Macron continue de répéter qu’il veut entrer en guerre contre la Russie dès que possible

La rédaction
Démocratie Participative
17 mars 2024

Macron a abandonné l’idée d’avoir quoi que ce soit à dire sur sa politique intérieure, un désastre complet à tous les niveaux. Déclencher une guerre est un bon moyen de ne plus avoir à s’expliquer sur quoi que ce soit et c’est bien ce qu’il fait.

Le Parisien :

Calé dans son fauteuil dans le carré du petit triréacteur, verre de Perrier à la main, ignorant le plateau de charcuterie déposé par le steward, il poursuit. « Initialement, je pensais aller en Ukraine. J’ai expliqué au président Zelensky qu’il était plus important que j’aille convaincre l’Allemagne et la Pologne de faire davantage et différemment, à mes côtés. Et j’irai après en Ukraine. »

Ce partage des tâches inclurait-il l’envoi de soldats en Ukraine, sujet passé sous silence par le trio vendredi ? Dans la carlingue secouée par les turbulences, le président assume son propos disruptif. « Peut-être qu’à un moment donné — je ne le souhaite pas, n’en prendrai pas l’initiative —, il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu’elles soient, pour contrer les forces russes. La force de la France, c’est que nous pouvons le faire. »

Macron embrouille son monde lorsqu’il dit qu’il ne « prendra pas d’initiative ». Dès lors qu’il veut déployer l’armée française en Ukraine, la France prend l’initiative d’entrer en guerre contre la Russie. Que Macron joue le malin en disant que son corps expéditionnaire se contenterait d’être tactiquement sur la défensive à Odessa ne changerait rien au fait qu’il serait stratégiquement à l’offensive en intervenant en Ukraine.

Au reste, « la France ne peut pas le faire ». L’armée française, c’est 200,000 hommes au total dont Macron peut extraire 15,000 soldats pour les expédier sur le front ukrainien, soit l’équivalent de 3 ou 4 brigades russes. Déployés sur le front, ils seraient hors de combat au bout de quelques semaines d’affrontement. C’est pourquoi ce faisan veut les embusquer en arrière des lignes, à Odessa.

En clair, c’est la prérogative du chef de l’État et de lui seul, chef des armées, de décider d’un tel engagement. Mais l’essentiel à ses yeux est de restaurer la crédibilité des alliés, qu’il juge entamée par la prudence de certains. « Comment pouvez-vous dire que la Russie ne peut pas gagner la guerre et vous mettre des limites préalables, alors que c’est elle qui prend la responsabilité de l’escalade, qui manie l’ambiguïté, l’absence de limites et la menace ? » À l’entendre, il ne serait plus si isolé : « beaucoup de pays en Europe, et pas des moindres, sont totalement sur notre ligne » (visés, les pays baltes, la République tchèque, la Pologne…)

C’est sûr que les micro-états baltes, les Polonais sans armée et la Tchéquie, ça impressionne.

L’état-major prépare-t-il des scénarios militaires, « au cas où » ? La réponse fuse, sans hésitation. « Notre devoir est de se préparer à tous les scénarios, confie-t-il. Ce serait une erreur, une faute, de ne pas le faire. Je suis d’ailleurs persuadé que dans certains de ces scénarios, chacun, qui le peut avec son modèle, prendrait ses responsabilités ».

Macron est occupé à monter une petite parade pour les besoins de ses fanfaronnades diplomatiques. Ce type veut absolument exister et flanquer quelques milliers d’hommes à Odessa lui semble le meilleur moyen de squatter la table de négociations sans prendre de véritables risques.

Tout est désespérément prévisible chez ce type.

Dans son univers mental, jamais les Russes n’oseraient tirer sur des troupes françaises qui font du camping dans cette ville fortifiée.

Les Russes vont le gifler comme une salope à la première occasion, c’est du garanti.

Ces derniers jours, les Russes ont envoyé un message à l’armée française sous la forme d’un tir de précision réalisé le 15 mars à Odessa contre la direction des forces paramilitaires ukrainiennes dans la région. La frappe a eu lieu lors de la tenue d’une réunion secrète entre les bandits locaux et des officiers de l’OTAN.

Au moins un agent français a été liquidé.

Pour en savoir plus sur la frappe à Odessa, la plupart des morts sont des militaires ou des hauts fonctionnaires.

Les officiers français sauront que tout ordre de mission pour un séjour à Odessa impliquera de certainement finir grillé en pleine pause café. De quoi donner matière à réflexion sur le coût qu’implique le numéro de Macron.

Ceci dit Macron se fout totalement de faire tuer des Français. Il se foutait déjà de les faire tuer en leur inoculant du Pfizer à tous âges, sous la contrainte.

Ce type est un psychopathe, au sens clinique du mot.

Nos problèmes ne viennent pas de Moscou.

Il suffit de lire une carte.

Nos problèmes viennent du cartel de politiciens vérolés qui sévit depuis Paris.

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