« L’État ne se laissera pas remplacé » menace Darmanin contre les nationalistes blancs

La rédaction
Démocratie Participative
28 novembre 2023

Tiens, encore des dissolutions.

Le Figaro :

Le ministre de l’Intérieur a annoncé qu’il allait demander la dissolution de trois groupuscules d’ultradroite parmi lesquels la Division Martel, après les manifestations violentes de militants à Romans-sur-Isère.

Alors que 80 militants d’ultradroite ont défilé dans les rues de Romans-sur-Isère ce week-end, prêts à en découdre après le meurtre de Thomas à Crépol, le ministre de l’Intérieur a annoncé vouloir dissoudre trois groupuscules d’extrême droite.

«Je vais proposer la fin d’un groupe qui s’appelle la Division Martel. Rien que le nom évidemment nous fait peur», a indiqué Gérald Darmanin au micro de France Inter ce mardi.

« Évidemment » ?

« nous » ?

Pourquoi les Français de sang auraient-ils peur de Charles Martel, l’un de leurs héros les plus connus ?

À moins que ce « évidemment » et ce « nous » ne traduisent plutôt la réaction instinctive du métèque Gérald Moussa Darmanin, d’origine algéro-séfarade, face au réveil des Blancs.

Je n’affirme rien, bien sûr, c’est une question.

Ce groupuscule de l’ultradroite parisienne compterait dans ses rangs, des individus ayant participé à la mobilisation samedi soir. «Et puis de deux autres, dont je ne peux pas évoquer les noms puisque nous rentrons dans le contradictoire, mais qui sont directement liés aux mobilisations d’extrême droite», a complété le locataire de Beauvau.

«Je crois qu’il y a dans l’ultradroite une mobilisation qui veut nous faire basculer, comme l’a dit M. Roussel, dans la guerre civile», a déclaré Gérald Darmanin. Lundi, le secrétaire du PCF avait affirmé sur France Inter : «L’extrême droite est en train de nous mener vers l’autoroute de la guerre civile en Europe et en France, et elle le fait pied au plancher.»

La manoeuvre est assez grossière, quoique révélatrice. L’axe Darmanin-Roussel vise implicitement Mélenchon, qui appuie en effet une guerre ethnique généralisée.

Le chef de la Fronsse Soumise exaltait l’autre jour « l’auto protection » de la « population » du « quartier populaire » de la Monnaie, comprendre les groupements de tragiquants maghrébins qui se sont formés pour tenir à la hâte les zones occupées.

Ces groupes étaient appuyés par les flics à Romans-sur-Isère, mais cela a été opportunément omis de son récit par Mélenchon.

Face au risque d’un «scénario à l’irlandaise», le ministre de l’Intérieur s’est donc voulu ferme : «Personne ne va remplacer l’État».

Nous y sommes : l’État – juif – qui remplace les Blancs ne veut pas être remplacé par les Blancs sous l’effet de leur riposte.

C’est ce qui se produit imperceptiblement en ce moment avec la perte de confiance massive de la population blanche envers l’État. Les réactions d’hostilité ouverte contre les flics sur les réseaux sociaux en sont l’expression.

Sans confiance dans l’État, pas d’État.

Inversement, jamais les juifs n’ont autant eu confiance en l’État, qui assure leur protection sans faiblir, avec des moyens illimités. C’est évidemment logique, puisque cet état est leur état.

L’unique objectif stratégique qui importe pour les Blancs de France conscients de leurs intérêts raciaux est de démanteler l’État.
Si ce n’est déjà fait, vous devriez lire notre article à ce sujet : La police, premier obstacle de la révolution blanche.
En lieu et place, ce qu’il faut patiemment mettre en place sur les ruines de ce système et de cet état, ce sont des Hezbollah blancs, c’est-à-dire des organisations fondées sur une appartenance communautaire qui disposent du pouvoir régalien sur le territoire qu’elles contrôlent, donc de la souveraineté effective. Ces organisations sont autant de proto-états de substitution qui émergent naturellement lorsqu’un état unique se fragmente.
L’effondrement de la natalité blanche croisée à l’immigration de masse entraîne mécaniquement une hétérogénéité systémique qui génère à son tour la constitution de forces centrifuges à caractère racial, ethnique et/ou religieux. Ce n’est pas une opinion, mais une description.
D’un côté, il y aura la constitution de micro états-cartels islamiques de type kosovare, de l’autre, si les Blancs font sécession en s’organisant, la constitution d’états-raciaux.

Cela adviendra, d’abord de manière très éparse et désordonnée, puis, petit à petit, de façon consciente et structurée, au fil des ans.

Regardez en arrière, comme le font les souverainistes classiques en citant De Gaulle, n’aura aucun effet tangible sur la réalité quotidienne.

À présent il s’agit :
  1. de le savoir,
  2. de l’intégrer,
  3. de s’y adapter
L’État central, c’est-à-dire la juiverie de Paris, le devine, même si ce n’est pas le scénario qu’il pense probable. Il voudra contenir par tous les moyens ce processus, tout en continuant d’alimenter les causes mêmes de ce processus, à savoir l’immigration de remplacement. C’est la contradiction fondamentale du système et cette contradiction aboutira inévitablement à la balkanisation politique du territoire, une fois la balkanisation ethnique devenue incontrôlable.
La dérive autoritaire du système est inscrite dans l’instabilité généralisée qu’il crée lui-même par son jusqu’au boutisme immigrationniste.

Avant de rappeler son bilan à l’égard de l’ultradroite : «Sur la quarantaine de dissolutions que j’ai proposées depuis que je suis ministre de l’Intérieur, deux ont été retoquées par le Conseil d’État. Et je constate que tous les groupuscules d’ultradroite ont été dissous lorsque je les ai proposées au président de la République.»

Ce n’était pas un scénario à l’irlandaise. Les Irlandais se sont spontanément rassemblés dans les rues de Dublin dans l’heure qui a suivi pour casser les supplétifs du régime que sont les flics.

À Romans-sur-Isère, les manifestants venaient de diverses régions, ce qui a nécessité de nombreux jours de coordination et donc permis l’espionnage de la police et l’embuscade qui a suivi.

Ceci dit, le scénario irlandais est le scénario de choix, car politique au sens strict, encore faut-il que la population visée par la violence allogène ne reste pas le cul dans son salon à regarder CNews et qu’elle ait une conscience claire de ce qui se produit.

Cela ne peut pas advenir miraculeusement. C’est le rôle des révolutionnaires que de diffuser cette identification de l’ennemi prioritaire : l’État.

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