Les juifs tentent de déclencher une révolution en Géorgie pour en faire une nouvelle Ukraine

La rédaction
Démocratie Participative
09 mars 2023

 

Vous ne connaissez la Géorgie que pour ses cambrioleurs, mais c’est en fait un pays.

Il est situé dans le Caucase, entouré de gens musulmans.

Comme la grande majorité des pays chrétiens, c’est un foyer de pestilence démocratique où le juif trouve un chaleureux accueil.

Les juifs infiltrent depuis longtemps la Géorgie dans le but d’en faire leur porte d’entrée dans le Caucase. Avec l’Ukraine, ils veulent en faire leur base logistique pour leurs opérations offensives contre la Russie.

En 2008 déjà le juif Glucksmann était mandaté par Sarközy pour y semer les graines du sémitisme révolutionnaire.

C’est là-bas que Glucksmann épousa la Géorgienne Ekaterina Zgouladze, qu’il installera ensuite à la tête du ministère de la police ukrainien chargé d’éradiquer toute opposition interne au projet de guerre des juifs contre la Russie.

C’est le genre de prostituées qui consomment en un mois la moitié du PIB de leur pays du tiers-monde qu’elles prétendent « libérer » de leur propre peuple pour le compte des juifs.

Dans le système cosmopolite de ces juifs internationaux, les frontières nationales n’existent pas. Ces nomades et leurs associés migrent d’une capitale à l’autre, d’un continent à l’autre en quête de proies.

Pour ces juifs, être ministre en Géorgie une année, puis en Ukraine l’année suivante est un régime normal de gestion coloniale du bétail goy.

D’ailleurs, la France, colonie hébraïque, est gouvernée par une juive.

Adolf Hitler a tenu un discours sur ce point précis à l’usine Siemens, neuf mois après la libération de l’Allemagne par les Nationaux-socialistes. Il est d’une actualité complète.

Leur plus grand tour de passe-passe consiste à convaincre les sédentaires d’un pays donné qu’ils sont eux-mêmes des sédentaires assimilés, grâce au mimétisme social qu’ils utilisent, alors qu’en réalité ils ne cessent jamais d’être un corps étranger conscient de l’être, un état dans l’état, une cohorte de parasites qui s’évaporent du jour au lendemain, une fois leurs forfaits perpétrés contre la nation assez stupide pour les accueillir.

La Géorgie avait bien failli tomber aux mains de ces hyènes, mais leur homme sur place a été neutralisé, Saakachvili.

Ce bandit a tellement pillé les caisses du pays que même selon les standards locaux, la mesure était comble.

Le type est si corrompu que l’Ukraine, pourtant un état mafieux de la pire sorte, l’avait expulsé de son territoire en 2018.

Une fois le juif Zelensky élu en 2019, il a été autorisé à revenir en Ukraine. Il fut mandaté par le roi des juifs pour organiser des troubles à grande échelle en Géorgie à la faveur des élections, en 2021. L’objectif était de réaliser sur place ce qu’il se passe actuellement en Ukraine.

Ayant été condamné par la justice géorgienne en 2018 pour avoir couvert le meurtre d’un banquier qui en savait trop, il est immédiatement arrêté.

Face à cette situation, les juifs ont déclenché une de leur campagne de diffamation dont ils ont le secret contre la Géorgie, accusant le gouvernement national de vouloir « empoisonner » ce traître.

LCI, qui est une chaîne authentiquement juive, en fait d’interminables émissions.

Après trois ans de terreur biologique et d’inoculation forcée par Bourla, voir ces juifs accuser ceux qui leur résistent de faire ce qu’ils font à l’échelle planétaire ne cesse jamais de fasciner. L’effronterie de cette race dans le mensonge est sans pareil.

Aujourd’hui, l’écrasante majorité du Parlement européen demande la libération immédiate de Mikheil Saakashvili @SaakashviliM . Nous ne le laisserons pas mourir en prison. Nous ne ferons pas ce cadeau à Poutine et à ses marionnettes. Les dirigeants de l’UE doivent intervenir et le faire sortir.

Désormais, le gouvernement géorgien adopte justement une loi contre les parasites internationaux du calibre de Saakachvili.

Il n’en fallait pas plus pour que le Kahal déclenche une tentative de révolution de couleur.

Les agents de Soros ont reçu l’ordre de fomenter des troubles contre le gouvernement afin d’empêcher le vote de cette loi qui vise à garantir la souveraineté du pays.

20 Minutes :

Ce sont les yeux tournés vers l’Europe que l’opposition géorgienne se soulève. Au lendemain de heurts entre des milliers d’opposants à un projet de loi sur les « agents de l’étranger », de nouvelles manifestations sont organisées ce mercredi. Le Parlement géorgien a adopté mardi en première lecture ce texte qui prévoit que les organisations recevant plus de 20 % de leur financement de l’étranger soient obligées de s’enregistrer en tant qu’ « agents de l’étranger », sous peine d’amendes.

Selon ses détracteurs, ce projet rappelle une loi similaire adoptée en Russie en 2012 et que le Kremlin utilise pour réprimer les médias et les organisations d’opposition ou les simples voix critiques, considérés comme des « agents étrangers ». La Géorgie, une ex-république soviétique marquée par une guerre contre la Russie en 2008, ambitionne de rejoindre l’UE et l’Otan. Plusieurs récentes mesures du gouvernement ont toutefois jeté une ombre sur ces aspirations.

« A partir de 15 heures, les Géorgiens vont se réunir sur l’avenue Roustavéli [à Tbilissi] et cela va continuer tous les jours. L’avenue sera géorgienne et pas russe, jusqu’à la victoire », a indiqué mardi soir Nika Melia, figure du Mouvement national uni (MNU), formation d’opposition créée par l’ex-président emprisonné Mikhaïl Saakachvili.

D’autres ONG ont également appelé à manifester à partir de 19 heures, après la journée de travail, devant le Parlement. Des opposants au texte doivent enfin se réunir lors de marches prévues à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. Mardi soir, des milliers de personnes ont exprimé leur colère, à Tbilissi, lors de protestations dispersées à coups de gaz lacrymogènes et de canons à eau.

Le ministère géorgien de l’Intérieur a affirmé qu’au moins 66 personnes avaient été interpellées pendant cette manifestation, précisant qu’une cinquantaine de policiers et des « civils » avaient été blessés lors de heurts. Selon cette source, des protestataires ont jeté des pierres et des « cocktails Molotov » sur la police, en tentant de mener une « attaque organisée » contre le Parlement géorgien.

La présidente géorgienne, Salomé Zourabichvili, s’est exprimée, elle, mardi à la télévision depuis New York pour se dire « aux côtés » des manifestants. « Vous représentez aujourd’hui la Géorgie libre qui voit son avenir dans l’Europe et qui ne laissera personne lui voler cet avenir », a-t-elle ajouté en demandant que la loi soit « abrogée » et promettant d’y apposer son veto. Ce veto pourra toutefois être surmonté par le parti au pouvoir du Rêve géorgien qui contrôle plus de la moitié des sièges au Parlement.

Signe de l’inquiétude en Occident, le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell, a condamné mercredi le projet de loi, le jugeant « incompatible » avec les valeurs de l’UE et l’objectif de rejoindre le bloc européen. L’ambassade américaine en Géorgie a dénoncé mardi le projet adopté en première lecture, estimant qu’il s’agissait d’un « jour sombre pour la démocratie géorgienne ». « La poursuite de ces lois nuira aux relations de la Géorgie avec ses partenaires stratégiques », a aussi averti l’ambassade.

La Géorgie a déposé sa candidature pour l’UE avec l’Ukraine et la Moldavie quelques jours après l’invasion russe du territoire ukrainien le 24 février 2022. En juin, l’UE avait accordé un statut de candidat à l’Ukraine et à la Moldavie, mais demandé que la Géorgie procède à plusieurs réformes avant d’obtenir un statut similaire.

Les juifs savent qu’une fois cette législation en vigueur, la destruction des organisations subversives qu’ils financent dans le pays est inévitable et avec elle, leur capacité d’infiltrer l’état, les médias, les partis, la société.

C’est ce que ces juifs appellent « un jour sombre pour la démocratie ».

Forcément, Gluckmann est aux aguets pour défendre cette « démocratie » faite par les juifs, pour les juifs.

C’est toujours la même ficelle.

Quand une nation est lasse de se faire agresser par la race d’Abraham et qu’elle jette en prison leurs agitateurs les plus hostiles, l’internationale juive ordonne à sa presse de se mobiliser pour sauver le membre du peuple élu en situation délicate.

Quand Poutine a bouclé l’oligarque juif Khodorkovski, il ne se passait pas une semaine sans que les médias juifs ne hurlent à la mort imminente du martyr de la « démocratie ».

Dès qu’il fut libéré, le juif à l’agonie s’empressa de s’établir dans un chalet en Suisse où, par un miracle de Yahvé, il recouvra toute sa santé en moins d’une dizaine de jours et monta un quartier général pour renverser le gouvernement russe.

Hélas, Poutine est trop tendre. C’est aussi vrai dans la neutralisation de ces gens que dans la façon de conduire la guerre. Staline, lui, savait traiter les problèmes qui, comme je l’ai déjà dit par le passé, portent toujours un nom et un prénom.

Chaque juif, par sa nuisance corrosive, équivaut à une division d’infanterie. On ne se permet jamais de courtoisies avec ces hébreux et Poutine paie le prix de sa trop grande magnanimité.

Tous les juifs de Russie devraient être bouclés, pour commencer par le commencement. Les Russes sont déjà accusés d’être des « Nazis » parce qu’ils résistent au terrifiant projet de dictature raciale des juifs. Pour le même prix, autant l’être effectivement.

Cela donnerait matière à réflexion à la juiverie mondiale, et mieux, au reste du monde.

Nous ne sortirons pas de cette guerre mondiale voulue par les juifs sans que cette guerre soit menée contre la juiverie en retour. Elle la veut, elle doit l’avoir.

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