

Quand en réaction les paysans privatisent à leur tour cette violence pour défendre leurs intérêts, la bourgeoisie entre en convulsion, et plus encore les juifs qui savent ce qu’une justice aux mains des goyim a tendance à produire.

La bourgeoisie enjuivée au pouvoir ne va pas baisser d’un ton, et encore moins changer d’approche. Elle va au contraire redoubler dans la répression de tous ceux qui menacent sa privatisation de l’appareil d’état pour asseoir ses privilèges.

Ce qu’elle appellera « défendre l’état de droit ».

La pastille bleue de base 

Deux « justices » vont inévitablement émerger : la justice plébéienne et la justice oligarchique, cette dernière, acculée, faisant de plus en plus appel à l’argument d’autorité ultime, « nous sommes la justice, parce que nous avons les juges et Dieu (les droits de l’homme) avec nous ! ».

Moi-même, je veux être juge.

Je défends le principe de la justice révolutionnaire à appliquer jusqu’à sa conclusion logique, c’est-à-dire contre la bourgeoisie au pouvoir. Ce que l’on appelle une purge, ou encore une épuration. Après tout, la bande au pouvoir en a inauguré le principe à deux reprises : en 1793 et en 1944.

Il est temps de lui faire déguster ce qu’elle a mis en place pour ériger son régime démocratique pourri.

À épuré, épuré et demi.

Il suffit de reprendre la mystique guillotineuse de 89 et de l’appliquer à ces chiens des juifs que sont les bourgeois antifascistes, au cul d’un blanc immaculé, repliés dans leurs places fortes. Peu importe dans quel sens va la révolution, tant qu’il y a une révolution.

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