Les juifs totalement hors de contrôle appellent à la mise en place immédiate d’une théocratie hébraïque

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 février 2019

 

Les choses évoluent exactement comme nous voulons qu’elles évoluent.

En d’autres termes, nous poussons les juifs à l’escalade totale.

Les juifs partagent avec les fiottes un trait psychologique commun : une soif de domination absolue conditionnée par un besoin fondamental de sécurité physique.

Tout simplement parce qu’en tant qu’élément exogène parasitaire et minoritaire, le juif ne peut jamais se reposer face aux autochtones qui voudront, tôt ou tard, se libérer de sa tyrannie.

C’est pourquoi l’arrivée du juif dans une société aboutit toujours et partout à une déstabilisation de celle-ci car le juif entend bien reconfigurer cette société en fonction de ce besoin primordial de sécurité.

C’est la spirale juive : pour s’infiltrer dans une société, le juif doit la sémitiser, pour la sémitiser il doit la contrôler. S’il ne la contrôle plus, elle se désémitise, si elle se désémitise, il se fait expulser.

On peut comparer à ce titre le juif à un virus qui doit affronter tôt ou tard la puissante réaction du système immunitaire qui a fini par le repérer et se défendre contre l’empoisonnement.

Ceux que les juifs qualifient « d’antisémites » ne sont rien d’autre que les globules blancs du système attaqué.

C’est-à-dire vous et moi.

Je suppose que vous comprenez parfaitement qu’il n’est pas dans l’intérêt du virus juif d’avoir face à lui une armée de globules blancs déterminés à nettoyer l’organisme de la maladie.

Par ailleurs, pour garantir sa sécurité – donc sa capacité à mettre un pays en coupe réglée – le juif doit promouvoir tout ce qui rééquilibre en sa faveur le rapport de force purement numérique entre sa tribu et le peuple qu’il combat.

En d’autres termes, le virus juif prolifère d’autant mieux qu’il introduit d’autres virus dans l’organisme pour déborder son système immunitaire.

Sa stratégie conventionnelle se décompose en deux volets : le premier, diviser en une myriade de sous-groupes le peuple attaqué au moyen de la guerre civile, i.e. la guerre de classes. Le second à coaliser contre ce peuple des groupes tiers, quitte à les importer directement, i.e. la guerre de races.

C’est pour cela que le juif tient tellement à sa démocratie : elle atomise un peuple en une masse d’individus n’étant plus liés les uns et les autres par le liant commun de la solidarité raciale et sociale.

Il n’y a plus qu’une quantité infinie de « partis » qui rendent la volatilité politique permanente et permettent au juif, grâce à sa presse, de les jeter sans cesse les uns contre les autres pour mieux les neutraliser collectivement.

Ce n’est pas un hasard si ces youtres tiennent tant aux « élections » et redoutent tellement les Gilets Jaunes pour leur goût de l’action directe.

A cette stratégie hébraïque en deux volets s’ajoute les efforts du juif pour démoraliser une nation en souillant et dévalorisant ses valeurs, peu importe ce qu’elles sont, afin de détruire la conscience de cette nation d’en former précisément une, conscience qui est le préalable à toute résistance patriotique face à l’expansionnisme juif.

Tout ce qui permet de renforcer la conscience d’un groupe national, le juif s’ingéniera à le détruire. Il le fera de l’extérieur s’il n’est pas encore infiltré à l’intérieur.

Diviser pour régner est l’axe de toute politique juive.

Le juif qui promeut ainsi l’atomisation du corps social affecte toujours de jurer, main sur le coeur, qu’il n’est qu’un individu comme un autre, sans affinité particulière, demandant l’égalité de traitement.

On le retrouve dans tous les partis ouverts à sa pénétration. Il feint d’être d’un camp contre un autre quand le juif ne s’en connaît qu’un seul : le sien au nom de son tribalisme atavique.

Les querelles entre ces hébreux se tiennent toujours dans un cadre prédéfini entre eux qui ne soit pas de nature à réveiller chez le goy la suspicion de la duplicité juive.

A ce jeu-là, les juifs sont capables d’aller très loin.

Bien sûr, le juif ne peut jamais être autre chose qu’un juif et tout ce qu’il dit à ce sujet devant les goyim consiste à dissimuler son indéfectible solidarité tribale qui lui permet de chasser en meute contre les goyim isolés et démoralisés par sa presse.

Il se présente comme aussi isolé que les goyim atomisés par les querelles de partis, de religion, de syndicats.

Il s’agit pour le juif de semer la confusion dans l’esprit des goyim de telle sorte qu’ils ne parviennent plus à identifier le juif comme force cohérente agissant contre eux.

Vous découvrez une collection de juifs de toutes les saveurs et colorations, inconnue de vous jusqu’à lors. Vous aurez le juif bouddhiste, le juif démocrate-chrétien, le juif athée, le juif mathématicien, le juif sociologue de gauche assis à côté du juif sociologue de droite.

Comme le hurle Enthoven, « mais pourquoi me parle-t-on de Tsahal ?! »

L’obsession pour sa propre sécurité, préalable à tout le reste, est justement le point faible du juif.

Ce qui le rend le plus nerveux.

Attaquez-le suffisamment fort et vous verrez soudainement rejaillir chez cette créature sa nature de prédateur en perpétuelle situation de précarité.

Le juif placide, affectant de montrer les signes de la respectabilité bourgeoise, se transforme en quelques secondes en émeutier pharisaïque traquant le Christ dans les rues de Jérusalem.

Tous ses efforts visant à mimer les codes culturels des goyim de la classe dominante pour mieux s’infiltrer au milieu d’elle sont réduits à néant.

Ne reste que l’hébreu vociférant, paniqué et terroriste, appelant Ponce Pilate à la crucifixion générale.

Nous devons toujours exploiter à outrance l’angoisse du juif, celle qui le pousse à se dévoiler pour l’élément étranger qu’il n’a jamais cessé d’être. Il expose alors aux yeux de la masse des autochtones qui il est vraiment : un prédateur nomade déterminé à soumettre coûte que coûte les goyim.

Le juif ne redoute qu’une seule et unique chose :

Quand le juif est découvert après avoir mis un siècle à s’infiltrer dans une société, c’est une terrible défaite pour lui.

Le voilà à nouveau affublé de ses défroques de rabbin crasseux d’un ghetto de Voïvodine. Le déclassement racial et social plonge le parvenu dans l’effroi.

Il se retrouve à son point de départ : celui de l’étranger portant ses bagages. Il ne lui reste plus qu’à reprendre le processus d’infiltration à son point de départ mais dans une position autrement plus délicate : cette fois le goy sait qui il est et ce qu’il veut.

Quand le juif est clairement identifié par les masses, il recourt à la victimisation la plus outrancière.

Ce que le juif, par une inversion caractéristique, appelle « la lutte contre l’antisémitisme ».

Le yid Enthoven a procédé à cette habituelle inversion aujourd’hui même.

Le juif repéré répond en quittant le terrain du mimétisme culturel pour s’installer sur celui de la moralité. C’est encore plus drôle tant cet escroc en est absolument dépourvu au point d’en ignorer jusqu’au nom.

C’est alors un phénoménal cri de violon dont les cordes ont été remplacées par des lames de rasoir.

En se posant en victime, donc en prétendant avoir droit à la justice du goy, il cherche à obtenir la légitimation de sa présence. Son certificat de « naturalisation ».

Par contrecoup, c’est là la racine de la délégitimation automatique du droit de l’autochtone à régner souverainement et exclusivement sur sa terre.

C’est pourquoi la seule présence du juif aboutit toujours à l’expropriation de principe de tous les autochtones d’une nation et le remplacement de la souveraineté autochtone par la tyrannie du cosmopolitisme, c’est-à-dire de la suprématie légale et morale des métèques par le nouveau droit que ne manquent jamais de réécrire les juifs.

L’ordre autochtone est alors remplacé par la souveraineté juive, laquelle légitime toutes les mesures qu’il prendra pour conserver le contrôle du pays qu’il a conquis.

C’est ainsi qu’une nation passe, au nom de la « l’affranchissement », de la liberté à l’oppression.

Nous ne sommes pas dans une lutte politique mais dans une guerre religieuse donc totale. Contester la théocratie cosmopolite juive, ne laisse que deux options : vaincre ou être éradiqué.

C’est aussi pourquoi la démocratie ne craint réellement une force que si elle attaque le juif : il est le coeur et l’âme de la théocratie démocratique, sa classe sacerdotale, l’esprit dont elle est l’esclave.

Dénoncer la prédation nègre ou mahométane ne représente jamais qu’une action extérieure contre cette théocratie. C’est précisément pour cela qu’ils sont recrutés : pour ralentir et enrayer l’offensive antisémite autochtone avec des combats de retardement.

Attaquer le juif directement revient à enclencher la fusion du coeur de la centrale en raison même de son infiltration totale des couches supérieures du système, de son intimité avec lui.

De quoi découle qu’un seul dessin suffit à déclencher des convulsions spectaculaires à l’intérieur du système.

Attaquer explicitement l’état colonial juif qu’est l’Etat Français en tant qu’entité juive est la façon la plus sûre de contraindre le système à la fuite en avant jusqu’à ce que la masse ne puisse plus suivre et que l’Etat se retrouve isolé du peuple.

Alors l’Etat se retourne violemment contre le peuple, détruisant la démocratie juive dans le processus.

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