Macron met en place un ravitaillement hors de prix pour alimenter en eau les noirs proliférants de Mayotte

La rédaction
Démocratie Participative
06 octobre 2023

L’or bleu a un coût.

Mayotte compte 300,000 habitants et elle n’a déjà plus d’eau.

Dans 20 ans, elle comptera plus d’un demi-million de noirs musulmans.

Lire : La colonie afro-islamique de Mayotte à feu et à sang ! 

Conformément à sa mission négrificatrice, la Fronsse organise un vaste ravitaillement pour désaltérer ces bouches noires inutiles qui prolifèrent comme des punaises de lit.

La 1ère :

Il y a deux semaines, Estelle Youssouffa, députée de la première circonscription de Mayotte, appelait les Mahorais à ne plus payer leurs factures d’eau. Dans le département, qui fait face à une sécheresse exceptionnelle, les réserves collinaires sont au plus bas. Depuis le 18 septembre, les tours d’eau sont drastiques et l’eau est coupée deux jours sur trois.

Ces comoriens à papiers français se reproduisent comme des rats et quand finalement leur île sature au point de ne plus avoir une seule flaque d’eau pour y boire, ils refusent de « payer » avec l’argent qui leur est de toute façon donné par les Blancs de métropole.

Ils montrent agressivement les dents aux Blancs qui doivent payer à nouveau.

Et dire que toute la droite française a bruyamment applaudi cette mahoraise délavée qui veut vider ses poubelles raciales en Europe au nom de ce mème souverainiste qu’est la « solidarité nationale ».

La solidarité nationale est ce qui détruit le Gaulois sidéré. À la place, c’est une solidarité raciale qui devrait lui succéder.

Mais autant parler de polka piquée à des Chinois. Les patribeaufs amateurs de cocotiers ne veulent rien entendre.

Le problème, ce ne sont pas ces nègres qui ne font que ce font les nègres depuis toujours – manger et se reproduire -, ce sont les Blancs dirigés par des juifs qui les considèrent comme des égaux dont ils ont la charge.

« La Première ministre a décidé que les abonnés au service de l’eau n’auraient pas à payer les factures des mois de septembre à décembre 2023, compte tenu de la dégradation très importante du service rendu au public », indique Matignon dans un communiqué. L’annonce a été faite après un comité interministériel sur la crise de l’eau à Mayotte organisé par la Première ministre, Elisabeth Borne, en début d’après-midi.

« On continuera en janvier si l’eau n’est pas revenue de façon courante aux robinets des Mahoraises et des Mahorais », a précisé le ministre délégué aux Outre-mer, Philippe Vigier, au micro de nos confrères de franceinfo. Ce dernier estime que l’opération coûtera « 12 millions d’euros » et chiffre plus largement l’investissement de l’État pour résoudre la crise de l’eau à Mayotte à « 35 millions d’euros » d’ici à la fin décembre.

La semaine dernière, 500 000 litres d’eau ont été acheminés depuis La Réunion pour approvisionner le département. Il s’agissait du troisième envoi, et d’autres sont prévus d’ici à la fin de l’année. Le gouvernement envisage « d’élargir progressivement le public bénéficiaire ». Pour l’instant, la distribution de bouteilles d’eau gratuites concerne environ 51 000 personnes parmi les plus vulnérables. « 300 militaires et civils seront déployés à Mayotte pour assurer la logistique de cette distribution », précise le gouvernement.

La nécessité d’un ravitaillement lourd permanent pour fournir des bouteilles d’eau à des noirs correspond au standard de développement de n’importe quel état arriéré d’Afrique (pléonasme).

C’est ça, le « département français » de Mayotte, territoire à part entière, et à égalité, de « l’Une-et-Indivisible ».

Nous avons sous les yeux la raison pour laquelle l’Afrique est hors de contrôle démographiquement : avec leur égalitarisme pathologique, les Blancs n’ont de cesse d’empêcher la nature de réguler la croissance d’une espèce invasive en interrompant le cycle naturel par leurs interventions intempestives.

Sans les agissements destructeurs de l’homme blanc, il n’y aurait aucun problème d’immigration, parce qu’il n’y aurait aucun débordement de la natalité africaine en Europe. Le Blanc voit chaque correction naturelle en Afrique – épidémie, famine, guerre – comme une « crise » et renforce à chaque nouvelle intervention la riposte suivante de la nature qui tente de stabiliser la situation.

Plus les Blancs déversent de fric dans le tonneau des Danaïdes africain, plus les crises deviennent violentes par contrecoup. Sauver les noirs de leur négritude équivaut à empêcher la vapeur d’une cocotte-minute de s’échapper. Plus la pression monte, plus l’explosion sera violente.

C’est notre mentalité ovarienne, égalitaire, fanatiquement antiraciste qui plonge l’Afrique dans le chaos en la lestant de milliards de noirs.

À Mayotte, toutes les interventions coloniales guidées par l’humanitarisme négrophile français se convertissent en naissances.

Chaque jour, les femmes blanches payées par l’État français s’y démènent pour maximaliser la production de négrillons musulmans.

Avec cette politique femelle, par nature dictée par les émotions sans aucun regard pour le lendemain, on se retrouve avec une masse de viande négroïde qui n’a qu’une seule exigence : croître encore plus.

Il faut donc lui fournir l’eau et la calorie nécessaires à son exigeante expansion, ce que la France, obsédée par le bien-être des nègres, s’empresse de fournir dans un unanimisme véritablement religieux.

Sa Majesté le Nègre exige, son laquais blanc se précipite.

Vous ne trouverez personne, absolument personne dans le spectre politique français institutionnel, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, pour dire l’évidence : Mayotte doit réintégrer son espace politique, géographique et racial, les Comores.

Ce n’est qu’une surenchère d’appels à voler toujours plus d’argent à l’esclave blanc pour qu’il paye le nègre mahorais à ne rien foutre, sinon encore plus de négrillons.

Et ainsi de suite, jusqu’à ce que le schéma arrive à sa conclusion : déplacer la masse mahoraise en expansion en métropole où le schéma sera maintenu.

Ces naissances n’ont aucune justification, car elles sont décorrélées du biotope en question. Jamais une île qui représente 10% d’un département métropolitain ne devrait avoir 500,000 habitants, ni un million. Surtout pas des nègres idiots.

Je vois des gens parler du péril transhumaniste.

C’est le dernier de nos soucis.

Le véritable péril, ce sont les apprentis sorciers blancs qui s’obstinent à alimenter le nègre en calories pour qu’il baise.

Il faut impérativement ramener l’Afrique à un désert. Pour cela, il n’y a rien d’autre à faire que de ne jamais interférer avec ce continent, ni de près, ni de loin.

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