Maroc : appelant à l’invasion afro-islamique totale de l’Europe, Bergoglio proclame que Dieu est nègre (analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 mars 2019

Le journal juif Le Figaro vient de sortir un très long article à la gloire de Bergoglio à l’occasion de son nouveau voyage en terre d’islam.

Bergoglio est très friand des voyages en terre d’islam.

En général, il aime visiter les sémites. Comme en témoigne son voyage en Israël pour se prosterner devant l’idole de l’holocauste.

Je pensais hier soir que le lieutenant de Satan sur terre nous laisserait au moins 48 heures en paix après l’annonce du caractère chrétien du sexe anal, mais non.

Il avait un plan secret.

Le Figaro :

Le souverain pontife appelle mettre en œuvre «avec rapidité» les engagements du pacte de Marrakech notamment par «l’élargissement de canaux migratoires réguliers».

La première journée du voyage du pape au Maroc aura été marquée par l’appel surprise commun lancé, avec le roi Mohammed VI, pour protéger le «caractère spécifique multireligieux» de Jérusalem, la «ville Sainte». Mais encore plus par un discours presque sans précédent de François, directement adressé «aux migrants», où il a une nouvelle fois tempêté contre «l’indifférence et le silence» car «personne ne peut être indifférent devant cette souffrance». Il ne faut pas «se laisser conditionner par les peurs et par l’ignorance», a-t-il recommandé, et devenir de «vrais compagnons de voyage» des migrants.

Vous n’étiez pas au courant mais voilà le truc : vous voulez devenir des compagnons de voyage de Toufik et Abdul, en route vers l’Europe pour violer des Blanches.

Ceci étant dit, je serais médisant si je me contentais d’accabler ces pauvres âmes musulmanes « migrantes ».

Nous avons aussi ces Rwandais catholiques qui violent et découpent des jeunes Normandes au fil de leur chemin spirituel vers la rédemption migratoire.

J’invite d’ailleurs les parents d’Elise et Julien à contacter l’évêque de Rouen afin de mettre en place, au plus tôt, un cheminement balisé par l’accueil de réfugiés rwandais.

Ils sont nombreux, Africains, en transit au Maroc pour l’Europe. Il leur a parlé, samedi soir, dans un centre de la Caritas (nom international du Secours catholique) à Rabat. Un discours non retransmis par les canaux officiels du pays, alors même qu’il devait l’être, en forme d’encouragement à une «immigration sûre, ordonnée et régulière», dans l’esprit du «pacte de Marrakech» de l’Onu, signé le 10 décembre dernier au Maroc. Cette initiative a toujours été appuyée par le Vatican: le cardinal Pietro Parolin, premier ministre du Saint-Siège, était venu en personne signer ce texte au nom du Pape.

Cette intervention de François n’était du reste pas prévue sous cette forme dans le premier programme initial du voyage. Elle a été renforcée tant ce sujet est capital pour lui. «Vous savez combien j’ai à cœur le sort, souvent terrible, de ces personnes, qui, en grande partie, ne laisseraient pas leurs pays s’ils n’y étaient pas contraints», avait-il confié, deux heures plus tôt, au roi du Maroc. Il avait alors appelé «à passer des engagements pris» à des «actions concrètes» pour considérer les «migrants comme des personnes et non comme des numéros». Il avait alors critiqué le repli occidental sur ce thème: «Ce phénomène ne trouvera jamais de solutions dans la construction de barrières» ou «dans la diffusion de la peur de l’autre».

Voilà la situation : même les Marocains n’étaient pas au courant de ce que fomentait Bergoglio en faveur de l’invasion afro-islamique de l’Europe.

Rien n’était prévu.

Bergoglio, probablement après avoir été sodomiser quelques gamins arabes à La Mamounia avec deux ou trois cardinaux, a pris en otage le gouvernement marocain pour se livrer à ce long plaidoyer en faveur de l’importation de jeunes éphèbes à peau brune.

Le Roi du Maroc est peut-être un dégénéré mais il est aussi chef de l’état. Voir tous ces nègres d’Afrique venir s’agglutiner sur son territoire est un véritable cauchemar pour lui dans la mesure où la population marocaine hait ces bêtes sauvages.

Nous avons déjà parlé du cas de la Tunisie où les juifs militarisent les nègres clandestins contre les tunisiens.

Le Maroc est dans la même situation. Les nègres, agités par les juifs, en font désormais un axe de propagande : après les Blanches, ce sont les beurettes qui doivent être livrées aux mâles nègres en rut.

L’avantage d’une autocratie, c’est que si quelque chose tourne mal, tout le monde sait à qui demander des comptes. Mohammed VI ne veut sûrement pas de troubles raciaux dans son pays pour au moins une bonne raison : il sera accusé d’être responsable du chaos ethnique.

Ne nous racontons pas de sottises : les arabes haïssent les nègres. En fait, toutes les races haïssent les nègres. Tout le monde sait quel fléau représente cette engeance. Le Maroc n’a pas connu la reprogrammation judéo-antiraciste que nous avons traversé. Ils réfléchissent globalement comme nos arrière-grand-parents sur le sujet.

C’est là qu’intervient Bergoglio, appelant la totalité du milliard de nègres d’Afrique à se ruer vers l’Europe en passant par le Maroc. Avec pour conséquence, pour une part d’entre eux, de rester finalement végéter au Maroc.

Si vous croyez que des maghrébins musulmans vont accueillir en souriant des nègres catholiques ou animistes lorgnant sur leurs femmes, vous péchez par naïveté.

Dans la simple salle blanche de ce centre, et devant 60 réfugiés, essentiellement de l’Afrique subsaharienne, dont des petits enfants vêtus en rouge qui ont interprété une danse, François a assuré: «Vous n’êtes pas des marginaux, vous êtes au centre du cœur de l’Église.» Car «pour le chrétien» un «migrant» est «le Christ lui-même qui frappe à nos portes». Il a donc chaleureusement félicité les responsables du centre pour leur action dont une jeune française, Fanny Curet, responsable du département migration de Caritas Rabat.

Jésus est littéralement le nègre du Nigeria qui entre chez vous par effraction pour violer votre fille et la découper encore vivante avant de jeter les morceaux sur le bord d’une route, emballés dans une vieille valise.

C’est ce que dit Bergoglio, au sens propre.

C’est-à-dire Sa Sainteté le Pape de l’Eglise Catholique, Apostolique et Romaine.

C’est d’ailleurs l’Eglise Catholique qui payait le loyer du dealer nigérian clandestin qui a découpé vivante Pamela Mastropietro.

Donc, ces nègres, surtout ceux qui sont des mahométans, sont désormais « le centre du coeur » de l’Eglise Catholique.

Jésus étant techniquement Dieu pour les Catholiques, voici le visage de Dieu.

Mon niveau en théologie est suffisamment élevé pour dire :

NON NON NON NON NON NON NON

Commentant le pacte de Marrakech, François a donc estimé qu’il était un «pas en avant» notamment pour «prendre conscience» que ces réfugiés ne sont «pas seulement des migrants, comme si leurs vies étaient une réalité étrangère ou marginale qui n’aurait rien à voir avec le reste de la société». Il faut donc «se laisser remuer et toucher par celui qui frappe à la porte». Sans quoi, la société perd sa capacité de compassion» et devient une «société sans cœur… une mère stérile».

Je ne sais pas de quoi parle ce type. C’est une sorte de verbiage qui ressemble vaguement à ces conférences de fausses voyantes.

Ce genre de conférences tournent toujours de phrases creuses à caractère psychologisant avec deux ou trois références new age. Des trucs sur les revenants, la réincarnation… Les femmes raffolent de ce genre de bruit de fond, car ce n’est vraiment que du bruit de fond.

Comme de la musique de relaxation, si vous voulez. Mais pour les femmes.

Patricia Darré génère des millions d’euros en faisant ça.

Si vous retranscrivez ce qu’elle dit et que vous le lisez ensuite, vous serez surpris d’avoir consacré ne serait-ce que 5 minutes de votre temps à écouter cette femme. Mais tout est dans la suggestion. Les femmes ne s’intéressent pas aux choses rationnelles, aux faits, aux mécanismes de l’ordre social. Elles veulent se sentir bien émotionnellement. Leurs émotions ont simplement besoin d’un objet sur lequel se fixer.

Traditionnellement, ces émotions, l’amour si vous préférez, se fixe sur l’homme de leur foyer puis sur leurs enfants et petit-enfants.

Depuis que les juifs ont pris le contrôle de nos sociétés, ce sont les nègres et les fiottes qui bénéficient de cette empathie. Ce qui est logique puisqu’en parallèle, les juifs ont appris aux femmes blanches à haïr l’homme blanc.

Bergoglio, dans l’ordre hiérarchique des charlatans internationaux, occupe la deuxième place juste après le conservateur du Musée de Yad Vashem. Lui, comme ses collègues, connaissent leur affaire. Ils savent qu’on ne peut jamais faire les poches de quelqu’un sans d’abord le mettre en état de confusion mentale grâce à la manipulation de ses émotions.

Et vous pouvez obtenir de résultats meilleurs encore si vous manipulez les émotions d’une femme, étant entendu qu’elle fera immédiatement pression sur les hommes autour d’elle pour obtenir satisfaction. Il suffit juste de rappeler à une femme un traumatisme passé en lui parlant d’un traumatisme présent.

Bergoglio n’est pas irrationnel : il utilise un jargon destiné aux rombières, parle de « société sans coeur » et de « mère stérile » afin d’atteindre l’oreille des femmes blanches pré-ménopausées qui sont rongées par l’envie inconsciente de maternage et de sexe avec de jeunes mâles marrons.

Seule la presse écrite relaie ce que raconte Bergoglio. Personne n’est plus abonné à un journal sauf les boomers, c’est-à-dire le coeur de cible de l’ONG judéo-LGBT du Vatican : les boomeuses avec de l’épargne.

Le fait que le clergé catholique soit principalement une organisation homosexuelle lui donne un très grand atout en la matière. Les homosexuels savent parler aux femmes parce qu’ils ont eux-mêmes une psychologique femelle.

Les femmes adorent les homosexuels pour cette raison.

Le Pape a alors repris ses «quatre verbe» favorispour expliciter sa position sur l’immigration. «Accueillir» en premier lieu. Ce qui «signifie offrir avant tout aux migrants et aux réfugiés de plus grandes possibilités d’entrée sûre et légale dans les pays de destination». Il a alors proposé «un élargissement des canaux migratoires réguliers» pour contrer «les marchands de chairs humaines qui spéculent sur les migrants».

En gros ça veut dire que pour rendre le voyage des nègres et des pakistanais plus agréable, il faut les importer nous-mêmes, à nos frères, systématiquement. Par un « élargissement des canaux migratoires réguliers ».

Mais il a aussi fortement attaqué «les formes d’expulsion collective» qui ne «doivent pas être acceptées». Sans la désigner publiquement, le souverain pontife faisait notamment référence au blocage actuel de ce que l’on appelle «la route marocaine» en raison de la politique européenne d’externalisation des frontières qui interdit tout passage, notamment par les enclaves espagnoles au Maroc de Ceuta et Melilla, désormais protégées par des murs infranchissables.

Maroc pas bien parce que Blancs racistes.

Ouvrir portes.

François Ier, père spirituel de l’Occident

Deux cents candidats par jour sont repoussés en moyenne. Ce sont donc par bus entiers que les migrants sont reconduits sans ménagements, du nord au sud du Maroc, où ils demeurent toutefois dans des conditions humanitaires déplorables quand ils ne se cachent pas dans les forêts du nord, près de Tanger. Cette situation provoque aussi de nouvelles prises de risques par les migrants: les victimes ont été multipliées par deux. D’où la demande explicite du pape pour «encourager» des «régularisations extraordinaires» notamment pour les «familles et les mineurs». «Protéger» a été le second verbe utilisé par le pape, en particulier pour cette «route marocaine» réputée très violente.

Il faut protéger ceux qui nous envahissent, apparemment.

Nos filles attendront.

«Promouvoir» les migrants fut son troisième axe de réflexion car «personne n’est un déchet humain». Et que «les sociétés d’accueil seront enrichies si elles savent valoriser au mieux la contribution des migrants en prévenant tout type de discrimination et tout sentiment xénophobe». Ce qui aurait le mérite de créer «une forme positive de responsabilisation des migrants» notamment par «l’apprentissage de la langue locale», a-t-il souligné.

« Promouvoir » a-t-il ajouté – avec une insistance nouvelle sur ce point – suppose aussi que «la promotion humaine des migrants et de leurs familles commence aussi par les communautés d’origine, là où doit être garanti, avec le droit d’émigrer, celui de ne pas être contraints à émigrer, c’est-à-dire le droit de trouver dans sa patrie des conditions qui permettent une vie digne».

Parce que personne, absolument personne ne promeut l’invasion afro-orientale, il est grand temps de corriger tout cela.

Peut-être par la presse juive, c’est à étudier.

Dernier cap: «Intégrer». L’idée de François est de «construire une société interculturelle et ouverte» avec «des villes accueillantes, plurielles et attentives aux processus interculturels, des villes capables de valoriser la richesse des différences dans la rencontre de l’autre».

Ouais, nan.

Le fanatisme sémitique est religieux

D’une façon générale, j’évite de me mêler des questions de l’affiliaton religieuse de telle ou telle personne dans nos rangs. D’abord, parce que l’opportunité ne se présente pratiquement jamais, les gens étant désormais athées ou agnostiques. Ensuite, parce qu’il faut rester politique, donc fonctionner sur la base d’une démarcation claire entre amis et ennemis afin de rassembler le plus de gens possible pour lutter.

On peut au moins amener un nombre important de gens, sur la base de la logique et de la science, à s’accorder sur les causes de la crise anthropologique que nous vivons et les mesures concrètes à adopter pour la juguler.

Je pense que vous connaissez notre définition de l’ennemi : le juif et ses alliés objectifs allogènes qui envahissent le monde blanc. En plus, bien sûr, leurs associés indigènes que sont les marxistes et les démocrates. C’est-à-dire la coalition de ceux qui veulent nous détruire, chez nous.

Il est indéniable que les juifs sont animés par une vision religieuse et messianique du monde et il est non moins vrai que la plupart des juifs ne sont pas religieux, au sens strict, mais mystiques. Le fait qu’ils servent le Diable ne change rien à ce constat objectif : ils veulent placer l’humanité entière sous leur coupe parce que Jéhovah le leur aurait demandé, ce qui passe par la destruction des nations et, en pratique, l’éradication de la race blanche.

C’est le coeur de la religion juive : le triomphe du juif.

Je peux dire, sans craindre de me tromper, que ce que l’on appelle l’Eglise Catholique en 2019 appartient au camp ennemi dirigé par les juifs. Et c’est cette politique juive d’éradication raciale que promeut agressivement Bergoglio et ses cardinaux homosexuels.

Le coeur de la religion catholique, c’est l’homme marron, musulman si possible. C’est ce qu’à dit le Pape.

Ce n’est pas là un point de vue religieux mais politique.

Je sais qu’il y aura toujours ici plus que catholique que le Pape lui-même, mais je me cantonne à acter de ce que dit le Souverain Pontife pour déterminer ce que pense le Saint-Siège.

La religion dans nos rangs

Je sais que nous avons quelques camarades racistes qui sont catholiques. Tout irait très bien dans le meilleur des mondes si l’Eglise Catholique ne faisait pas ce que j’ai dit plus haut. S’ils articulent ça d’une façon ou d’une autre dans leur esprit, tant mieux. Je suppose qu’ils n’en demandent pas tant des autres.

Mais même ces Catholiques ne sont plus vraiment catholiques dans la mesure où ils disent que la papauté n’est plus catholique et que le pape est pape sans l’être.

Même eux admettent que cette église est répugnante. D’ailleurs, c’est presque l’essentiel de ce qu’ils disent en public : cette église à Rome est un repaire de démons.

Je pense que l’on peut dire, en toute objectivité, que ce dernier carré de Catholiques ne représente qu’une infime partie du catholicisme actuel. Et même s’ils disent que les autres catholiques ne sont pas catholiques, ça ne rend la chose que plus marginale encore.

Au plan politique, ce qui nous intéresse donc, une telle chose est tout simplement impraticable.

On ne peut rien édifier sur la base de ce que dit une minorité d’une minorité, elle-même divisée en sous-groupes qui en sont actuellement réduits à se condamner mutuellement.

Si Jésus revient demain matin dans les nuées pour détruire les juifs, je veux bien intégrer cette nouvelle donne pour formuler quelque chose en termes politiques. Mais en attendant, c’est impossible en pratique.

Le vide religieux

Mon point de vue personnel, et ce n’est que le mien ici, vous pensez par définition ce que vous voulez sur le sujet, c’est qu’une voie spirituelle n’a d’utilité que si elle renforce un homme ou un peuple.

Qu’aurions-nous à faire d’une « religion » qui prône l’empoisonnement collectif sous de vagues prétextes millénaristes ? Aucun peuple n’a d’obligation vis-à-vis de quelque religion que ce soit qui lui enjoigne de mourir.

Les sociétés fonctionnent généralement sur une somme de principes religieux qui sont présentés comme un ensemble de lois immuables inscrites dans l’ordre cosmique depuis la création du monde.

Je ne crois pas en la divinité des vaches, non

La science, sans abolir pour tous l’interrogation sur l’éternité ou le surnaturel, a considérablement ébranlé toutes les représentations archaïques connues. Sauf, peut-être, celles relatives aux cycles permanents qui régissent l’univers.

Quand je parle de guerre religieuse juive faite à l’humanité et tout particulièrement à l’Aryen, je fais allusion à ce vampirisme psychologique dont se nourrit le parasite sémite et ses démons grâce à l’affaiblissement de l’homme blanc, notamment par sa culpabilisation.

Le pouvoir religieux juif, d’apparence aussi sécularisée soit-il, inscrit dans l’esprit de chaque enfant de race blanche la notion de péché originel racial. La faute d’être né en tant qu’homme blanc avec le devoir du rachat en servant le fils des ténèbres qu’est le juif.

Plus qu’une simple inhibition d’énergie vitale, cela aboutit à la destruction complète de notre race.

Vous ne pouvez ni ne devez cohabiter avec le vampire qui vous vide de votre sang. C’est impossible. C’est donc une lutte à mort sans trêve possible.

Si je suis déiste et si je pense que le Christ est une figure extraordinaire au point d’être une véritable source d’inspiration, je pense qu’il a largement été trahi par toutes ces « églises » qui ne sont, en fait, que des commerces fructifiant sur l’affaiblissement de l’homme depuis siècles.

Ce n’est pas plus une question d’orthodoxie que de catholicisme ou de protestantisme : ces organisations n’ont pour première obligation que de survivre dans l’environnement politique et social de leur temps et donc de muter pour perdurer. Cela veut dire de faire des compromis.

Quitte à bénir des sodomites.

Plutôt que de tolérer encore ces insanités du Vatican à propos de ce dieu à visage de nègre sidaïque mené par Cédric Herrou, je préfère de beaucoup une religion débarrassée de toute forme d’idolâtrie qui soit rigoureusement tournée vers l’action, sur la base des lois scientifiques et du bien naturel commun.

Dieu, selon la Papauté

Une religion qui renforce celui qui la porte, qui réveille le meilleur en lui, pour son peuple.

Je n’ai par exemple pas d’animosité particulière envers les trisomiques, mais voir ces organisations catholiques se déchaîner pour convaincre les familles blanches d’en produire en toute connaissance de cause – pas accidentellement -, me paraît non seulement absurde mais pervers. Que peut-il sortir de tout cela sinon de la misère ? Une misère que devra assumer, sans avoir pu choisir, la totalité du peuple.

Cette obligation de commisération pour l’échec est ce qui légitime, par cohérence, cette invasion de métèques de l’Europe dans cette longue marche vers l’utopie égalitaire juive que porte Bergoglio et ses cardinaux.

Désolé mais ce grand projet est conditionné par la destruction de notre peuple et on ne me fera pas avaler qu’il est de mon devoir de me soucier des nègres catholiques du Congo avant un gamin de Pologne ou d’Irlande. C’est tout simplement et définitivement non.

Aucun chantage sémitique ne fera passer ce poison pour un antidote à quoique ce soit. La véritable bonté consiste à aimer les siens.

Rome et l’empire blanc

J’ai acquis la conviction que, sur le chemin vers la création d’un empire blanc global, nous devons nous emparer de la totalité de la structure qui se présente sous l’appellation « d’église catholique ».

Car cette église aux mains des juifs est aujourd’hui en possession d’un vaste réseau de centres de culte qui n’a pas été édifié par hasard par nos Anciens. Ils maîtrisaient les règles universelles de la géobiologie et il n’est pas jusqu’aux cathédrales qui ne soient en réalité construites sur d’antiques lieux de culte bâtis pour des raisons énergétiques sur lesquelles je ne m’étendrai pas ici.

En s’emparant de l’Eglise Catholique, les juifs se sont emparés du réseau nerveux de l’Europe. Nous ne pouvons pas laisser le sémitisme maintenir son trône à la tête du système nerveux européen qui remonte à la nuit des temps pour mener sa guerre d’extermination raciale contre nos enfants.

Le sémitisme doit être physiquement expulsé. Plus aucune secte de nature anti-aryenne ne doit être tolérée sur la surface du continent.

Laisser ces diocèses opérer, c’est laisser autant de cellules judéo-maçonniques, liées par le ciment de la sodomie, conspirer contre nous, dans nos villes, en soutenant activement nos ennemis raciaux que sont les masses africaines et orientales qui nous envahissent.

Ces diocèses, qui sont hérités de l’ère impériale romaine pour une grande part, doivent redevenir notre propriété. C’est déjà matériellement le cas en France puisque toutes ces églises, chapelles et cathédrales appartiennent à l’Etat. Il faut étendre cette politique au continent entier mais pas seulement.

L’aspect matériel est le plus trivial.

Cette prêtraille sodomite vénérant le nègre et le juif doit être expulsée de France et de toute l’Europe et ces centres spirituels doivent redevenir des lieux de lumière et d’élévation pour les esprits aryens.

Tout en haut de cette pyramide de diocèses et archevêchés se trouve la tête de l’Empire : Rome.

De la même façon que la Papauté s’est établie en s’emparant du Pontificat impérial, le moment approche de réclamer Rome pour nous-mêmes. Par « nous », j’entends les racistes européens.

Je n’évoque pas la création d’un culte crypto-animiste, ni même d’aucun culte. Je n’ai pour ma part pas de goût pour l’idolâtrie ou le reconstructivisme folklorique. Mais le dépassement de la crise globale que traversent les peuples d’origine européenne passera par la création de cet empire blanc qui aura libéré son âme de l’occupation juive qu’il connaît, de sa sémitisation.

Tout empire a besoin d’un centre spirituel et ce centre, pour nous, est à mon sens déjà établi. C’est mon opinion et comme je l’ai dit, c’est Rome.

Ces vieillards cacochymes amateurs d’enfants qui rampent comme des blattes dans ces lieux peuvent-ils seulement s’opposer, à terme, à l’éveil de l’humanité blanche ?

Je ne crois pas. Ils ont fait leur temps.

Bien sûr, en pratique, nous n’en sommes pas là. Mais prenez le temps de regardez vos églises : elles sont vides, désertées, abandonnées. Rome suivra.

Et si ce n’est pas l’empire blanc global qui s’empare de cette ville pour en faire sa capitale, ce sera l’islam.

Que ça plaise ou pas.

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