Le pointeur de gamines Gérard Miller : l’effroyable effronterie du juif dans le mensonge

La rédaction
Démocratie Participative
29 février 2024

 

Après Adolf Hitler, le Docteur Josef Goebbels est certainement l’homme le plus diffamé de l’histoire. Dans cette ère de mensonges, rien de surprenant à que l’homme qui a fait de l’art de dire la vérité l’arme ultime contre le juif se voit accusé d’être le mensonge incarné.

Ainsi, on ne compte plus les idiots qui répètent cette citation :

C’est une déclaration sortie de son contexte.

Dans un discours du 12 janvier 1941 intitulé « L’usine à mensonges de Churchill », le Docteur Goebbels accusait justement les Britanniques de se livrer au mensonge sans aucune retenue :

Le principal secret des dirigeants anglais ne repose pas sur une intelligence particulière. Il dépend plutôt d’une remarquable stupidité. Les Anglais suivent le principe selon lequel lorsqu’on ment, il faut mentir gros et s’y tenir. Ils maintiennent leurs mensonges, même au risque de paraître ridicules.

Cet extrait, « lorsqu’on ment, il faut mentir gros », est devenu, « plus c’est gros, plus ça passe », avant d’être attribué au Docteur Goebbels comme une sorte de revendication cynique de sa volonté de mentir.

Cette accusation sans fondement, quoique convaincue d’inanité depuis longtemps, continue d’être reprise par tous les demi-débiles, activement ou passivement antifascistes.

Le Docteur Goebbels alertait sur l’art de mentir des démocraties derrière lesquelles se tient, inamovible, le juif. Le juif, avec son culot revendiqué, sa c’hutzpah, ment avec une telle insolence qu’il va jusqu’à accuser ceux qui dénoncent courageusement ses mensonges d’être les pires des menteurs.

Le héros devient le diffamé.

Le juif, de toutes les fibres de son corps, est menteur. Même si on le répète encore et toujours, le goy parvient difficilement à appréhender cette réalité d’une créature qui ne vit que par le mensonge, pour le mensonge.

Ici, nous avons entrepris d’éduquer les gens sur la nature du juif, une nature que la propagande juive cherche sans cesse à dissimuler en présentant le juif comme une éternelle victime immaculée.  Cinémas, télévisions, radios, librairies, écoles vrombissent tous les jours des proclamations de l’innocence absolue des juifs.

Hélas pour Jehovah, il ne résiste jamais à l’analyse scrupuleuse des faits.

On peut être sûr que les plus outranciers d’entre eux dans un registre sont également les plus englués dans leurs affres inavouables. Ainsi du juif Miller qui nous donne une parfaite représentation de ce dont le juif est capable pour donner le change.

Il s’érige en autorité morale si véhémente, ment avec un aplomb tel, s’emporte avec tant de rage, s’indigne si férocement, que le goy, désarçonné, se tait et écoute, pris de tournis.

Le juif est ainsi.

Si le juif n’était qu’une sorte de rom repoussé en marge des villes, ce serait une chose, mais ce parasite contrôle la totalité des médias occidentaux d’une poigne de fer. Ses mensonges dégoulinent dans chaque foyer, pas une cervelle blanche n’échappe à ses manipulations les plus odieuses.

On ne peut pas combattre un tel ennemi par la feinte. On le combat frontalement, en le dévoilant nommément aux foules.

Il n’y a pas et ne peut y avoir de politique révolutionnaire qui ne désigne radicalement et irréversiblement le juif comme l’ennemi du genre humain, sa négation absolue.

Cela passe par la vérité.

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