Les hommes sont tous Adel, martyr de la cause de la civilisation

La rédaction
Démocratie Participative
11 janvier 2024

La police vaginale a brutalement mis un terme à la carrière du héros Adel Sidi Yacoub, homme musulman ayant simplement énoncé son intention de respecter les prescriptions maritales islamiques.

France Bleu :

« Ma femme n’aura pas le droit » : c’est la dernière vidéo de l’influenceur gardois Abdel Sidi Yacoub (syadbel30). Postée le 6 janvier 2024 sur le réseau social TikTok, elle fait depuis le buzz. Pendant une minute et six secondes, le jeune Gardois d’une vingtaine d’années, membre de l’équipe réserve de l’Entente sportive du Pays d’Uzès, liste les règles de vie que sa future épouse devra respecter. « Ma femme aura interdiction d’avoir des amis garçons, ma femme aura interdiction de travailler où il y aura des garçons, ma femme aura interdiction de s’exposer sur les réseaux sociaux » lance-t-il face caméra, bonnet noir sur la tête, sweat blanc et blouson sans manche.

Au total, sa future femme devra se soumettre à cinq règles, des règles qu’il juge « très raisonnables ». « Ma femme aura interdiction de partir en voyage sans moi. C’est moi qui la protège. Si je ne suis pas là, je l’autorise à voyager avec son grand frère ou son père, c’est tout. Ma femme, aura interdiction de s’habiller avec des habits moulants. Il n’y a aucun homme qui regarde le corps de ma femme. Le corps de ma femme, il est à moi. Minimum habits très très larges et le mieux, le voile, mais je ne veux pas la forcer » dit Adel Sidi Yacoub, fort de plus de 870.000 abonnés sur Instagram et TikTok.

Depuis, la vidéo, qui a été vue des milliers de fois, crée la polémique sur les réseaux sociaux. Des propos misogynes que dénonce le président de l’Entente sportive du Pays d’Uzès. « J’ai été surpris par cette vidéo, je me suis dis, mais qu’est-ce qui raconte. Bien sûr que le club ne valide aucun de ses propos » s’emporte Ahmed Maharzi, ancien joueur professionnel à Nîmes, à Toulouse ou encore à Châteauroux.

Depuis, le président uzétien passe son temps à éteindre l’incendie. « Ces propos n’engagent que lui, mais en aucun cas le club. Il ne faut surtout pas faire l’amalgame. Ici, on est tolérant et respectueux. Il a voulu faire le buzz, mais il a surtout fait du mal au club » conclut-il.

La sanction n’a pas tardé. Le comité directeur du club uzétien a exclu le joueur ce mardi 9 janvier.

Comme on voit, le bloc islamiste de Damien Rieu est une vue de l’esprit. Ce jeune maghrébin se fait jeter sous le bus par un autre maghrébin pour apaiser le lobby vaginal.

Les catastrophes ambulantes que sont les « féministes de droite » – qui sont simplement des féministes de gauche fidèles au CRIF – sont sur CNews pour se donner en spectacle.

C’est raccord.

Hélas, avec cette histoire, nous sommes encore entraînés par des garces blanches dans ce qui est une guerre juive par procuration.

En quoi devrions-nous intervenir dans les rapports qu’un homme musulman propose à une femme musulmane avant leur mariage ? Si l’on adopte ce raisonnement, on se transforme en assistante sociale chargée de protéger les droits des beurettes de se comporter en pétasses.

Depuis quand est-ce quelque chose qui a un semblant d’intérêt pour des Blancs ?

Il n’y a que des avantages à avoir des femmes musulmanes tenues en laisse par leurs hommes. Premièrement, parce que cela facilite drastiquement le cloisonnement ethnique et culturel.

Ensuite, parce que cela fait obstacle au féminisme juif qui se donne pour but de détruire les sociétés, par nature structurées par les hommes.

Ces exigences islamiques sont identiques à celles du code napoléonien, quoique plus libérales que celles de Bonaparte.

AOC :

Cependant, le Code Napoléon est aussi en rupture avec le droit révolutionnaire, accusé après Thermidor d’avoir trop accordé à la liberté individuelle, voire d’avoir tenté de détruire la famille. « Nous avons voulu promouvoir l’esprit de famille qui est si favorable, quoi qu’on en dise, à l’esprit de cité », écrit Portalis, l’un des principaux rédacteurs du Code, dans son célèbre Discours préliminaire. Il accorde une place centrale au mariage, seule institution inscrite dans la nature humaine elle-même : « Le mariage n’est ni un acte civil, ni un acte religieux, mais un acte naturel, qui a attiré l’attention des législateurs et que la religion a sanctifié. »

Parce que le mariage est le fondement de la famille et que son objet est d’assurer la permanence des liens entre générations, ce contrat est « perpétuel par destination », insiste Portalis. De là un tournant dans la définition même du lien matrimonial.

Alors que la Révolution avait institué en 1792 un divorce extrêmement libéral en référence à l’issue nécessaire face aux abus de la puissance maritale, à la recherche légitime du bonheur et à la liberté individuelle « dont un engagement indissoluble serait la perte », les rédacteurs du Code civil considèrent au contraire que rien dans l’essence du mariage – dont le but est, selon Portalis, le dévouement à la permanence des liens entre générations – n’implique la possibilité du divorce. Celui-ci est conservé en 1804 pour des raisons purement politiques, liées à la liberté des cultes (protestants et juifs admettent la dissolution du mariage), et réduit dans les causes possibles.

Un tel recul sur le principe de dissolubilité du lien matrimonial signe l’avenir : dès 1816, la Restauration abolira le divorce pour presque un siècle. Bien que cet enjeu paraisse neutre au regard du genre, il ne l’est pas : les victimes en seront les épouses, dont l’assujettissement à la puissance maritale dans un mariage malheureux n’aura plus d’issue.

Que ce mariage civil revisité soit le socle de la seule « vraie » famille se traduit aussi par le recul le plus extrême : celui des droits des enfants naturels. Alors que la Révolution leur avait permis l’héritage, le Code civil fait des bâtards de véritables parias sociaux. La famille naturelle n’existe pas en droit. La « fille-mère » est celle qui est devenue mère tout en étant encore une fille, et son enfant n’héritera pas de ses grands-parents. L’article 342 interdit la recherche en paternité au motif que des filles malhonnêtes pourraient accuser des hommes innocents et troubler ainsi la paix des familles.

On ne saurait trop souligner l’importance du grand principe de division des femmes ainsi inscrit au cœur même de l’ordre sexuel du Code civil : les filles perdues et prostituées d’un côté ; les honnêtes épouses et mères de famille de l’autre. Sans aucun équivalent pour les hommes, il assure l’impunité de leur domination sexuelle, en particulier sur les femmes qu’ils emploient (domestiques, lavandières, ouvrières…).

Quant à l’homosexualité, elle devient au XIXe siècle une « pathologie » témoignant de la nature viciée de tout l’individu, dont les bonnes mœurs bourgeoises exigent au minimum l’enfouissement dans le secret. Ces inégalités sociales et dominations de genre seront encore redoublées dans les colonies de l’empire français par les rapports entre colons et indigènes [3].

Si le « lien de sang » ne vaut pour les hommes que dans le cadre du mariage, c’est bien lui qui donne sa signification ultime à la filiation légitime. Le mariage est l’institution qui donne un père aux enfants que les femmes mettent au monde, et son cœur est la présomption de paternité. L’adultère féminin est puni comme un crime sans commune mesure avec l’adultère masculin. La puissance paternelle inclut le droit du père de faire enfermer ses enfants récalcitrants.

Enfin, l’adoption, que la Révolution avait célébrée en référence au rôle éminent de la volonté dans la constitution de la famille, est quasiment abolie. Réservée aux adoptants de plus de cinquante ans et aux adoptés majeurs, elle ne sert plus qu’à faire, sur le tard, un héritier.

Avec le recul, on aperçoit à quel point le Code Napoléon est dédié à la défense d’un modèle unique de la famille nucléaire légitime. Moralisant la sexualité reproductive, il est réputé seul conforme au droit naturel. Les caractères respectifs de l’Homme (supérieur en raison, seul apte à gouverner) et de la Femme (supérieure en altruisme, sensible au plus faible que soi) justifient la partition des rôles : il gouverne et protège, elle administre et doit obéissance à son époux.

La puissance maritale fait de la femme une éternelle mineure. La complémentarité hiérarchique, que l’anthropologue Louis Dumont a définie comme « englobement de la valeur contraire », accorde au mari et père le statut de représentant de la famille tout entière, justifiant que lui seul ait le droit de vote.

La partition hiérarchique des rôles de genre dans la famille se prolonge dans l’ensemble de la société dont le principe organisateur est la division du monde en deux : le monde public et masculin de l’art, de la science, de l’entreprise, de la politique et de la guerre englobe et domine le monde privé et féminin de la vie domestique, des invitations et des soins aux enfants, aux malades et aux personnes âgées.

Le premier combat est celui de la défense de l’ordre naturel en restaurant les lois qui sont en conformité avec l’anthropologie fondamentale, pas de laisser des harpies nous mener à la ruine comme c’est le cas depuis que ces femmes ont été laissées libres de faire ce qu’elles veulent.

Un homme musulman transformé en subordonné des beurettes ne fera pas de l’homme blanc un homme fort par contrecoup. Il y aura tout simplement beaucoup plus d’hommes faibles à la remorque de traînées hystériques, ce qui ne fera que servir de terreau à toutes les pathologies sociales imaginables.

En attendant que ces musulmans repartent chez eux, ils sont ici et chercher à les intégrer de force dans cette société vaginale dégénérative comme l’exigent les juifs et leurs succubes féministes ne fait qu’aggraver dramatiquement la situation générale.

Partisans blancs du patriarcat napoléonien et musulmans ont sur ce point un intérêt objectif en commun : remettre l’homme aux commandes, à tous les niveaux de la vie publique, à l’exclusion formelle des femmes, cantonnées au foyer.

Ce n’est pas négociable.

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