Macron concocte le déploiement de l’armée française à Odessa

La rédaction
Démocratie Participative
14 mars 2024

Macron devra être jugé pour crime contre la paix

Avouez tout de même que nous avons une bonne analyse de la situation.

Avant-hier, le 12 mars, dans notre article sur les projets de guerre de Macron, nous disions exactement :

Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.

Aujourd’hui, 14 mars, le journal Le Monde révèle le contenu des discussions de Macron avec son équipe de gangsters en vue du déclenchement d’une guerre généralisée en Europe.

Le Monde :

Emmanuel Macron trinque, un verre de whisky à la main. La nuit s’étire, ce 21 février, dans le salon des portraits, à l’Elysée. Le chef de l’Etat répond à ceux qui le félicitent pour son « beau discours » en l’honneur des résistants arméniens Missak et Mélinée Manouchian qu’il vient de faire entrer au Panthéon. Mais le président de la République est songeur. La situation en Ukraine, envahie par les troupes russes depuis deux ans maintenant, se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa », lâche, d’un air dégagé, le chef de l’Etat devant une poignée d’invités.

Si un journal juif comme Le Monde se met à diffuser ces informations, c’est pour préparer le terrain en vue de l’entrée en guerre de la France contre la Russie. Macron doit parler ce soir, il faut donc attendrir le gigot.

En prenant le contrôle d’Odessa, le but de Macron, ou plus exactement des juifs qui se cachent derrière lui, est de contrôler le flux de céréales qui va vers l’Afrique.

Ces juifs de Paris n’ont toujours pas digéré de s’être fait dégager en quelques mois de l’Afrique de l’Ouest. Ils veulent revenir en force en menaçant ces pays de famine. Le juif Attal l’a laissé transparaître dans son appel à la guerre, tout en justifiant cette pulsion d’agiotage par les intérêts de « l’agriculture française », pourtant menacée par la production à bas coût ukrainienne.

Il y a un autre point, méconnu : Odessa est un repaire historique de la juiverie.

Ces juifs savent que le moindre kilomètre carré conquis par la Russie est un kilomètre irrémédiablement perdu. L’idée d’abandonner Odessa les rend totalement hystériques.

Nous sommes donc à ce moment charnière où, demain, pour les Ides de Mars, Macron organisera avec les Polonais le basculement exigé par la juiverie internationale, en présence de Scholz, pris en otage d’un train infernal qu’il ne maîtrise pas.

Dès cette époque, l’envoi de « troupes au sol » (« boots on the ground », dans le langage militaire) devient une option examinée par les autorités françaises, dans le plus grand secret. Elle est évoquée lors d’un conseil de défense, le 12 juin 2023 à l’Elysée. « Le rôle des militaires est de toujours préparer le maximum d’options possibles, de façon à aider à la décision politico-militaire du président de la République », explique Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, pour lequel il ne faut pas voir dans l’annonce de M. Macron une escalade improvisée sur un coin de table. « Ce que dit le président de la République est d’abord un message politique et stratégique. Le premier objectif est d’envoyer [à la Russie] un signal de volonté et d’engagement dans la durée », assure l’officier supérieur.

Depuis la fin 2023, les troupes de Kiev perdent du terrain dans le Donbass. « Il y a aujourd’hui en Ukraine deux lutteurs qui se tiennent à la gorge, assure le général Schill. Il est impossible de savoir lequel des deux va plier le genou le premier, mais il ne faut pas que l’Ukraine perde. C’est notre mission et notre intérêt. »

Les champs de patates de l’Ukraine, dont tout le monde se foutait en France jusqu’à ce que la CIA n’en décide autrement, ne font pas partie des intérêts de qui que ce soit en Europe de l’Ouest.

Du moins, pour ce qui concerne les goyim.

Schill veut faire tuer autant de golems que nécessaire

Il faut partir du principe que l’oligarchie au pouvoir a définitivement perdu contact avec la réalité. La société française, criblée de dettes et racialement balkanisée, ne résistera pas à une grande guerre. Les émeutes raciales de l’été dernier ont démontré l’état de pourrissement profond qui prévaut.

Deux camps se forment donc, avec les bellicistes à la solde des juifs d’un côté et le peuple de l’autre.

Il faut quand même se rappeler qu’au départ, il y a deux ans, il n’était question que de livrer des gilets pare-balles à Zelensky. On voit où la passivité nous a menés. Le projet des juifs depuis toujours est une guerre contre la Russie, avec une inévitable escalade nucléaire au menu.

Poutine rappelle sans cesse aux peuples d’Europe la gravité de la situation, les médias juifs déploient tous leurs efforts pour rassurer les goyim afin qu’ils marchent aveuglément à l’abattoir.

La formule gagnante ici et de désigner les fauteurs de guerre à la vindicte populaire en prévision des inévitables troubles révolutionnaires qui suivront.

L’objectif, une fois le régime éreinté par le conflit, est de détruire l’ordre démocratique par lequel les juifs nous oppriment.

Participez à cet effort en tractant autour de vous, selon les consignes connues.

Rappel des consignes, ce n’est pas si long qu’il n’y paraît ;

  • Agissez seul ou en binôme, jamais plus
  • Vous ne devez pas avoir d’activité politique publique connue
  • Limitez vous strictement au tractage
  • Jamais d’actions violentes contre les biens ou les personnes
  • Organisation des actions de tractage uniquement de visu, aucun message par le net ou smartphone, même « codé »
  • Ne parlez jamais de vos actions à qui que ce soit
  • Les tracts doivent être exclusivement diffusés physiquement, jamais numériquement
  • Photocopiez vos tracts (noir et blanc) dans des magasins de bureautique, supermarchés locaux (payez en cash), pas d’imprimante personnelle
  • Ne photocopiez pas dans le même magasin, changez systématiquement et jamais dans votre commune
  • Portez toujours un masque et une capuche lorsque vous imprimez
  • Ne garez pas votre voiture sur le parking du lieu où vous photocopiez (vidéosurveillance)
  • Un tract en format A4 plié en deux ou deux tracts en format A5 (à masicoter)
  • Quelques centaines de tracts suffisent par action
  • Ne conservez aucun stock de tracts chez vous ou ailleurs, tout doit être distribué ou le surplus détruit (pas à la poubelle, par le feu)
  • N’ayez aucun matériel incriminant à votre domicile (livres, tshirts, drapeau, etc.)
  • Durée de l’action : une à deux heure(s)
  • De nuit (idéalement, de 01h00 à 03h00 du matin)
  • Jamais dans votre commune, idéalement pas dans votre communauté de communes
  • Les flics opèrent hiérarchiquement selon le schéma départemental, pour leur rendre plus difficile la tâche n’hésitez pas à opérer en dehors de votre département
  • Pas en centre-ville (vidéosurveillance)
  • Garez votre voiture dans une zone sans éclairage, idéalement à l’écart
  • Portez obligatoirement un masque sanitaire et une capuche/casquette
  • Laissez impérativement votre téléphone chez vous
  • Pas d’utilisation de votre carte de crédit de votre départ jusqu’à votre retour
  • Ne manipulez jamais les feuilles A4 et les tracts à mains nues, uniquement avec des gants (type gants jetables en plastique)
  • Boîtez, scotchez sur des supports ou laissez les tracts au sol dans des endroits fréquentés (de jour)
  • Ne tractez pas intensivement, espacez vos actions dans le temps et l’espace (jamais de second tractage dans la même commune ou communauté de commune)

Contre la censure

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