« Mon pays, c’est la France ! » : à Aulnay, Praince Germain LOUBOTA, candidat de Zemmour, recadre un antifa français qui se croyait chez lui

La rédaction
Démocratie Participative
03 juin 2022

 

Les Antifas veulent maintenant renvoyer les noirs de Zemmour dans leur pays pour lutter contre le racisme.

Les noirs ne sont pas d’accord, comme Praince Germain qui rappelle aux Blancs que son « pays, c’est la FRANCE! ».

« C’est très raciste là, ce que vous dites, présentement »

Contrairement à une idée reçue véhiculée couramment par les médias juifs, l’extrême-droite française est pathologiquement antiraciste, follement négrophile. La plupart de ses membres sont des chiens battus qui ont la larme à l’oeil dès qu’un nègre agite un drapeau tricolore. De voir un hominidé, brûlé par le soleil depuis 50,000 ans, leur accorder un semblant de considération, leur petit coeur de Chrétien – secrètement jamais renié – en défaille. Les voilà à nouveau plein d’espoir : oui, la France, bastringue multiracial, est possible. C’est que des soucis de technique, de regards, de cierges.

C’est l’émerveillement inattendu, le retour de la putain prodigue. Jeanne d’Arc s’en revenant du dessalage. La fine maquerelle France toute de rédemption, redevenue communiante, le cul propre en pardon. Ils y croient, ils demandent qu’à être aimés, ils veulent bien faire l’effort, s’essayer à la compréhensive patience.

Ils se laissent gagner, ils se fondent, ils imitent, ils déconnent en mots, ils s’assimilent, en dépit des protestations bien superflues.

C’est la gauche les vrais fachos

C’est la gauche les racistes

Et n’oubliez pas, nous sommes tous des terroristes juifs du Parti Communiste en 1942.

Après 80 ans de gaullo-communisme et de judéo-maçonnerie aboyante par toutes les écoles, radios et télévisions, une brêle d’extrême-droite cause comme un antifa. Ce qui nous donne ces scènes surréelles où un Français de souche antifasciste engueule un noir qui se croit français, portée en martyr du patriotisme par une nuée de Blancs aimantés, lui promettant de le renvoyer dans son pays, tout ça pour que d’autres noirs puissent venir prendre sa place.

C’est l’état des cervelles moyennes en France, écrabouillées par 150 ans de République, délicatement chiée par les juifs, sur le bord de l’assiette.

De tels dégâts finissent par se sédimenter, une couche générationnelle après l’autre, sous le poids du pilonnage intensif, jusqu’à en faire une croûte fossilisée sur laquelle les faits n’ont plus aucune prise. Ce n’est plus la langue, c’est la bouillie nerveuse des boîtes crâniennes héréditairement tarées qui dégorgent, à force de trop triturer la bavasse sur cinq siècles et d’avoir le cul qui trempe dans la baignoire arméno-libanaise – j’ai nommé la Méditerranée-sur-Seine. Les tronches sont foirées, congelées, décongelées, réécrabouillées, encore, encore et encore, au marteau. Les phrases s’effondrent, le vocabulaire s’éparpille, se coagule en désordre et en contradictions, ça secoue en vagues émotives, en palpitations épileptiques de Bon Samaritain : le Français cause, la cervelle suit pas, elle traîne, elle sait plus, il sait plus non plus.

Un programme politique ? Et comment ! Sécher 20 millions de Blancs dégénérés, en garder 20 millions, dont 10 bien à l’oeil, toujours laiteux dans leur caractère, prêt à bouillir en chiasse sur la gazinière, en conneries et phrases, comme ça, soudainement. On peut pas être totalement sûrs, ils ont des phases, il faut avoir l’oeil ouvert.

C’est pas avec les métèques qu’on est trop coulant, c’est la barbaque blanche capricieuse. C’est la viande blanche qu’il faut enrégimenter, à coups de pompe dans le cul, lui enlever ses exemptions, ses droits à se débiner.

Le fascisme, c’est pas pour tyranniser les métèques, c’est pour apprendre aux Blancs quand on doit s’asseoir. Voilà une idée nouvelle.

Commentez l’article sur EELB.su