Si vous ne voulez pas finir comme lui, lisez cet article

La rédaction
Démocratie Participative
05 septembre 2023

 

Finalement le Gaulois sûr de lui et dominateur a préféré devenir fragile et soumis.

Ce rituel d’humiliation publique traduit assez bien le basculement anthropologique de la société française dans la sphère afro-orientale.

Il y a cette fameuse distinction entre les cultures de culpabilité et les cultures de honte.

La culture de la culpabilité consiste à faire intérioriser à une personne une ligne de conduite morale qu’un flic imaginaire présent dans sa tête se charge de faire respecter. La loi et l’État, avec sa police et sa justice, s’assurent que cette notion de culpabilité intérieure soit efficace en la réactivant régulièrement par des procès médiatisés à vocation pédagogique. C’est la fameuse « peur du gendarme ».

Cette « peur du gendarme » n’existe pas chez les peuples régis par la culture de la honte. Dans les cultures de honte, c’est le groupe social dans la sphère publique qui fait la police, pas l’État ou la loi avec l’aide d’un flic intérieur.

En résumé :

  • l’homme oriental se sent soit honteux ou honorable publiquement
  • l’homme occidental se sent soit coupable ou innocent personnellement

Les musulmans sont ceux qui ont le plus intégré la notion de honte.

Les Blancs sont ceux qui ont le plus intégré la notion de culpabilité.

Cette structure psychologique explique leurs débordements violents, parfois imprévisibles pour un homme occidental, mais faciles à anticiper si l’on comprend ce paradigme. Pour ne pas déclencher une réaction hostile d’un musulman, il faut veiller à ne pas le mettre dans une situation de honte publique, faute de quoi il passera à l’action pour restaurer ce qu’il perçoit comme son honneur.

C’est exactement ce que l’État est en train de faire actuellement : pousser les musulmans à riposter.

L’entreprise autour de l’abaya vise à forcer les musulmans à abandonner la culture de la honte pour adopter la culture de la culpabilité qui implique le légalisme personnel, le « respect de la loi » et sa peur des sanctions possibles.

L’abaya n’a rien à voir avec la chasteté réelle d’une musulmane, mais l’apparence de la chasteté chez une musulmane. C’est l’image de soi en public, au sein de son groupe, qui compte, plutôt qu’une quelconque adhésion intérieure sincère à une moralité. Pour les musulmans, interdire par la force publique l’abaya aux musulmanes est une humiliation rituelle qui a le même effet sur eux que la séance d’excuses publiques de Chalureau a sur les Blancs, mais pour des raisons diamétralement opposées.

D’un côté, les Blancs s’orientalisent de plus en plus sous l’effet de l’antiracisme qui exige leur soumission ritualisée collective aux allogènes, avec l’inévitable crise de légitimité historique que cela entraîne, de l’autre les musulmans s’occidentalisent de moins en moins sous l’action de l’État qui les braque collectivement sur des points fondamentaux de leur identité anthropologique.

L’antiracisme juif et la subversion psychologique des Blancs

L’antiracisme, comme produit juif, est une sécrétion sémitique qui vise à inculquer à l’homme blanc la culture de la honte issu du monde oriental, mais sur le seul terrain qui intéresse les juifs : le paradigme racial.

Les juifs utilisent très souvent le mot « honte » quand ils s’adressent aux Blancs. Si l’antiracisme juif est encore efficace sur les Blancs, c’est parce que le mécanisme qu’il utilise est celui de la culpabilité légale, avec ses procès. Les Blancs se demandent si un « raciste » est coupable de racisme, ce qu’un tribunal doit déterminer avant de prononcer la sanction. La propagande juive autour de l’holocauste a pour fonction d’imprimer cette culpabilité dans la cervelle de chaque enfant blanc afin d’en faire un esclave de Jehovah.

Si l’antiracisme est plus puissant que jamais en raison de la propagande antiblanche massive, il échappe cependant de plus en plus aux juifs qui se servaient de l’État et de la loi pour dominer les Blancs pour pirater leur mécanisme mental.

À présent, en raison de l’ampleur du remplacement de population et de l’apparition des réseaux sociaux, l’antiracisme abandonne le paradigme culturel de la culpabilité pour celui de la honte. La loi, l’État et ses procès sont inutiles, car il n’est plus question de prouver matériellement et légalement la culpabilité d’un Blanc, mais de respecter l’honneur des groupes allogènes.

Pour « respecter » l’honneur des allogènes, il faut se soumettre aux allogènes.

Un homme blanc contemporain n’aime pas voir une personne s’humilier publiquement, aussi coupable soit-elle. Cela crée en lui un grand malaise, car il s’identifie à la personne et craint de devoir subir un rituel similaire qui écrase sa personnalité face au groupe.

L’homme blanc n’a pas toujours fonctionné sur ce mode.

Avant la christianisation, son péché originel et son économie du rachat personnel seul face à Yahvé, le monde aryen était aussi gouverné par le paradigme de la honte et de l’honneur.

Psychologiquement, un Romain ou un Grec serait beaucoup plus proche d’un Japonais que d’un homme blanc contemporain.

La culture de la culpabilité émerge quand le degré de domestication atteint un niveau tel qu’il n’est plus besoin pour le groupe social de gendarmer les individus au quotidien. Un simple rappel à la loi suffit en cas d’entorse, car la rééducation a permis l’introduction d’un flic dans la tête de chaque personne qui prend le relais du groupe. Il n’y a plus d’intermédiaire entre l’État et l’individu pour sa régulation comportementale.

Mais que se passe-t-il quand la culture de la culpabilité s’effondre parce que les gens décident de ne plus respecter la morale qui la produit ?

Quand ce flic moral intérieur est rejeté, comme c’est le cas depuis les années 1960 en Occident, c’est toute la société qui se désintègre car des siècles d’éducation morale perdent soudainement leur efficacité dans la gestion comportementale des individus.

Les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent, l’État s’adapte culturellement et devient de plus en plus laxiste. Son arsenal répressif s’émousse, ses frontières s’évaporent car il ne tire plus pour les protéger.

Le cosmopolitisme règne.

En France, c’est au moment où les Blancs ont fini de produire leur état laxiste que cet état tente d’imposer sa culture de la culpabilité aux musulmans régis par la culture collective de la honte. Désarmé par 60 ans de cosmopolitisme culturel, cet état a d’autant moins la capacité de le faire que les musulmans constatent empiriquement sa faiblesse sociale. Les Blancs eux-mêmes, surtout les jeunes, rejettent l’idée de tout comportement collectif particulier – le refus d’être « jugé » -, ce qui les pousse à trouver normal que les allogènes importent leurs moeurs et vivent comme bon leur semble. L’effet en est que les valeurs coercitives de la culture de la honte importée remettent en cause leur individualisme.

D’où cette dissonance cognitive permanente que l’on peut observer ici là, notamment chez les féministes blanches qui traquent le patriarcat blanc, mais ne disent rien à propos des violeurs de rue afro-maghrébins.

Les Blancs traversent une phase de transition qu’ils appréhendent mal et qui les déstabilisent car ils ne veulent ni de la régulation par la culpabilité (individuelle), ni de celle par la honte (collective), ils rejettent l’ordre social en tant que tel et veulent maintenir leur anarchisme hédoniste qui les dispense de toute contrainte personnelle. Comme cet anarchisme ne peut rien produire de durable, puisque l’anarchie, par définition, s’oppose à tout ordre stable, il crée de lui-même l’appel d’air qui corrige cette absence d’ordre.

Sur l’immigration et le reste, les Blancs se plaignent donc chaque jour des conséquences de leurs propres choix.

L’Occident ne traverse pas tant une islamisation ou une invasion frontales, que les conséquences terminales de l’individualisme poussé à son paroxysme, une fois la culture de la culpabilité en voie d’évaporation. Un réajustement culturel est inévitable et les valeurs collectives sont ascendantes. Si l’homme blanc ne produit pas ses propres valeurs collectives nouvelles, il sera soumis par les valeurs collectives des autres races qui envahissent son espace vital, que ce soit l’islam ou l’antiracisme, par la honte.

Inutile de dire que c’est aussi à l’enterrement du christianisme que nous assistons. À temps héroïques, valeurs héroïques. L’homme aryen doit rejeter la culture individualiste de la culpabilité pour celle, collective, de l’honneur. La fierté raciale est la base de ce renouveau des valeurs.

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