Les médias français en colère contre l’Inde après la construction d’un temple hindou sur une mosquée détruite

La rédaction
Démocratie Participative
24 janvier 2024

 

À quoi sait-on que la France est un pays musulman ?

Aux réactions françaises indignées lorsque les indiens se libèrent de la secte du bédouin n°1.

Sur BFM Drahi, on apprend que l’Inde « stigmatise les musulmans » qui sont « une minorité complètement opprimée ».

Cela donne à réfléchir.

Il faut savoir que le « fanatisme hindou », tel que défini par les médias français, consiste à reprendre ses lieux sacrés jadis transformés en mosquées par l’envahisseur musulman.

Wikipédia :

Ainsi, le site attribué à la naissance de Rama accueillait-il, avant la mosquée de Babri, un temple consacré à Rāma. Selon un jugement de 2010, les 265 inscriptions découvertes le 6 décembre 1992 (après la démolition de la mosquée), ainsi que l’étude d’autres vestiges architecturaux ne laissent place à aucun doute sur le fait que les inscriptions retrouvées sont en écriture devanagari, datant des 11e et 12e siècles. Les trois juges admettent donc qu’il y a les vestiges d’un temple sous la mosquée, et deux des trois juges admettent que le temple a été démoli.

La mosquée est construite en 1527 sur l’ordre de Bâbur, premier empereur moghol, dont elle porte le nom, probablement après la destruction du temple hindou préexistant, un acte sans doute pas isolé : une chronique historique, le Tarikh-i-Babari (« Histoire de Babur »), relève que les troupes de Babur « démolirent de nombreux temples hindous à Chanderi [Madhya Pradesh] ».

La mosquée de Babri, avant d’être détruite, était en fait déjà une ruine (selon la documentation de la Cour d’Allahabad), abandonnée et ne pouvait servir à aucun culte. Depuis 1985 et à la suite des demandes du VHP d’ouvrir le site aux Hindous, la mosquée délabrée, et inutilisée par les musulmans, avait gagné une fonction de temple hindou.

Détruire l’islam est normal et naturel.

Le journalisme français, c’est compliqué.

« La Croix » développe une position radicalement anti-indienne, quitte à utiliser ses journalistes comme propagandistes à la botte de maoïstes ou d’islamistes locaux.

L’une d’entre elles est menacée d’expulsion.

La Croix :

Dans le cas de Vanessa Dougnac, il semble que les autorités indiennes aient très mal perçu des reportages parfois dans la province séparatiste du Cachemire, ainsi que ses enquêtes, anciennes, sur les rebelles maoïstes actifs dans plusieurs provinces. Mariée à un Indien, notre correspondante disposait d’un statut administratif lui permettant de circuler librement à travers le pays, sans demander d’autorisation préalable. Le ministère de l’intérieur l’a rayé d’un trait de plume pour la bouter hors du pays et la réduire au silence.

C’est symptomatique.

Tous ses reportages ne sont qu’une longue liste d’attaques contre l’Inde. Chefs religieux, monde des affaires, Modi lui-même, qualifié « d’anti-Gandhi », cette traînée passe sa vie à insulter le pays.

Ce n’est d’ailleurs pas isolé, c’est la règle. Toutes les Françaises du journalisme établies à l’étranger s’acharnent à démolir dans leurs articles les pays où elles se trouvent, à l’exception rigoureuse des pays africains ou musulmans. C’est fascinant à observer.

L’explication est assez simple : les bonnes soeurs des colonies ont été remplacées par des femmes blanches tout aussi chrétiennes, bien déterminées à réaliser leur utopie égalitaire en détruisant tout ce qui s’y oppose.

La gauche blanche et les féministes convergent naturellement sous la bannière de l’islam. Du coup, dès que dans le monde un semblant de résistance à l’expansion islamique se manifeste, ils entrent dans un état d’hystérie total.

La conquête islamique de l’Inde par les moghols a été la plus grande entreprise génocidaire de l’histoire connue.

Modi démontre que peu importe le temps qu’il faut, cette lèpre abrahamique peut être extirpée. C’est ce qui inquiète grandement la coalition abrahamique.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.