Thaïs parle de Gaza et c’est bien sûr catastrophique

La rédaction
Démocratie Participative
20 décembre 2023

 

Les femmes en politique sont toujours catastrophiques. Thaïs d’Escufon, qui fait mine de se recycler dans le masculinisme depuis quelques temps, continue à l’occasion de revenir sur la question identitaire.

L’autre jour, BFMTV, qui peine face à CNews, l’a invité pour faire de l’audience. Elle a sorti un truc pas inintéressant en soi sur la dimension raciale du harcèlement sexuel en France.

La rédaction de BFMTV, bien sûr sous la coupe du milliardaire juif Drahi, lui a signifié qu’elle ne remettra pas les pieds sur le plateau à cause de cette sortie.

Les limites d’Escufon ont vite été atteintes.

Escufon ne semble rapprocher le fait que la chaîne qui lui annonce son intention de la censurer en raison de sa critique de l’immigration appartient aux mêmes juifs qui utilisent sa chaîne soeur, I24, pour leur campagne de nettoyage ethnique à Gaza.

Ni que les mêmes font la promotion des films juifs qui appellent au remplacement des indigènes.

Si la même force mène en parallèle ses opérations de nettoyage ethnique en Palestine et organise le Grand Remplacement en France, c’est que les deux procèdent d’une même politique qui vise à renforcer toujours plus les positions de la race juive au détriment des autochtones de ces deux pays, pour ne citer qu’eux.

Si des goyim « identitaires » ne voient pas le rapport, les juifs, eux, le voient.

Non seulement le voient-ils, mais il gouverne leur politique. C’est ce que l’on appelle un système.

L’ennui que nous avons, c’est que beaucoup de gens ne veulent pas se hisser au dessus des commentaires à propos des bougnoules sur les réseaux sociaux. C’est drôle, utile, mais ça ne permet pas de comprendre le système, comment il opère, qui l’anime, ni pourquoi.

Comme sur un piano, le juif peut appuyer sur les différentes touches que sont les segments ethniques et politiques de l’opinion publique et jouer sa musique sans que jamais personne ne remette en cause sa position de chef d’orchestre.

Il peut inviter tout le panel des chiens qui s’entretuent et regarder le spectacle d’un air goguenard.

Ce système dure depuis 1945 et pourrait durer encore des siècles si, de plus en plus, le juif n’était identifié pour la force qui organise le système.

Ceux qui affirment que ce qui se passe à Gaza ne nous regarde pas ont tort. Cela nous regarde car, en raison de la main mise juive sur la France et sa diplomatie, la marine française est déjà mobilisée pour assurer la protection de la colonie juive.

Le conflit ne manquera pas de s’étendre et d’entraîner la France, et d’autres états européens inféodés aux juifs, dans une guerre régionale contre l’Iran.

Devons-nous entrer dans une guerre généralisée contre l’Iran pour garantir la sécurité des familles de Meyer Habib, Gilles-William Goldnadel ou Julien Dray ?

Je ne crois pas que ce soit une position identitaire. Du moins, si l’on est blanc.

La neutralité pourrait vaguement s’entendre si nous ne vivions pas dans un état aussi profondément enjuivé, mais même là, l’action juive contre les pays blancs est si universellement destructrice, notamment aux USA, que feindre de ne pas s’en mêler n’empêcherait pas la juiverie de sévir jusqu’à déjouer cette neutralité.

Rien de ce qui renforce les juifs dans leur position mondiale ne constitue un renforcement des nations blanches, bien au contraire. Si les juifs parvenaient à leurs fins en Europe, le sort de Gaza serait imposé aux Blancs assiégés dans leurs bantoustans.

L’exemple de Romans-sur-Isère l’a parfaitement illustré.

C’est la même chose en Ukraine. Heureusement pour les derniers Ukrainiens, l’armée russe prendra le contrôle du pays et épargnera à ses habitants d’être massivement remplacés par des afro-musulmans au nom de la « reconstruction » planifiée par Black Rock.

Pendant qu’elle est encore fraîche, Thaïs devrait se contenter de vendre ses produits beauté et de laisser ces questions à des hommes.

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