Sur ordre des juifs, les femmes blanches du gouvernement lancent une nouvelle campagne de terreur contre les hommes hétérosexuels dans les stades de foot

La rédaction
Démocratie Participative
28 septembre 2023

 

Les femmes blanches et les séropositifs relancent la même histoire 4 ans après avoir échoué.

2019 :

2023 :

L’Équipe :

Le délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) Olivier Klein s’est dit lundi « choqué » par les chants homophobes entonnés dimanche soir lors du match PSG-OM (4-0) et a souhaité que des sanctions soient prises.

Olivier Klein est, de manière surprenante, juif.

« Avec la DILCRAH, je vais saisir le club PSG et la ligue de football professionnel afin que des sanctions soient prises. Nous étudierons aussi les possibilités de saisir la justice », ajoute Olivier Klein, qui a pris la tête en septembre de la Dilcrah, organisme rattaché à Matignon. Une vidéo accompagne son message dans laquelle on peut entendre des supporters du PSG entonner des chants homophobes ( « Les Marseillais sont des putes, des fils de putes, des enculés ») à l’encontre des joueurs de l’équipe marseillaise, chants qui auraient duré près d’un quart d’heure.

La ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra, a condamné ces chants sur Twitter et annoncé que la Commission de discipline de la LFP était déjà saisie.

Amélie Oudéa-Castéra est une femme forte et indépendante

Selon une enquête Ipsos publiée début septembre et menée avec la Fédération Sportive LGBT +, 46 % des Français déclarent avoir déjà été témoins d’un comportement homophobe ou transphobe dans le milieu sportif. Toujours selon cette étude, moins d’un Français sur deux a le sentiment que « des choses sont faites pour lutter contre les LGBTphobies dans le sport » et plus de trois quarts (78 %) souhaitent que l’on « aille plus loin » sur cette question.

Le club de la capitale a réagi à la polémique, par le biais d’un communiqué, précisant qu’il « condamne toutes les formes de discrimination, notamment l’homophobie ». Le PSG a également indiqué qu’il « entend renforcer encore son travail de prévention en matière de lutte contre l’homophobie et rencontrera dans les prochains jours l’ensemble de ses partenaires sur ce sujet essentiel. »

Par ailleurs, à la fin du match, les joueurs du PSG ont communié avec leurs supporters et certains (Achraf Hakimi, Randal Kolo Muani ou Ousmane Dembélé) se sont laissés aller à quelques « Marseillais nique ta mère » dispensables. Rappelons qu’il y a quelques années, le Marseillais Taye Taiwo avait été sanctionné (suspension et amende) pour des chants insultants contre le PSG.

Revenons-en à une réalité simple : tout d’abord, il y a beaucoup plus d’hétérosexuels que de juifs, d’homosexuels et de femmes blanches dans les stades. Le stade est une enceinte masculine et hétérosexuelle par définition.

Ensuite, les hommes associent universellement l’homosexualité à un manque de virilité et les agresser pour qu’ils changement d’opinion revient à leur donner l’ordre de devenir homo-compatibles. C’est ce qu’il y a de plus viscéralement répugnant pour n’importe quel homme normal.

Les noirs et les arabes sont aussi très virulents sur ce sujet et comme la France a largement repeuplé ses villes avec ces gens-là, les stades sont mécaniquement bondés de spectateurs très hostiles à l’homosexualité.

C’est encore plus vrai vis-à-vis de l’homosexualité imposée dans les écoles par des travestis qui est désormais l’horizon indépassable des démocraties juives.

Nous entendons beaucoup les médias juifs dire constamment du mal de la police des moeurs iranienne, mais la police des moeurs que les juifs, les femmes blanches et les homosexuels veulent imposer est bien plus oppressive.

En fait, la police des moeurs iranienne est tout à fait banale et sa fonction est de protéger l’homme et son statut dans une société anthropologiquement fonctionnelle. Une société fonctionnelle est définie comme une société où l’homme dirige. Le problème que rencontre l’Iran, c’est que les iraniennes sont d’énormes traînées qui doivent être surveillées en permanence. C’est la même situation en Arabie Saoudite et dans la plupart des pays orientaux.

Cette police n’est pas une cause, mais une conséquence.

Sans police des moeurs, l’Iran serait détruit par OnlyFans, le rap négroïde et les migrants d’Afrique.

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Les raisons de l’existence de cette police en Iran que régurgitent les féministes sont rigoureusement inverses à la réalité. Si les iraniennes n’étaient pas d’énormes traînées, l’Iran n’aurait pas besoin de les surveiller en permanence. Les hommes iraniens préféreraient de beaucoup devoir se passer de cet effort permanent pour juguler la propension de leurs femmes à être des traînées.

En Asie, les femmes sont généralement réservées et tiennent à leur pudeur. Ce sont aussi des sociétés patriarcales, mais elles n’ont pas d’efforts particuliers à faire pour protéger l’ordre social d’une insurrection vaginale.

Plus un pays doit couvrir ses femmes, plus cela veut dire que ces femmes sont des succubes sexuellement déchaînées qu’il faut restreindre radicalement.

La riposte est donc proportionnelle à la rage ovarienne latente au sein d’un peuple donné.

Quand les hommes d’un pays capitulent face à leurs femmes, les portes de l’Enfer s’ouvrent immédiatement. Les femmes s’empressent d’ouvrir la porte au juif, qui s’empresse de l’ouvrir aux fiottes et aux nègres pour enchaîner l’homme autochtone hétérosexuel.

Plus le juif redoute la colère de l’homme autochtone, plus il l’enchaîne, exactement comme ce qui se passe en Iran face au péril vaginal.

C’est comme ça que vous vous retrouvez une police des moeurs LGBT qui a pour fonction de protéger le désordre social que génère l’inversion de toutes les normes anthropologiques. La police des moeurs LGBT consiste à imposer de force tous les comportements morbides possibles à la majorité des gens. Une telle police sémitique va contre l’anthropologie, donc contre la masse du commun et devient donc une organisation tyrannique aux mains d’une minorité composée de lesbiennes hystériques, de juifs et de sodomites.

Dans le cas du football, il y a encore une autre dimension.

Les femmes sont conformistes, adorent les trucs de pédés, mais, surtout, exploitent la moindre occasion pour s’immiscer dans les activités masculines dont elles se sentent exclues. C’est le phénomène de la connasse en couple avec un pote qui arrive en soirée et se met à tout gendarmer pour être au centre de l’attention, ce qui rend l’atmosphère totalement irrespirable. Les femmes détestent le football parce qu’il détourne l’attention des hommes. La police des moeurs LGBT est l’outil idéal pour ruiner toutes les activités masculines et en faire des cours de maintien.

Les juifs se servent de ce besoin permanent des femmes de ruiner les activités masculines pour s’infiltrer et tout saccager.

Comme les hommes blancs sont radicalement opposés à l’idée de reprendre les rênes des mains des garces castratrices, les traînées et les fiottes saccagent tout dans l’impunité totale pour le compte des juifs.

À moment donné, ces traînées devront être remises à leur place et cela suppose un processus physique.

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