Otage du Hamas avec « 67 spermes différents en elle » : tout était (encore) faux !

La rédaction
Démocratie Participative
10 février 2024

 

Pour les juifs, la crédulité insondable des goyim est infiniment plus précieuse que l’or.

L’autre jour, la juive Sandra Ifrah est apparue sur CNews pour servir une énième suite de La Liste de Schindler avec force détails de nature à terroriser la ménagère de plus de 50 ans.

Un peu plus tard, la même Sandra Ifrah faisait passer cet exercice de licence poétique pour une erreur bien involontaire.

La chaîne de Bolloré-Goldschmidt n’a pas jugé utile de préciser que c’était faux. Le plus important était de faire pleurer les goyim dans leurs chaumières le jour de cet hommage juif, par les juifs, pour les juifs.

Depuis le 7 octobre, le monde a pu voir en direct les juifs fabriquer des mensonges plus extraordinaires les uns que les autres, des femmes enceintes éventrées aux nourrissons suspendus au fil à la linge en passant par les fours crématoires improvisés du Hamas. Mais pour la première fois, tous ces mensonges se sont effondrés dans les 48 heures, grâce à internet.

Les chambres à gaz ont été fabriquées de la même façon par ces mêmes juifs. Hélas, en 1945, il n’y avait pas d’internet, ni de smartphone. C’est bien malheureux, car une simple visite du camp de travail d’Auschwitz avec un Iphone aurait permis de réaliser sur le champ que c’était précisément ça : un camp de travail destiné à l’effort de guerre allemand.

Sur cette photo, on peut voir une clinique du camp lors de l’arrivée des soldats soviétiques. Les juifs, qui étaient théoriquement des malades, sont loin d’être à l’agonie.

Les SS en charge de la surveillance du camp avaient laissé sur place ceux des juifs qui ne voulaient pas les suivre. C’est bien documenté par les juifs eux-mêmes qui n’expliquent cependant pas pourquoi ils ont préféré suivre les Allemands plutôt que de tomber entre les mains de l’armée rouge, leur « libératrice ».

Quant à la discipline intérieure, elle était sous-traitée aux prisonniers communistes, marqués d’un triangle rouge. Ces « kapos » détenaient le contrôle effectif du quotidien des prisonniers dans l’enceinte du camp de travail, les SS se contentant de veiller à la sécurité extérieure et au respect du rythme de travail.

Comme ces prisonniers communistes :

Comme le 7 octobre 2023, les juifs de Moscou ont immédiatement inventé des histoires dantesques après la fermeture du camp. Les détenus communistes présents sur place furent pris en charge par les commissaires politiques le NKVD, la police secrète soviétique, afin de signer des témoignages délirants. La presse rouge eut pour mission de les répandre dans le monde, récits amplifiés par la presse démocratique, tout aussi juive que celle d’URSS.

En 2020, Ouest-France citait encore in extenso les bobards phénoménaux du journal communiste L’Humanité paru le 24 août 1944 :

La lettre donne ensuite un aperçu de l’horreur concentrationnaire, dont aucune image ni aucun récit précis, alors, ne sont encore parvenus jusqu’à la population française.

« Tout ce que l’on raconte est vrai. Je ne veux plus parler des centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants chargés comme du bétail dans des wagons expédiés au loin, vers l’Est. Il est des horreurs plus terribles encore : enfants bourrés dans des sacs comme des légumes et jetés dans le feu, femmes, vieillards brûlés vivants et ceci, non pas par unité, mais par centaines de milliers.

Vous direz qu’il faut être fou pour croire des choses pareilles. Moi, je vous dis que des gens ont été témoins de ces massacres et on peut les croire. Mais à quoi bon se lamenter, crier, puisque personne ne peut nous aider. Alors il vaut mieux faire bonne mine et attendre les jours “meilleurs” […].

Bien qu’aucun historien officiel ne défende la théorie de bûchers où l’on aurait jeté – vivantes ! – des « centaines de milliers » de personnes, Ouest-France reprend sans trembler ce mensonge outrancier de la presse aux ordres de Staline.

Ouest-France poursuit avec un autre « témoignage » cité par le journal communiste. En fait, ce n’est pas un témoignage direct, mais celui d’un prisonnier français qui aurait croisé des détenus d’Auschwitz sur des chantiers et qui rapporte des rumeurs sur la vie à l’intérieur d’Auschwitz :

– Quel genre de travail faisiez-vous ?

– Nous devions construire une gigantesque usine de produits chimiques, pour l’I.G. Farben : terrassements, béton, tous les travaux pénibles.

– Tous les juifs, tous les déportés politiques faisaient la même besogne ?

– Ils étaient divisés en trois groupes. Je ne sais ce qu’on faisait des femmes et des enfants. Un camp spécial avait été établi pour eux à 25 kilomètres de la ville. Le second groupe comprenait les vieux et ceux qui ne pouvaient pas travailler : on les triait immédiatement, soit en les faisant passer à la chambre à gaz, soit en les brûlant au four crématoire, soit, le plus souvent, en leur faisant une piqûre. Ceux qui pouvaient travailler étaient envoyés sur les chantiers.

– Vous êtes tout à fait sûr de tout cela ?

– J’ai vu, tous les jours, ces malheureux qui venaient sur les chantiers, vêtus d’un simple pyjama à rayures blanches et noires, verticales, travailler dans la neige par 25° au-dessous de zéro. Je les ai entendus raconter leur vie, dire les morts qui tombaient tous les jours, d’épuisement et de désespoir. Quand ils n’avaient plus la force de travailler, on les tuait à leur tour. »

La shoah par piqûre est reprise sans broncher.

Dans la foulée, Ouest-France cite les conclusions du journal du Parti communiste :

Les mots se refusent à qualifier ces horreurs, cet abîme de souffrance où tant des nôtres sont morts, où tant des nôtres sont encore plongés. Les êtres qui se sont rendus coupables de ces crimes, qui ont traité les juifs et les déportés politiques comme on ne traiterait pas le plus misérable animal, ces êtres ignobles ne méritent pas le nom d’homme.

Ils ont voulu dégrader la dignité humaine en forçant leurs malheureuses victimes à se battre pour une cigarette ou un morceau de pain, en accumulant sur elles les souffrances pires que la mort, pour finir par la mort la plus horrible, mais ils se sont déshonorés eux-mêmes, et notre horreur crie contre eux une clameur que rien ne peut éteindre.

Ce prêche est d’autant plus édifiant de la part des communistes qu’au même moment le système du goulag soviétique fonctionne à plein régime.

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