Marion Maréchal fait du Glucksmann en vomissant à flots constants contre la Russie

La rédaction
Démocratie Participative
27 mars 2024

 

Je n’arrive pas à discerner la candidature Glucksmann de la candidature Maréchal (ex-Le Pen).

Hélas, il y a encore des élections en Russie et elles sont libres.

On peut même voter pour les communistes, c’est dire.

Vladimir Poutine ne pourrait pas interdire le Parti Communiste de Russie, même s’il le voulait, et si les électeurs voulaient se débarrasser à tout prix de lui, ils voteraient pour le candidat communiste.

En Russie, seulement 15 à 20% des gens voudraient changer de chef.

Il n’y a tout simplement pas de demande.

La raison est évidente. Poutine a fait d’un état au bord de l’explosion en 1999 un pays capable de défier l’OTAN les armes à la main 25 ans plus tard. Il a jugulé le crime, généralisé dans les années 1990, et multiplié par 10 la richesse nationale.

Pour qui les Russes voudraient voter exactement ?

Pour un inconnu inexpérimenté ?

En pleine guerre ?

Par ailleurs, les élections sont un fléau. Les élections ne produisent rien de bénéfique. C’est un affrontement permanent entre bandes pour accéder temporairement au pouvoir avant d’être défaites tour à tour, puis de recommencer, pendant des décennies, jusqu’à ce qu’une nation soit complètement ruinée par une telle guerre civile permanente.

Ce n’est que très exceptionnellement qu’un homme hors du commun accède au pouvoir par les urnes pour sauver son pays. Depuis que les élections modernes existent, c’est arrivé très exactement une seule fois.

Et en fait, même pas. Adolf Hitler n’a jamais accédé à la chancellerie du Reich grâce à un vote majoritaire. Il a acquis 42% des voix en 1933, ce qui lui a donné l’ascendant sur le parlement allemand. Le régime a cédé sous la pression. Ce n’est qu’une fois au pouvoir, face aux succès spectaculaires de sa politique, que les masses se sont ruées aux urnes pour soutenir le nouveau chef.

La démocratie dont tous ces gens nous parlent sans cesse part du principe qu’une majorité absolue doive s’exprimer en faveur d’un candidat pour que l’univers puisse tourner.

Macron, leur champion, a rassemblé 38% du corps électoral français en 2022. Il n’est pas plus majoritaire que les autres.

Ce n’est qu’une fois au pouvoir qu’un peuple peut ratifier ou non une politique en plébiscitant ou non un chef. En Russie, c’est le cas.

La désastreuse Maréchal (ex-Le Pen) représente ce système de partis juifs qui rend tout impossible. Ses sorties antirusses répondent à ses inavouables liens avec l’horrible Meloni, la catin ménopausée de Biden, follement déchaînée contre Poutine.

C’est pour boutiquer à Bruxelles sous la supervision de sa marâtre italienne qu’elle vocifère contre la Russie.

Au moment où le dernier grand état d’Europe mène une lutte à mort contre les forces destructrices du cosmopolitisme juif, jouer à ce petit jeu dans l’espoir de pointer misérablement pendant 5 ans à Bruxelles dit tout de cette garce sans principes.

Fort heureusement, cette bonne femme inutile ne décide de rien. Ce sont les hommes de l’armée russe qui décideront de la marche de l’histoire.

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