Sur Quotidien, Villepin dénonce la « domination de la finance » qui « pèse lourd » sur ceux qui veulent dénoncer les crimes des juifs en Palestine

La rédaction
Démocratie Participative
25 novembre 2023

 

Pierre Laval s’est exprimé chez Yann Barthès.

Avec conviction, il a dénoncé la domination de la finance juive sur les sociétés occidentales, singulièrement américaine et française. Cette domination, dit-il, empêche les gens d’exprimer leur soutien aux palestiniens, victimes d’un effroyable nettoyage ethnique en direct.

Les juifs, qui soutiennent les crimes de leur colonie, fondent un plomb.

L’insoumission de Pierre Laval leur est intolérable.

Zohra Bitan, algérienne maquée à un yid, supplie les juifs d’intervenir, à commencer par Posternak, le mème antisémite vivant.

Ce qui exaspère les juifs, c’est le caractère ambigu de ce genre de déclaration par des membres de la haute société. Surtout lorsque, comme Villepin, il s’agit de vieux Français. Cette ambiguïté ne permet pas de dresser un procès rabbinique en règle, ni le bannissement de l’impétrant. Galouzeau de Villepin pourra continuer d’apparaître ici et là, privant les juifs de la crucifixion qu’ils souhaitent.

Personnellement, je suis un grand partisan de l’antisémitisme de rue, direct, sans nuance, celui qui s’enracine le mieux dans le coeur des masses et qui finira un jour par se transformer en tempête populaire. Ceci dit, dans les salons feutrés de Paris, distiller l’antisémitisme à petite dose est certainement une bonne formule. Cette approche correspond à la lâcheté proverbiale de la bourgeoisie.

Ce qui est certain, c’est que tout le monde connaît la puissance juive, que de nombreux membres de la classe dominante l’acceptent tout en la haïssant, et que le jour où la juiverie chutera, les premiers à se précipiter sur elle, comme le Sénat sur César, seront ceux qui lui auront le plus longtemps servi la soupe, comme ces résistants de la 25e heure en 1944.

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