Royaume-Uni : près d’un million de nouveaux migrants, les nigérians plus nombreux que tous les ressortissants de l’UE réunis !

La rédaction
Démocratie Participative
22 novembre 2023

 

Heureusement, les Anglais ont voté pour le Brexit.

Le nombre de Nigérians ayant immigré au Royaume-Uni au cours de l’année 2023 est supérieur à celui de tous les ressortissants de l’UE réunis.

Immigration totale : 1.18m

Total hors UE : 968 000

Indiens : 253 k
Nigérians : 141k
Chinois : 89k
Pakistanais : 55k
Ukrainien : 35k

Total UE : 129k

Il n’y a rien de mal à vouloir plus d’immigrés nigérians que d’Européens au Royaume de Charles III.

On peut effectivement dire que Nigel Farage est la pire chose qui soit jamais arrivée aux Britanniques de toute leur histoire.

Pour libérer l’Angleterre des polaks, il l’a livrée à l’Inde, au Pakistan et au Nigéria.

C’est vraiment l’héritier de Churchill.

En 2023, il y a eu 1,2 million d’immigrés au Royaume-Uni, dont un million d’extra-Européens. Dans le même temps, environ 500,000 personnes ont quitté le pays, mais leur origine est

C’est donc un gain net de 670,000 migrants.

BBC :

Voici les principaux enseignements des chiffres de la migration nette publiés par l’ONS :

Migration nette

Le solde migratoire du Royaume-Uni pour les 12 mois jusqu’à juin 2023 a atteint 672.000.

Il ne s’agit pas d’un chiffre record de migration nette car le chiffre pour 2022 a été révisé à la hausse aujourd’hui par l’ONS et s’élève à 745 000.

Immigration et émigration

L’immigration au Royaume-Uni s’est élevée à 1,2 million et l’émigration à 508 000 au cours des 12 mois précédant juin 2023.

La majorité des 1,2 million d’arrivées provenait de pays extérieurs à l’UE (968 000).

Les principaux facteurs d’immigration au Royaume-Uni sont les étudiants et le personnel de santé.

La population de l’Angleterre et du Pays de Galles croît à son rythme le plus rapide depuis les années 1960. Neil Park, de l’ONS, indique que cette croissance est principalement due à l’immigration internationale. 

La réaction du gouvernement de droite dure britannique dirigé le chieur de rue Sunak a été de se féliciter de sa lutte contre l’immigration clandestine.

Parce que l’invasion doit être LÉGALE.

Le ministre de l’intérieur, James Cleverly, se dit « fier » des routes humanitaires du Royaume-Uni, mais estime qu’il faut en faire plus pour « éliminer les abus et l’exploitation » du système de visas.

James Cleverly est fier.

Ça se conçoit.

Cette année 2023 est donc un ralentissement, puisqu’en 2022, c’est près de 750,000 migrants, principalement du tiers-monde, qui avaient posé le pied en Angleterre.

Il est temps de dire adieu à ce pays. Il sera toujours possible de visiter l’Écosse, le Pays de Galles, la Cornouaille, et quelques endroits de campagne anglaise, mais pour le reste, ce sera un compromis entre Islamabad et Abuja.

J’en reviens à Adolf Hitler – encore ! -, mais il est impossible de ne pas souligner la généalogie de ce qui se passe. Adolf Hitler a tout fait pour convaincre la classe dirigeante anglaise de ne pas plonger le monde dans une nouvelle guerre mondiale, dans l’intérêt même de l’empire britannique.

Une part de l’élite britannique l’a compris, mais elle était minoritaire. Même un Lloyd George, le vainqueur anglais de 1918, n’a pas pu empêcher la juiverie financière de la City de plonger le pays dans la guerre, avec à la clef l’effondrement des empires coloniaux et l’inévitable écroulement intérieur des démocraties sous l’effet de la subversion juive et marxiste.

Sans entrée en guerre de la Grande-Bretagne en 1939, il n’y aurait jamais eu de guerre mondiale, l’URSS et les USA étant tenus à bonne distance du continent par la puissante Wehrmacht et la flotte britannique. Sans intervention anglaise, la France, que Londres a forcé à entrer en guerre le 3 septembre 1939, se serait ralliée à la proposition du Chancelier formulée en 1935 : le statu quo à l’ouest.

La démocratie aurait fini par crever en France, comme en Grande-Bretagne, vomie par les peuples. Des régimes d’ordre édifiés sur l’efficacité sociale auraient pris le relais. Nous serions actuellement dans une Europe blanche à 100%, dominant les terres et les mers, écrasant le reste du monde de sa supériorité technologique.

Mais les juifs en ont décidé autrement, aidés par leurs éternels complices que sont les politiciens démocrates.

À la place, nous avons des noirs qui font cuir du maïs sur des caddies.

Avouez tout de même…

Nous vivons une période de transition cataclysmique. Nous avons face à nous ce que l’histoire retiendra comme les Très Grandes Invasions, qui feront pâlir celles de la chute de Rome.

C’est à ce moment précis que les juifs nous ont poussés dans une guerre calamiteuse contre la Russie, dont l’Ukraine, éviscérée pour l’occasion, ne se remettra pas.

Au niveau social, c’est le pourrissement généralisé. Tout réflexe de santé est sauvagement réprimé par les juifs, leur police, leurs médias.

On ne peut pas comprendre les blocages sans saisir qu’il y a des bloqueurs. Ces bloqueurs sont circonscrits à des segments sociaux et générationnels de la population. Bien sûr la classe dirigeante, inféodée aux juifs, comme on le sait, mais aussi le bloc des retraités, masse inerte en croissance constante qui va atteindre le chiffre astronomique de plus de 20 millions d’unités d’ici 2030, et davantage par la suite.

Ce bloc électoral rend absurde toute discussion à propos de solutions qui reposeraient sur les élections. À cette masse amorphe de blocage, s’ajoute la masse colossale d’allogènes pour mettre échec et mat la population blanche.

Une fois que l’on comprend ce principe d’éviction électorale permanente des Blancs que concoctent les juifs et leurs acolytes, la démocratie n’est plus seulement une escroquerie, mais une machine génocidaire dont la seule existence constitue une menace mortelle. De ce fait, toutes les institutions changent de nature et les flics ne sont plus les flics qui, demain, « seront avec nous » par la vertu du suffrage victorieux, mais de simples gardes prétoriens rétribués dans un système conçu pour que l’homme blanc perde tout le temps.

C’est une domestication qui est à abattre, celle des élections, de l’état de droit, du respect de la loi. C’est une culture révolutionnaire qui doit devenir la norme. Cela ne peut s’obtenir qu’en arrachant les gens à leur adhésion aux règles foncièrement et irréversiblement truquées.

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