Les terroristes anglo-américains bombardent le Yémen

La rédaction
Démocratie Participative
12 janvier 2024

 

Les bandes terroristes alliées ont frappé le Yémen pour dissuader son peuple d’intervenir contre les juifs qui procèdent au nettoyage ethnique de Gaza.

C’était un « avertissement », sans effet.

⚡️BREAKING

Les États-Unis ont informé les Houthis quelques heures avant l’attaque

Sky News rapporte que les États-Unis ont informé les Yéménites avant l’attaque afin d’éviter une guerre totale.

Le Yémen est susceptible de frapper la base américaine de Djibouti

Une campagne de bombardements ne peut rien changer à la situation, elle n’exprimerait que l’impuissance des juifs de Washington dans la région.

Les juifs ont bombardé pendant trois mois l’enclave de Gaza avec l’équivalent de 3 bombes nucléaires sans pouvoir parvenir à quoi que ce soit contre le Hamas qui est bien moins puissant que les Houthis du Yémen.

La presse britannique n’en fait pas mystère.

Sky News :

Les attaques menées cette nuit contre des cibles houthies constituent une escalade dramatique d’une crise qui risque désormais de s’étendre à l’ensemble du Moyen-Orient.

Elles révèlent également l’échec de la politique américaine et occidentale dans la région : malgré de nombreux avertissements, les attaques des Houthis se sont poursuivies en mer Rouge contre la navigation commerciale, et il est probable qu’elles continueront après cette intervention militaire.

Les responsables américains et britanniques tiennent à dissocier le lien entre les actions des Houthis et ce qui se passe à Gaza – ces déclarations sont soit fallacieuses, soit malavisées.

Il est bien sûr dans l’intérêt de l’Occident de diffuser ce récit, mais il ne reflète pas la réalité – en ce qui concerne le monde islamique et une grande partie du « Sud global », les États-Unis et le Royaume-Uni sont tous deux fortement impliqués dans la guerre de Gaza aux côtés d’Israël et, après les événements de la nuit dernière, ils le sont encore plus.

Les Houthis font souvent des comparaisons entre les bombes de fabrication américaine larguées par la coalition dirigée par l’Arabie saoudite à partir d’avions américains et les mêmes types d’armes que celles utilisées contre les Palestiniens à Gaza.

Les Houthis sont une milice yéménite qui porte le nom de son fondateur, Hussein Badreddin al Houthi.

Ils sont alliés et soutenus par l’Iran et font partie de « l’axe de la résistance » – leur ADN est le rejet d’Israël, « l’entité sioniste », et de son sponsor, les États-Unis.

Son nom officiel est Ansarallah, et il compte environ 20 000 combattants.

Son image est celle d’une armée en haillons brandissant de vieilles kalachnikovs, mais cela ne reflète pas ce que le groupe est devenu ni ses capacités militaires actuelles.

Grâce à l’Iran, les Houthis disposent désormais d’un arsenal comprenant des drones perfectionnés, des missiles de croisière et des missiles balistiques, ainsi que des armes antinavires.

Le groupe contrôle la capitale Sanaa ainsi que le littoral de la mer Rouge, d’une importance stratégique.

Ses dirigeants ont déclaré que leur objectif était de perturber la navigation commerciale sur cette importante voie d’eau afin de forcer un cessez-le-feu à Gaza et de lever le blocus de la bande de Gaza.

Les attaques menées par les États-Unis ne risquent pas d’ébranler ou de décourager leurs intentions.

Bien qu’elles aient été généralisées, il est peu probable que la puissance aérienne suffise à dégrader leur capacité de manière significative.

Au cours des dix dernières années, les Houthis ont été confrontés à des tirs de barrage similaires de la part de la coalition dirigée par l’Arabie saoudite et ont non seulement survécu, mais se sont renforcés.

Il est probable que ces frappes de la coalition dirigée par les États-Unis ne seront pas les dernières.

Tout pourrait s’arrêter du jour au lendemain si les juifs de Londres et de Washington ne soutenaient pas la colonie juive de Palestine dans sa guerre génocidaire.

Ce qui se passe, c’est que ces démocraties juives préfèrent précipiter l’effondrement économique de l’Europe plutôt que d’arrêter les assassins de Tel Aviv.

Le Yémen est peut-être pauvre, mais son peuple préfère la mort plutôt que de se soumettre aux juifs.

Cela tranche drastiquement avec l’Arabie Saoudite voisine, protectorat des USA.

Des millions de personnes dans la capitale du Yémen, Sanaa, chantent à l’unisson :

« Nous nous en fichons (3x) : Faites-en une guerre mondiale ! »

Cela tranche également avec les nations d’Europe de l’Ouest, avachies sur elles-mêmes, plus préoccupées par leur confort personnel et leurs histoires d’épicerie catégorielle que par des choses comme l’honneur, l’indépendance, les traditions nationales.

Le chancre juif au Moyen-Orient n’a aucune chance de durer. Il doit gagner perpétuellement pour ne pas disparaître, année après année, décennie après décennie, siècle après siècle. C’est impossible.

Plus tôt ces juifs seront écrasés, mieux cela vaudra pour le retour de la paix mondiale.

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