Mayotte : les noirs en insurrection

La rédaction
Démocratie Participative
04 février 2024

 

Nos compatriotes mahorais en ont assez de leurs compatriotes comoriens.

La député (musulmane) de ce département français tape du poing sur la table : maintenant, ça suffit, la métropole (les Blancs) doit prendre ses responsabilités et accueillir les nouveaux venus en Europe.

Et continuer de donner des sous.

Ces gens exigent.

Face à la situation, les femmes de droite s’indignent.

Ces CITOYENS FRANÇAIS ont besoin de nous !

Et ça continue.

Apparemment, nous devons réparer les noirs et l’Afrique.  Je ne sais pas pourquoi, mais nous n’avons pas le choix.

L’Afrique, c’est la France. Et vice versa.

D’ici 20 ans cette île, ce sas plutôt, comptera plus d’un demi-million de noirs musulmans. C’est intenable pour un territoire grand comme 10% d’un département français.

Il n’y a déjà plus d’eau pour désaltérer cette faune en croissance exponentielle.

Les tribus locales ont cependant une solution : l’homme blanc doit payer.

Énormément.

Mayotte est un aimant à noirs.

Préparez-vous, nous allons connaître des millions de nouveaux venus par ce seul Lampedusa « français ». Comprenez bien que le torrent ne s’arrêtera pas, le tsunami démographique africain n’en est qu’à ses débuts et tout sera pire chaque année.

Tout pourrait s’arrêter grâce à une déclaration d’indépendance unilatérale, mais l’extrême-droite française y est farouchement opposée, comme le reste des partis et, bien sûr, l’État.

Peu importe le bled, le continent où ce qui y vit, tant qu’il y a un drapeau tricolore planté dessus, tout ce qui est élu est prêt à toutes les concessions, même les plus coûteuses, pour sauver la fiction impériale. Personne ne voudra jamais se lancer dans cette nécessaire séparation. Le truc va donc prendre l’eau, inexorablement.

Cela veut dire, très prosaïquement, que vous et vos enfants allez voisiner avec de très nombreux migrants qui auront transité par Mayotte.

Sur place, ce sera simplement le chaos, en permanence, comme à Haïti.

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