Quissac : Manifestation mélenchoniste après l’héroïque tractage de l’UPA « VOLQUES » !

La rédaction
Démocratie Participative
09 décembre 2023

 

La terre continue de trembler dans le Gard après l’opération menée par l’héroïque Unité de Propagande Autonome « VOLQUES » !

Le député mélenchoniste local, un certain Sala, a rameuté tout ce que le Gard compte de crasseux de gauche pour gémir. Environ 150 rouges étaient assemblés hier soir.

Ce n’est quand même pas la jeunesse en marche, soyons franc.

L’ami Bilongo, ainsi que ses lunettes, était présent, sinon en pensée, du moins par écrit.

Ce qui est étrange, avec ce Michel Sala, c’est qu’il soit né à Oran, en Algérie. Sitôt implanté en France, il n’a rien trouvé de mieux à faire que de rejoindre le parti trotskiste du juif Krivine, la LCR.

Wikipédia :

Michel Sala nait le 13 mai 1954 à Oran en Algérie française d’une mère couturière et d’un père banquier, directeur de la Caisse d’épargne de la ville. Après l’indépendance de l’Algérie, sa famille quitte le pays et débarque au port de Marseille le 7 juillet 1962, soit le surlendemain du massacre d’Oran.

Il adhère à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) en 1974.

Hormis chez les juifs, vous connaissez beaucoup de fils de banquiers qui deviennent communistes et pro-immigration maghrébine après avoir échappé de peu au nettoyage ethnique en Algérie ?

En tout cas, ce méchant homme Sala a évidemment appelé le régime juif à l’aide, quand bien même son patron, Mélenchon, est occupé à faire exploser l’antisémitisme.

Des tracts, voilà ce qu’il faut pour électriser l’ambiance.

Mediapart adore.

Le Midi Libre voit les choses en grand.

Le Midi Libre :

Ce vendredi 8 décembre, un rassemblement s’est tenu, à l’appel du député LFI Michel Sala à Quissac suite à la distribution de tracts néonazis dans le village.

« Quelque chose s’est passé à Quissac. » Devant une foule d’un peu plus de 200 personnes, le député LFI Michel Sala se tient debout sur le monument aux morts de Quissac. Ce vendredi 8 décembre, le parlementaire, épaulé par plusieurs maires gardois, est à l’origine de ce rassemblement organisé en réponse à la distribution de tracts néonazis anonymes dans le village quelques jours auparavant.

« Ils tentent de semer la graine de la haine au nom de la « race blanche ». C’est avec un sentiment de responsabilité, un devoir moral, impératif, que j’ai souhaité ce rassemblement. »

Ils sont toujours ronflants.

On dirait des curés.

Face à la foule, Michel Sala assume une volonté de ne pas « rester silencieux » face au message véhiculé par les documents, n’acceptant pas que les idées ayant provoqué « la Shoah » et « l’extermination des gitans, des handicapés, des homosexuels » puissent ressurgir, encore, de nos jours. « Nous ne pouvons tolérer que les femmes juives, que les hommes juifs, vivent dans la peur. Derrière ces tracts, il y a l’extrême-droite. »

Je ne sais pas.

LFI semble très ouverte à l’idée de faire vivre dans la peur des femmes juives, des hommes juifs.

Dans la foule, on peut apercevoir des représentants politiques marqués à gauche, ainsi que des militants syndicaux, venus de Nîmes et d’Alès. Cependant, en dépit des remerciements énoncés par le député pour son accueil, la municipalité de Quissac, et son maire Serge Cathala, sont remarqués par leur absence.

« Il pensait que ce rassemblement pouvait devenir une récupération politique« , suggère Michel Sala qui, tout en affirmant le contraire, estime que le choix de Quissac comme cible du groupuscule néonazi relèverait, à ses yeux, du hasard. « C’est cependant dommage qu’il (Serge Cathala, NDLR) ne montre pas à la population que sa commune est contre ces tracts. »

Serge Cathala a bien compris que la canaille rouge souhaitait se mettre en scène. Il a choisi la neutralité.

Il y a eu une surprise.

Une surprise autistique.

Le rassemblement, qui s’est tenu dans le respect, a cependant vécu quelques remous avec, notamment, la présence de militants « gilets jaunes » brandissant trois pancartes au même slogan : « Nazisme, 49.3, même combat ». Des mots qui ne passent pas chez certaines personnes présentes : « Ces amalgames, ça m’embête, leur répond un sexagénaire, il y a peut-être ici aussi un problème à régler ! »

Extraordinaire.

Contacté, le maire de Quissac, Serge Cathala, n’a à ce jour pas répondu à nos sollicitations..

Au final, nous retenons que la brave population de Quissac, comme celle du Gard, n’a rien contre la distribution paisible de tracts appelant l’homme blanc à redresser la tête. Elle n’a absolument pas envie d’être associée à la bête immonde islamo-mélenchoniste.

Cela se comprend parfaitement.

Paix et prospérité à Quissac ! Gloire à l’UPA « VOLQUES » !

Que l’année 2024 apporte aux activistes de la cause blanche de beaux succès !

Tractez !