Les adresses personnelles de 1121 juges rouges diffusés sur le net

La rédaction
Démocratie Participative
04 juillet 2023

Les femmes blanches de la magistrature rouge vont avoir des problèmes de sommeil.

Marianne :

« KromSec », une organisation cybercriminelle, a publié ce lundi 3 juillet, les informations personnelles de plus d’un millier de juges en réaction à la mort de Nahel. Le ministère de la Justice a déposé une plainte auprès du parquet de Paris.

Des noms, des adresses personnelles, des numéros de téléphone portable, et des identifiants bancaires accessibles en quelques clics. Le groupe de hackers « KromSec » vient de rendre public, ce matin du 3 juillet, un fichier contenant les données personnelles de 1121 magistrats français.

On y trouve, par exemple, celles d’Isabelle Rome, ministre déléguée chargée de l’Egalité auprès de la Première ministre, présentée comme « magistrate à Amiens », mais aussi de plusieurs actuels présidents de la cour d’assises de Paris, ou encore d’une magistrate antiterroriste. L’organisation cybercriminelle a expliqué, dans un message publié la veille sur sa chaîne Telegram, les avoir obtenues en piratant le site « justice.fr », grâce à l’exploitation d’une faille dans le système de gestion de contenu open-source Drupal, utilisé pour construire des sites web. Ce que dément, « à ce stade », la Chancellerie auprès de Marianne, qui confirme qu’une plainte a été déposée pour « atteinte à un système de traitement automatisé de données ».

Cette action s’inscrirait dans le mouvement d’émeutes et de contestations qui a suivi la mort de Nahel, tué par un policier à Nanterre le 27 juin dernier après un refus d’obtempérer. « Le gouvernement français doit éradiquer le racisme au sein de la police, autrement le collectif Anonymous viendra en aide aux manifestants », prévenait KromSec dans un tweet daté du 2 juillet. « On les appelle “hacktivistes” [N.D.L.R., contraction de hackers et d’activistes], car ils font cela par idéologie », explique SaxX, qui se décrit comme un “hacker éthique”, à Marianne. « À l’origine, ils souhaitaient revendre les données sur des sites cybercriminels, comme ils en ont l’habitude. Eux, ils ne font pas de “ransomware” [N.D.L.R., demande de rançon auprès des institutions hackées]. Mais, pour éviter que d’autres groupes s’arrogent la paternité du piratage, ils ont finalement décidé de rendre ces données publiques. »

Si le fichier n’est pas à jour – il contient aussi les coordonnées de magistrats retraités, et plusieurs lieux de travail mentionnés ne sont plus d’actualité -, un grand nombre d’informations personnelles restent exactes. Selon nos informations, le document contient également des données se rapportant à des magistrats entrés en fonction en 2019. De quoi relativiser « l’ancienneté » du document tel que l’avance le ministère de la Justice auprès de Marianne et mettre en péril l’intégrité physique de nombre de magistrats.

C’est le genre d’informations que tout membre de la pègre afro-maghrébine qui se respecte sera heureux de conserver.

Après tout, ils ont un lourd contentieux avec ces gens-là.

Les banlieues regorgent d’allogènes prêts à passer à l’action.

Ce n’est qu’une question de temps avant que des juges se fassent liquider à leur domicile par des membres de la diversité arabo-musulmane.

Naturellement, cela ne nous concerne pas. Nous sommes neutres. Après 50 ans passés à servir de bras judiciaire à la terreur politique juive contre les nationalistes et de libération systématique de toute la vermine raciale, ces juges ne peuvent guère espérer de soutien dans la population.

Le Forum EELB sera prochainement de retour