Les séparatistes juifs du CRIF interdisent aux députés RN de présider un groupe parlementaire dédié à l’étude de « l’antisémitisme »

La rédaction
Démocratie Participative
10 novembre 2022

 

Il y a tout un tas de groupes inutiles à l’Assemblée nationale, parmi lesquels un groupe sur « l’antisémitisme ». Ce groupe parlementaire est censé étudier les « causes » de l’antisémitisme. Il était prévu qu’un député RN préside ce groupe inutile, mais les juifs ont annoncé que les députés RN ne feraient que ce que les juifs décident.

Le CRIF, une organisation séparatiste juive, a signé un décret d’interdiction rabbinique en ce sens.

Obéissant à son organisation raciale de tutelle, la juive Braun-Pivet a pleuré 6 millions de larmes chez le juif Patrick Cohen pour rappeler qu’en république, les juifs commandent.

Évidemment, la fonction de ce groupe est d’inverser la réalité et de diaboliser les goyim qui ne font que se défendre contre les attaques incessantes des juifs.

Plus les juifs attaquent les goyim, plus ils hurlent à l’antisémitisme pour prévenir toute réaction de légitime défense. C’est le mode opératoire standard de ces juifs.

Les juifs ne peuvent évidemment pas tolérer que des goyim suspects de vouloir se défendre contre eux président un groupe parlementaire spécifiquement créé pour les attaquer.

Pour la plus grande surprise du RN mariniste, ce sont les juifs qui décident qui est antisémite ou pas, « dédiabolisation » ou non.

Après dix ans à ramper aux pieds des juifs, après avoir abandonné le nom historique du parti en gage de soumission et tout juste désigné un président né en 1995, un demi-siècle après la Seconde guerre mondiale, le RN reste décrété antisémite et neon-nazi par les juifs.

Il faut remercier les juifs d’empêcher le RN de devenir un parti juif comme un autre, en dépit de sa volonté de s’enjuiver à outrance exprimée par Marine Le Pen depuis une décennie.

Ce qu’il faudrait à l’Assemblée d’ailleurs, c’est une commission sur le « sémitisme » qui sévit en France et les moyens d’y mettre un terme, pas l’inverse.

Ce sémitisme international organisé qui dicte sa volonté en toute transparence.

Cette république est théoriquement « laïque » et ne reconnaît pas les « communautés ». Elle désigne les « représentants » de la « communauté nationale » par les élections au suffrage universel et c’est ainsi que s’exprime la « souveraineté nationale ».

En réalité, cette république est une dictature raciale juive qui ne reconnaît qu’un peuple, le peuple élu, lequel dispose du droit de véto sur toutes les décisions, indépendamment du cirque électoral artificiellement maintenu pour divertir le bétail goy.

« République » n’est qu’un nom de code utilisé par les juifs pour parler de leur tyrannie tribale en France.

Commentez l’article sur EELB.su