Le juif de la CIA Raphaël Glucksmann accuse les Chinois de complotisme pour avoir rappelé qu’il est un agent de la CIA

La rédaction
Démocratie Participative
17 avril 2024

 

Le culot du juif est proverbial, mais le culot du juif Glucksmann est proprement biblique.

Ce juif stipendié par ses frères de race de la CIA hurle depuis 48 heures à propos d’un complot chinois. Lui, ainsi que le gouvernement du juif Attal, jure qu’il n’a aucun lien avec ses congénères d’Youtre-Atlantique.

Le Parisien :

Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place Publique aux européennes, a été averti d’une campagne de désinformation le visant sur les réseaux sociaux, provenant de comptes liés à la Chine, a fait savoir mardi son entourage. La tête de liste du PS « fait l’objet de manœuvres informationnelles d’acteurs pro-chinois et venant de comptes pro-chinois, qui l’accusent d’être le cheval de Troie des Américains, notamment de la CIA en Europe », a confirmé une source sécuritaire.

L’eurodéputé a été averti de cette campagne par l’organisme gouvernemental Viginum, chargé de traquer la désinformation en période électorale. « Nous ne nous laisserons pas intimider », a assuré en retour la tête de liste du PS.

Viginum est un truc juif.

Comme tous les trucs gouvernementaux qui hurlent au complot à ce stade.

Raphaël Glucksmann, qui bénéficie de sondages favorables à moins de deux mois du scrutin, est dans le collimateur de Pékin pour son engagement en faveur de la minorité musulmane ouïghoure. Il a été sanctionné à ce titre en 2021 par la Chine, qui lui a notamment interdit de voyager sur son sol.

La rumeur liant Raphaël Glucksmann à la CIA court depuis de nombreuses années, mais a refait surface avec davantage d’insistance sur les réseaux sociaux ces dernières semaines, relayée à l’extrême droite comme par des représentants de la gauche radicale.

Elle remonte à l’époque où l’homme politique fut le conseiller du président géorgien Mikhaïl Saakachvili, à partir de la guerre éclair opposant ce petit pays du Caucase à la Russie en 2008, jusqu’à la défaite électorale de 2012.

Raphaël Glucksmann a par ailleurs été marié avec l’ex-vice-ministre de l’Intérieur de Mikhaïl Saakachvili, Eka Zgouladze. Une relation qui lui vaut aussi son lot de « fake news relayées par le RN » jusque dans l’hémicycle du Parlement européen, déplore son entourage, alors qu’il préside la commission spéciale sur l’ingérence étrangère dans l’ensemble des processus démocratiques de l’Union européenne.

Il n’y a aucune rumeur là-dedans.

Le juif Glucksmann a pris le relais de son père, André Glucksmann, comme agent de la CIA en France pour le Caucase. Glucksmann fils a vu ses compétences élargies à la Russie et la Chine entières et ce au niveau de l’UE.

Agiter l’opinion française contre la Russie au profit de divers groupes séparatistes de cette région, djihadistes compris, fait partie de la mission de cette famille depuis 30 ans.

Son ancienne femme, cette Eka Zgouladze, est par la suite devenue ministre de l’intérieur ukrainienne, car évidemment, chez ces gens-là, les frontières n’existent pas.

Qui peut croire que son ex peut passer d’un gouvernement d’un pays de l’Est à l’autre, tous en guerre contre la Russie, sans que la CIA n’y soit mêlée ?

C’est absurde.

Le secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN), organisme rattaché à Matignon et dont dépend Viginum, avait mis en garde encore récemment contre les tentatives d’ingérences étrangères dans le scrutin du 9 juin. La campagne visant Raphaël Glucksmann est pour l’heure la première à avoir été mise au jour publiquement.

Donc, quand Glucksmann opère pour le compte des juifs de Washington, ce n’est pas de l’ingérence.

La CIA a créé cette gauche atlantiste et sioniste dans les années 70 et 80 et ses acteurs n’ont pas changé.

Même un journal comme L’Obs en a parlé.

L’Obs :

Pendant les années 1950 et 1960, la CIA a financé en sous-main le Congrès pour la Liberté de la Culture, un organisme basé à Paris, qui soutenait des revues intellectuelles et des magazines (dont la « Paris Review»). «Conspiration libérale», selon l’expression de l’écrivain australien Peter Coleman, le Congrès reposait sur l’idée que la défaite culturelle du marxisme (soviétique) passerait par la création d’une nouvelle gauche plutôt que par un soutien à la droite.

La thèse principale du rapport de 1985 est que la bataille française a été gagnée. Un «nouveau climat intellectuel» parisien, marqué par l’anti-totalitarisme et incarné par Bernard Henri-Lévy, va désormais œuvrer sans le savoir pour les Etats-Unis.

Évidemment, ils le savaient parfaitement.

La CIA se félicite que «l’intellocratie gauchiste» qui régnait sur Paris soit morte, «abandonnée à des mandarins vieillissants» et au souvenir des Sartre, Barthes, Lacan et Althusser, désignés comme «la dernière clique des savants communistes». C’est «un secret très mal gardé dans les cercles du PCF» que «tous les intellectuels communistes importants sont morts ou ont quitté le parti».

Les espions américains en accordent le mérite à une «coterie de jeunes agitateurs qui, pendant plus d’une décennie, ont converti à grand bruit dans les cercles militants, en attaquant la gauche française, vue comme dangereuse et intrinsèquement totalitaire»: les Nouveaux Philosophes.

Décrits comme d’anciens communistes ayant abjuré «les sophismes staliniens enseignés à l’Ecole Normale Supérieure», emmenés par Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann, ils sont populaires et «ont compensé leur prose abstruse en devenant des personnalités médiatiques à sensation», grâce aux «émissions de télévision et de radio à teneur intellectuelle dont les Français raffolent». La CIA semble déplorer qu’ils «n’acceptent le capitalisme que comme un moindre mal».

Une raison de se réjouir : «Lévy est devenu directeur de collection chez Grasset – une des plus grandes maisons d’édition de France – d’où il a pu s’assurer que les opinions des Nouveaux philosophes trouvent un accès facile au public». Leur essor a selon l’Agence été rendu possible par «un déclin général de la vie intellectuelle en France qui a sapé l’influence politique des penseurs de gauche».

Autrement dit, de l’aveu même de la CIA, c’est parce que les gens devenaient de plus en plus idiots que ces juifs ont pu mettre en coupes réglées les médias.

Cette «nouvelle gauche» devrait, selon la CIA, accomplir plusieurs œuvres: «Ils soutiendront les socialistes modérés qui peinent à créer une large alliance de centre-gauche», et ils «s’opposeront à tout effort des socialistes extrémistes de ressusciter ‘’l’union des gauches’’ avec le PC». Surtout, elle «devrait aggraver les différends entre les partis de gauche et à l’intérieur du PS, ce qui accentuera probablement la défection des électeurs socialistes et communistes». En clair, la CIA prophétise l’avènement des gauches irréconciliables et de la «non-révolution permanente» – expression attribuée à un étudiant français interrogé.

C’est ce que ces juifs du PS de Glucksmann font en ce moment contre Mélenchon.

Mais le grand apport des Nouveaux philosophes est culturel: «En France, l’anti-américanisme jadis considéré dans les cercles huppés comme une preuve indirecte de bonne éducation n’est plus en vogue. La dénonciation automatique des Etats-Unis – que les intellectuels de la Nouvelle Gauche nomment ‘anti-américanisme primaire’ – (…) est vue comme de la grossièreté. L’anti-américanisme passait pour un signe extérieur de richesse intellectuelle, distinguant les penseurs des gens du commun (suspectés d’avoir une bonne opinion des Etats-Unis, même pendant la guerre du Vietnam.) Maintenant, l’inverse est vrai: trouver des vertus à l’Amérique – et même identifier de bonnes choses dans les politiques du gouvernement US – est perçu comme la marque d’un esprit clairvoyant.»

Ainsi, ce «climat» va «rendre difficile la mobilisation d’une opposition significative aux actions américaines en Amérique centrale». (Le rapport évoque ici le soutien des juntes anti-communistes au Nicaragua.) La partie culturelle est même tellement jouée, l’antimarxisme est devenu une part si importante de «l’orthodoxie intellectuelle française» que, selon les mystérieux rapporteurs, «les Nouveaux philosophes semblent de plus rien avoir à dire».

L’opération Glucksmann actuelle vise à empêcher la formation d’une opposition de gauche aux menées guerrières des juifs contre la Russie et l’Iran, tout en solidifiant l’immigration maximale au sein du système.

Le fait que ce juif nie sans honte ses liens avec la CIA est la dernière preuve qu’il est au contraire l’un de ses agents les plus fanatiques.

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