L’état bourgeois antinational, la gauche islamo-régressiste et le parti nationaliste dans la guerre civile

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 novembre 2019

 

On est samedi, c’est le 2 novembre, l’occasion de parler un peu plus en profondeur de la situation générale.

L’événement le plus marquant de l’automne, jusqu’à présent, c’est la durée de la polémique sur le voile islamique qui a suivi le quadruple assassinat de la Préfecture de Police avant de se conclure – temporairement – par l’attaque contre le QG djihadiste de Bayonne.

Bien sûr, le thème fallacieux de « l’islamophobie » n’est pas une nouveauté mais il devient, pour la première fois, vraiment structurant à gauche.

Le refus du voile est devenu minoritaire à gauche.

Ceux qui à gauche s’opposent au voile sont pour l’essentiel des archéo-laïcards de la grande bourgeoisie, proches de la juiverie, qui n’ont plus aucune prise avec les banlieues qui jadis votaient socialiste ou communiste.

L’action de ces gens consiste à se filmer en train de discuter dans leurs salons parisiens.

C’est sur ce ticket que compte se présenter en 2022 Bernard Cazeneuve pour le PS fossilisé.

Même Blanquer a dû reculer après avoir déclaré être contre le voile, une position qui était jusque-là parfaitement banale au sein des partis de gauche.

Ici, nous avons souvent évoqué le basculement générationnel en cours qui aboutirait inévitablement, avec l’effacement des Boomers laïcards bouffeurs de curés, à la victoire de la gauche ethno-clientéliste pro-musulmane.

Nous y sommes.

L’assimilation des métèques, une idée juive empoisonnée

Nous avons également dit ici que la tenue vestimentaire des maghrébines était le dernier de nos soucis dans la mesure où, pour nous, l’équation se pose en termes ethniques et raciaux et non pas en termes universalistes ou démocratiques.

Libérer les Fatma de leurs mâles n’est pas un de nos objectifs, bien au contraire.

Nous ne sommes pas des croisés de la démocratie juive. En plus d’être impraticable,  ce judaïsme pour goyim ne nous intéresse pas. Nous n’avons pas envie de perdre notre énergie à essayer de façonner à notre image des sous-hommes qui sont par prédisposition génétique incapables de nous être semblables en plus de vouloir d’instinct notre destruction physique.

Laisser les musulmans à leur nature, les laisser s’auto-assigner à leur religion est la meilleure des évolutions possible dans la mesure où cela limite grandement la pollution du sang aryen que les juifs recherchent avec l’abolition des barrières culturelles et religieuses.

Seuls les juifs, les lesbiennes ou les amateurs de beurettes peuvent s’intéresser à la libération du corps des algériennes.

Tous les ancêtres de cette jeune femme étaient racistes

L’assimilation est par définition une idée juive appliquée aux goyim pour détruire leur potentiel génétique grâce au nivellement par le bas qu’il induit.

L’ultra-communautarisation est infiniment plus souhaitable, d’un point de vue blanc, car elle préserve le potentiel génétique du sang aryen sur le long terme là où l’assimilation biologique se convertit en disparition irréversible.

Cela ne rend pas la présence métèque plus désirable mais cela contient ses effets destructeurs au plan biologique.

Seul un singe idéaliste à la solde des juifs peut promouvoir un projet aussi funeste que l’assimilation.

La gauche cléricalo-régressive (ou islamo-régressive)

Ce qui nous intéresse en revanche, c’est ce que dit le basculement de la gauche dans le cléricalisme oriental.

Par un renversement dialectique, la gauche devient le parti de la religion tandis que la droite, confusément, devient le parti rationaliste, c’est-à-dire le parti de la raison aryenne subissant l’assaut du fanatisme mahométan.

Remplacez ce moine par un imam et attendez les réactions de la gauche

Ce n’est pas une évolution nette, monolithique.

Grosso modo, vous avez la gauche individualiste, enjuivée et bourgeoisie, qui refuse de suivre le basculement complet dans le cléricalisme islamique.

Si bien qu’un journal juif d’extrême-gauche comme Charlie Hebdo, historiquement spécialisé dans l’anti-catholicisme, est aujourd’hui anti-islam.

Les goyim qui adhèrent à cette littérature hébraïque voient dans l’islam une force autoritaire qui veut donner aux masses musulmanes le pouvoir de contrôler de près leur libido, le seul et unique sujet qui importe aux yeux de cette gauche libérale sous clef juive.

De l’autre côté, vous avez la gauche égalitariste pour laquelle l’ennemi est l’ordre aryen.

Face à cet ennemi blanc désigné, la masse est l’unique facteur politique. Si la masse des banlieues est musulmane, alors cette gauche se convertira à l’islam par tactique.

C’est ce qu’incarne la France Insoumise, Médiapart, les Blancs bougnoulisés qui se disent « Gilets Jaunes » et qui fricotent avec Mélenchon.

Comme ce « Fly Rider ».

Pensez ce que vous voulez de Zemmour mais, personnellement, vous ne me trouverez pas avec les Frères Musulmans pour exiger sa tête au motif qu’il excite passablement les bougnoules financés par le Qatar et Erdogan.

Je ne serai d’ailleurs pas non plus sa pompom-girl, à la différence de Robert Ménard dont l’envie de conversion au judaïsme ne fait plus de doute.

Je m’en tiens à la ligne raciale : la lutte contre le sémitisme intégral, contre Yahwé et Allah, est une et indivisible.

Ce type d’alignement sur telle ou telle faction sémite de la part des Aryens traduit un état psychologique de soumission, aussi inacceptable que paralysant. C’est contre cet état de soumission psychologique qu’il faut lutter.

Les Aryens sont seuls légitimes en France, c’est à eux d’affirmer leur souveraineté raciale et de dicter, à terme, les conditions du politique dans ce pays.

C’est cette conception du monde nordique – je n’entends pas par là « germanique » mais septentrionnale – que nous devons défendre comme notre véritable religion.

Le Nord contre le Sud, dans une guerre d’extermination complète où seul un des deux camps survivra. Ce sont les termes de l’équation.

C’est en ces termes qu’il faut juger n’importe quelle entité politique : combat-elle le sémitisme ou cherche-t-elle à trouver un compromis avec tout ou partie du sémitisme, avec des partis sémites ?

La réalité devient alors transparente.

Le seul véritable contre-argument qui est brandi face à cette approche antisémite est celui de la fainéantise : « C’est teeeellement difficile, il faut faire des efforts et même prendre quelques risques… pfouuuh, nan, je préfère sucer les [insérez le groupe sémite]… »

Le bouleversement démographique

Tout ceci n’est que l’écume d’un bouleversement global qu’on ne doit pas perdre de vue : celui de l’effondrement démographique du monde occidental.

L’Europe traverse une dépression démographique gravissime que la finance internationale et les états socialisés occidentaux cherchent à compenser par l’immigration de remplacement.

Le socialisme sémite a aboli le concept d’état-nation pour le remplacer par l’état social où le peuple devient la variable d’ajustement de toute politique. Le juif a découplé l’état de la race en termes pratiques après l’avoir découplé en termes théoriques en 1945.

Cette dynamique démographique explique la balkanisation ethnique de l’Europe de l’Ouest mais aussi l’apparition de l’islam comme compétiteur politique en France, bien qu’encore très faible et désorganisé.

La gauche régressive pro-islam tente de coaguler dans un tout indifférencié musulmans, métèques de toutes les races et cas sociaux blancs pour peser suffisamment, le prolétariat blanc l’ayant abandonné.

Il est inévitable que la finance juive et la gauche libérale finissent par s’allier à cette masse anti-blanche pour empêcher la victoire de l’Aryanisme.

Pour l’heure, les financiers juifs, qui contrôlent les bourgeoisies dans chaque état occidental, cherchent à trianguler à leur avantage le conflit entre djihadistes et « suprémacistes blancs ». Mais la polarisation va devenir si forte qu’elle négociera une alliance avec la gauche islamo-régressive.

D’une certaine façon, c’est cette synthèse que tente déjà de réaliser Macron face à Le Pen même si Le Pen n’est que spectatrice de cette évolution.

Il s’agit pour les juifs de maintenir le statu quo qui leur permet de dominer les groupes raciaux en présence.

C’est pour cette raison que le juif parle comme un universaliste et qu’il agit comme un nationaliste. Ce double-discours que cette cinquième colonne juive n’aura de cesse d’utiliser tant qu’il sera toléré dans un seul état étranger de cette terre.

Le processus de désagrégation politique de la France a commencé

Si j’ai pris le temps de parler du retournement historique que représente la mutation de la gauche anticléricale en mouvement pro-islam, c’est pour mesurer l’ampleur du renversement en cours.

L’Europe ne rayonne plus, c’est le tiers-monde qui déborde sur elle. Tout spécialement en France. C’est ce torrent de l’invasion que cherche à chevaucher de manière opportuniste la gauche antiblanche en prenant le parti de l’islam.

Le résultat inévitable de la polarisation raciale et sociale est l’éclatement politico-territorial de l’espace français, ce qui interdira à la France de projeter sa puissance à l’extérieur en raison de sa division intérieure.

Ce schéma sera valable pour toute l’Europe occidentale, à des degrés divers.

La question du voile islamique, prise en elle-même, est anecdotique. La mutation qu’elle illustre ne l’est pas du tout.

Le règlement de la crise de modernisation qu’à traversé la France au 18ème siècle a consisté pour Paris à déchristianiser politiquement les périphéries pour les aligner sur le bassin parisien. Ce que l’on pourrait appelé la Pax Francia intérieure.

L’objectif était de dépasser la guerre civile générée par la fin de l’Ancien Régime de droit divin pour doter la France d’un état-nation unifié capable de projeter massivement ses armées au delà de ses propres frontières contre un ennemi extérieur.

Le processus inverse est maintenant enclenché avec la résurgence de territoires régis par un ordre religieux se développant organiquement qui annonce le séparatisme financé depuis l’étranger (Arabie Saoudite, Qatar, etc..). Tout spécialement autour de Paris où ses masses seront tôt ou tard employer pour dicter sa conduite au gouvernement.

Le séparatisme n’est pas nécessairement officiel, il peut atteindre ses objectifs par un situation de fait accompli sur le terrain.

Une guerre civile est inévitable dans la mesure où le centre s’effondre rapidement avec un compétiteur – les masses non-blanches dominées par l’islam – qui veut s’emparer de la puissance d’état avec l’aide de la gauche et de puissances étrangères.

Face à cette force, une résistance nationaliste – indigène si vous préférez – se forme progressivement dans les esprits.

Quand la confrontation entre nationalistes et cosmopolites aura-t-elle lieu ?

Quand le processus politique légal ne parviendra plus à résoudre les antagonismes et que l’État – armée, police – qui est censé imposer ce processus ne le pourra plus et devra prendre parti pour un camp contre l’autre pour établir une nouvelle légalité.

Le plus petit dénominateur commun des deux camps sera : pour ou contre les étrangers ?

Pour l’heure, Macron, représentant de l’ordre établi hérité de 1945, pèse encore 40% de l’électorat réel (votants, votes blancs, absentionnistes, non-inscrits) sur la base d’un second tour où les uns et les autres doivent choisir entre deux options s’excluant radicalement (Le Pen). Dont une part importante de vieux.

En ce moment, c’est la grande faiblesse organisationnelle des oppositions qui rend possible le maintien du statu quo.

En outre, tout ceci se déroule dans un contexte très favorable pour le pouvoir où la France n’a pas encore fait défaut sur sa dette souveraine, où les taux d’intérêts sont très bas et où la croissance économique est à 1%.

Macron passera sous la barre des 40% de soutien réel quand la dette française deviendra insoutenable.

En attendant, l’État et la bourgeoisie peuvent encore imposer l’ordre cosmopolite aux deux camps.

Quand le système ne sera plus soutenu que par le tiers de la population française (loyalistes), la triangulation paralysera le centre – l’État – et toute la force de destruction sera libérée.

Les crises qui couvaient éclateront, l’État – police, armée – devra limiter ses opérations aux cibles prioritaires et choisir ce qui mérite d’être défendu et ce qui doit être abandonné.

Rien n’indique que l’État – police, armée – s’alignerait automatiquement sur le parti nationaliste contre le parti cosmopolite une fois la crise ouverte. Comme je l’ai dit, il n’y a plus d’état-nation en France, existent à la place un état et une nation. Les signaux d’une volonté d’écraser les masses nationalisées sont nombreux.

Surtout, la bourgeoisie a accès au capital étranger et pourra donc acheter l’alliance de l’armée et de la police.

L’état bourgeois contre les masses nationalisées

La dénationalisation des états est spectaculaire dans tous les états occidentaux, particulièrement aux USA, en Allemagne, en Grande-Bretagne ou en France. Cette dénationalisation entreprise par la bourgeoisie financière vise à liquider définitivement l’état-nation dans ce qu’il a de populaire.

Le « populisme » n’est rien d’autre que la mobilisation des masses de ces pays pour renationaliser les états en place contre la volonté des bourgeoisies qui les contrôlent.

C’est la réaffirmation de la propriété populaire de l’État devenu un simple fisc au service de la finance.

Le contexte actuel est un retour à la situation politique de 1788 quand une partie du peuple était nationalisée mais n’avait pas encore d’état, celui-ci étant sous le contrôle de la seule couronne de France.

Les gens qui hésitent à basculer parce qu’ils ont encore quelque chose à perdre basculeront quand ils auront tout perdu. C’est-à-dire quand l’affrontement violent leur paraîtra moins coûteux que la paix et le statu quo.

L’objectif de toute résistance nationaliste est bien de se doter d’un état propre sur le territoire concerné, c’est-à-dire de remplacer l’état cosmopolite et la classe bourgeoise qui le contrôle par l’état nationaliste.

Comme exposé plus haut, cette volonté s’oppose de front à deux volontés différentes qui s’allieront en temps de crise : celle du parti métèque, par définition antinational, et du parti bourgeois, par nature loyal à la finance étrangère.