Le goy du CNRS Gaël Giraud désigné cible à abattre par les terroristes juifs après avoir évoqué l’emprise de Rothschild sur Macron

La rédaction
Démocratie Participative
28 octobre 2022

Ce goy va goûter à la colère de Yahvé

Je ne connaissais pas ce Gaël Giraud. Il est apparemment affilié au CNRS, un machin étatique rétamé par le marxisme culturel ambiant.

Ce que je sais en revanche, c’est qu’il va bientôt perdre son boulot sur ordre des juifs. Sa lettre de révocation doit déjà être écrite.

Giraud participe apparemment à la chaîne « Thinker View ». « Thinker View » est une chaîne YT assez cringe. Elle fonctionne en mode « on va vous révéler la vérité vraie que cachent les cercles secrets du pouvoir » et invite donc des types avec des CV censés épater la galerie.  Le ton général est horriblement pédant. C’est aussi bordélique. C’est sur cette chaîne que je suis tombé sur l’interview la plus atroce que j’ai jamais vue de ma vie. Il s’agissait en l’occurrence de l’ambassadeur de Chine qui a eu le droit, pendant d’interminables heures, à des privates jokes merdiques tenues par un type causant comme un prof à son élève. J’étais vraiment mal à l’aise, un peu comme quand on regarde certaines caméras cachées. C’est donc comme invité sur cette chaîne que Giraud a dit en substance que Macron était un golem de la juiverie financière.

La crasseuse antifa Ariane Chemin, du journal juif Le Monde, donne le ton de la chasse à l’homme.

L’organisation terroriste juive LICRA a annoncé procéder à son exécution.

Le sanhédrin dont dépend la LICRA a également ordonné au CNRS de procéder à la purge.

Notez que les juifs n’offrent aucun argument.

Ils se contentent de traiter Giraud de « conspirationniste », c’est-à-dire d’antisémite. C’est ce qu’ils font toujours. Les juifs se fichent des faits, ils ne raisonnent qu’en termes de domination tribale. Que Macron soit outrancièrement et incontestablement soumis à la juiverie financière les indiffère. Ce qui les plonge dans une rage incontrôlable, c’est qu’un goy dise que Macron soit soumis à cette dictature juive.

C’est comme la fresque d’Avignon : les goyim n’ont pas le droit de parler, encore moins d’ironiser d’une situation factuelle dès lors qu’elle implique le pouvoir juif.

Décrire la réalité et « antisémite ».

Les juifs veulent que tout le monde voit leur pouvoir, mais que personne ne parle de ce pouvoir.

Ils règnent grâce à l’omerta juive, c’est-à-dire le silence qu’ils imposent aux goyim par la terreur. C’est une composante fondamentale de leur pouvoir.

Comme Giraud est apparemment une sorte de communiste de salon, il a une capacité de résistance aux jérémiades des juifs de 0%.

Tout le monde n’est pas Kanye West.

Giraud va tenter le truc classique : ramper.

« Mes propos ont été déformés ! Je compte trop d’amis juifs pour être antisémite ! Si mes propos, certainement maladroits, ont pu heurter, je m’en excuse auprès de ceux qui ont été blessés ! Gloire à Israël ! Mort aux goyim ! Par pitié, Ô Grand Rabbin, épargne-moi ! »

Reste à savoir si les juifs vont avaler ça.

La mafia juive aime voir un goy s’humilier totalement pour être épargné, cela excite cette race de vipères en plus de donner l’illusion de l’omnipotence que les juifs recherchent pour intimider les goyim. Ceci dit, pour les juifs la tentation est forte de faire un exemple pour terroriser tous les vilains goyim qui murmurent dans Paris intra muros à propos de la toute-puissance hébraïque est forte.

Je dirais que c’est 50/50.

Que les paysans parlent du pouvoir juif c’est une chose, mais que des goyim parlent du pouvoir juif au sein des institutions de ce régime pourri, c’en est une autre.

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