Le Grand Mur des Lamentations numérique : les macronistes veulent interdire les VPN, rendre obligatoire l’identification de tous les internautes

La rédaction
Démocratie Participative
13 septembre 2023

 

La Chine a son Grand Pare-Feu numérique pour écraser toute forme d’opposition intérieure ou extérieure.

La France a désormais son Grand Mur des Lamentations numérique pour faire de même, à une différence près : il s’agit de protéger la caste parasitaire juive qui contrôle actuellement l’État français, pas de défendre les autochtones.

Depuis lundi, notre site est censuré par l’État dans les 36 heures, voire moins.

Les tractages des mois de mai, juin et juillet menées par les unités de propagande autonomes ont fait une très forte impression sur les juifs. Ils ont exigé et obtenu du ministère de l’intérieur l’instauration d’un système équivalent au modèle chinois.

La presse juive a vociféré tout l’été.

Et lundi, la juive à la tête de l’Assemblée « Nationale », Braun-Pivet, a monté une fausse campagne de lettres « antisémites » pour alimenter la campagne de la juive Yadan pour interner les opposants à la dictature juive.

Les juifs infiltrés à l’Assemblée Nationale veulent mettre en prison les antisémites

Ce Grand Mur des Lamentations numérique se met donc en place.

Comme d’habitude, Democratie Participative est à l’avant-garde de la répression. Nous contraignons le régime à devenir toujours plus répressif, ce qui a toujours été un de nos objectifs : pousser le juif à l’agressivité pour qu’il se démasque. Ce n’est pas une surprise puisque nous l’annonçons ici même depuis plusieurs années. Pour maintenir leur tyrannie en France, les juifs doivent censurer l’internet à la chinoise. C’est plutôt le temps qu’il a fallu à ces juifs pour l’instaurer qui nous a étonnés.

Du coup, les juifs ont désormais en France un instrument qui leur permet de supprimer du web en clair tous les sites qu’ils veulent faire taire. D’autres sites suivront, si les juifs en décident. Il va sans dire que tout site qui n’est pas censuré comme le nôtre ne pose pas de réels problèmes à leur système.

Les juifs déclarent la guerre aux VPN

Censurer équivaut à devoir sans cesse boucher les fuites d’un navire qui prend l’eau.

Dans leur objectif de dictature totale, les juifs ont besoin du contrôle complet de l’internet. Les juifs ne peuvent pas régner si les opinions critiques circulent librement. Ils doivent truquer le marché des idées pour s’assurer que leurs insanités soient les seules à avoir libre cours. Leur pouvoir repose sur le mensonge et la terreur, pas sur la vérité et la bienveillance. La censure est la compagne naturelle de leur système colonial.

Pour que leur Grand Mur des Lamentations numérique soit efficace, il doit être hermétique. La demande massive en idées alternatives et la rareté de l’offre dans un espace monopolistique font de chaque fuite une menace critique pour le système.

Ces juifs ne veulent pas seulement bloquer les créateurs de contenus, mais aussi bloquer leurs consommateurs en imposant le « ban d’état ». C’est-à-dire l’interdiction d’utiliser l’internet à tout goy qui a mal parlé ou écrit, mais également, à terme, à tout goy qui lit ou visionne un contenu non-kasher.

Le Figaro :

L’analyse du contenu des débats avant l’été au Sénat est également sans appel. Une grande partie des discussions a porté sur les dispositions de la loi Avia censurées par le Conseil constitutionnel et les moyens de les contourner, ainsi que sur le souhait exprimé par Emmanuel Macron le 5 juillet dernier, après les émeutes, de pouvoir «couper» les réseaux sociaux quand «les choses s’emballent».

La Commission spéciale du Sénat chargée d’examiner le texte a enfoncé le clou par la voix de son rapporteur, le sénateur centriste Loïc Hervé, en proposant la création d’un nouveau délit (article 5 bis) qui synthétise cette volonté de censurer la liberté d’expression sur les réseaux sociaux en créant un délit «d’outrage en ligne». Ce nouveau délit d’outrage serait caractérisé par le fait de «diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit créé à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante». Il serait passible, sous sa forme simple, d’une amende de 3 750 euros et d’un an d’emprisonnement ou du paiement d’une amende forfaitaire délictuelle (AFD) ainsi que de la nouvelle peine complémentaire de bannissement des réseaux sociaux.

Ce nouveau délit reviendrait donc à faire condamner toute personne physique ou morale à une forme de «mort numérique», par plateforme interposée (Facebook, Instagram, X, TikTok, LinkedIn, Youtube, etc.).

Pour bannir quelqu’un, il faut l’identifier. C’est pourquoi, en plus de ce ban d’état, les juifs doivent rendre obligatoire l’identification de tout utilisateur d’internet à chaque connexion. C’est ce que fait la Chine. Toute personne qui souhaite se connecter à internet en Chine doit d’avoir vérifier son identité via un mécanisme certifié par l’État.

C’est vraisemblablement l’option technique que les juifs imposeront.

Ce bannissement d’état souffre d’un écueil, le même dont souffre le blocage de Democratie Participative : les VPN.

Bloquer les sites manuellement comme Democratie Participative n’est que partiellement utile si dans le même temps les VPN restent accessibles au peuple.

Pour les gens qui ignorent ce qu’est un VPN, c’est un réseau de serveurs indépendants qui chiffre le trafic qui passe par lui. Cette porte dérobée permet donc de contourner l’internet classique que censure l’État, mais aussi de dissimuler son activité en ligne. Pour bloquer quelqu’un, il faut son adresse IP, or un VPN fournit des IP alternatives sous lesquelles se dissimulent les utilisateurs.

Les juifs le savent parfaitement. Pour que leur Grand Mur des Lamentations soit opérationnel, ils doivent interdire les VPN et rendre obligatoire l’identification de toutes les personnes qui se connectent. C’est ainsi qu’ils espèrent traquer les opposants et systématiser la répression grâce à l’IA.

C’est justement ce que leurs créatures à l’Assemblée veulent imposer dans le cadre du vote d’une nouvelle loi de censure de l’internet, la SREN. Comme d’ordinaire, ces gens profitent du vote du vote d’une loi générale pour y ajouter des amendements opportunistes à la dernière minute, dans l’espoir de prendre les goyim de cours.

Les macronistes veulent ainsi contraindre les VPN à identifier leurs utilisateurs et à prévoir un dispositif permettant de les bloquer d’accès à l’internet via leurs services.

Il s’agit d’un ballon d’essai afin de normaliser cette idée juive dans l’opinion.

S’il ne passe pas cette fois, il passera la prochaine fois. Le seul fait qu’une bande de députés macronistes l’aient proposé témoigne de l’état d’avancement de ce projet du CRIF.

Une autre mesure prévue, en plus du blocage des sites par les Fournisseurs d’Accès à Internet (Orange, SFR, etc.) ou le ministère de la police, c’est le blocage par les navigateurs (Chrome, Firefox, etc.).

La Quadrature du Net :

Autre surprise du texte : le gouvernement propose une nouvelle manière de faire de la censure administrative, en passant par un blocage des contenus au niveau des navigateurs web. Sous couvert de proposer un filtre « anti-arnaques », l’article 6 du projet de loi impose non seulement aux fournisseurs d’accès à Internet (FAI) et aux fournisseurs de systèmes de résolution de noms de domaine (c’est-à-dire les fournisseurs de DNS alternatifs autres que ceux des FAI) de censurer certaines ressources en ligne que la police aurait identifiées comme étant des « arnaques », mais oblige également les navigateurs web à procéder à une telle censure.

Nous parlons ici de la transformation de l’internet français en intranet juif.

Les juifs sont parfaitement conscients du fait que la situation leur échappe progressivement. Ils ne perdent plus de temps et avancent à marche forcée vers l’établissement d’une tyrannie absolue.

Les reportages moqueurs sur la censure en Chine seront bientôt des pièces de collection en France.

VPN et TOR

De notre point de vue, Tor est l’avenir de la résistance à ce régime juif. Recourir à Tor est moins facile que d’exister sur Twitter ou YouTube, mais pour une véritable résistance organisée dans la durée, c’est bel et bien un instrument de choix. Dans un environnement où l’internet français sera transformé en intranet juif, Tor sera la seule façon de contourner le blocus général de l’information.

Heureusement, nous avons encouragé depuis des années nos lecteurs à utiliser un VPN ou Tor et une grande partie de notre public s’en sert aujourd’hui. Environ 25% des internautes en France utilisent un VPN, un chiffre qui augmente d’année en année.

Quoi qu’il en soit, dans l’immédiat, sans VPN ou sans Tor, vous pouvez retrouver tous nos podcasts hebdomadaire sur une chaîne Odysee créée par un fidèle auditeur (nous le saluons !). Ils sont donc accessible en clair. Nous allons mettre le lien dans le menu du site. Il y a aussi la plateforme du podcast elle-même.

Vos options actuelles : TOR ou VPN

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.