Un spectre hante l’Europe, celui de la Bretagne

La rédaction
Démocratie Participative
02 janvier 2023

 

Les Celtes noirs ont encore frappé.

Au premier coup d’oeil, l’esprit lucide relève le contresens entre le message de la photographie et celui du titre. La première met en scène un étranger ayant remplacé l’indigène, breton en l’espèce, tandis que le second proclame au contraire que l’indigène est « bien vivant ». La tension provient visuellement de la rencontre entre le métis, symbole du déraciné suprême, et du costume traditionnel, symbole de l’enracinement suprême.

Il s’agit ici d’une provocation de l’organe de presse de l’Union Démocratique Bretonne, un petit parti fondé dans les années 1960 par des marxistes staliniens avant de rallier au Parti Socialiste dans les années 1980. Toutefois, on aurait tort de croire que le message est insincère. Ce message, s’il cherche à provoquer, reflète la névrose très profonde des aliénés autochtones qui en sont à l’origine. Cette névrose est le fruit de la tension interne entre l’impératif de préservation tribale propre à l’ethno-régionalisme breton et l’impératif social d’intégration dans la société cosmopolite contemporaine qui se donne pour objectif de casser les cellules organiques traditionnelles (famille, nation, race) au nom de l’antiracisme et de la haine de soi blanche.

Le résultat en est la fétichisation de marqueurs superficiels de l’identité bretonne, réduits ici à un costume folklorique, tandis que l’essentiel, le peuple breton comme communauté biologique, est oblitéré avec enthousiasme.

Nous avons ici la rencontre de trois faits.

Le premier, local, c’est l’aliénation ethno-psychiatrique bretonne. On l’ignore aujourd’hui, mais pendant de nombreux siècles les Bretons étaient réputés être une race belliqueuse qui exportait même ses compétences militaires comme le prouvent les nombreux mercenaires bretons qui servaient en Italie au Moyen-Âge. À ce titre, malgré les efforts des rois de France, les Bretons restaient largement en dehors de l’autorité royale et disposaient d’un véritable état doté d’une armée, d’une monnaie, d’une diplomatie, d’un gouvernement. La destruction de l’État breton à la fin du 15e siècle a précipité un changement psychologique majeur chez ce peuple. Les Bretons ont été soumis, puis progressivement réduits, jusqu’à en intégrer le principe. Toutefois, la monarchie française ne cherchait pas à détruire les Bretons comme peuple, mais à les fédérer au noyau français, ce qui a limité la désarticulation grâce à la conservation des structures sociales héritées de l’indépendance. Cet effort de destruction n’est apparu qu’en 1789, avec une redoutable efficacité.

En cinq siècles, d’une race farouche, frustre et crainte, les Bretons sont devenus des électeurs de centre-gauche. Cette évolution n’est pas exclusive à la Bretagne, elle rappelle le sort des peuples scandinaves qui ont donné les Vikings et qui aujourd’hui sont à l’avant-garde de la dégénérescence raciale. On découvre un phénomène qui suit la destruction de l’État chez ces deux peuples : la montée en puissance des femmes jusqu’à former un véritable matriarcat.

En Bretagne, le Professeur Philippe Carrer a progressivement découvert les ressorts des troubles psychiatriques récurrents observés dans la population bretonne. Les comportements autodestructeurs, comme la plus forte tendance au suicide ou à l’alcoolisme, l’ont encouragé à rechercher d’éventuelles causes.  Il a notamment réalisé que lorsque les enfants bretons représentaient leurs parents, la mère occupait une très grande place et le père, a contrario, était de petite dimension. Le professeur Carrer a rapidement compris qu’une dévalorisation des hommes s’était installée culturellement et avec elle la perte des qualités viriles habituellement associées à l’État : autorité, domination, violence.

Des comportements associés à cette dévalorisation intériorisée par les hommes sont apparus, comme le fatalisme, la dépression, et généralement une baisse de la force de volonté face à la vie. Se surajoutent à cette crise masculine des comportements morbides que sont usage de drogue, d’anti-antoxyolitiques, intoxication alcoolique, etc.. L’homme retiré en lui-même a laissé la place à la femme dominatrice par défaut.

En Bretagne, les femmes sont typiquement castratrices, commandent, parlent beaucoup plus fort que les hommes, lesquels sont souvent dociles et apathiques.

Le second fait, c’est la phase terminale du christianisme. Le christianisme est une religion féminine comme le prouvent les vertus principalement féminines qu’il exalte. Les Bretons n’ont pas cessé d’être chrétiens, ils ont cessé d’être pratiquants. Leurs représentations mentales inconscientes sont restées celles de l’éducation chrétienne qu’ils ont suivie pendant 17 siècles. Avec la montée en puissance des femmes dans la société bretonne qui a résulté de l’effondrement social puis psychologique des hommes, les valeurs féminines chrétiennes sécularisées, volontiers niaiseuses, sont devenues la moyenne des réactions sociales.

La première valeur féminine est la peur atavique du conflit dès lors qu’il a des implications physiques. Pour des raisons évidentes, les femmes veulent que les conflits restent verbaux car elles savent ne pas pouvoir gagner une confrontation physique avec les hommes. Le discours émolient sans-frontiériste est un discours anti-étatique qui procède de la nature féminine.

Cependant, la nature féminine étant ce qu’elle est, si les femmes bretonnes sont castratrices et autoritaires, l’absence d’hommes pour remplir leur fonction anthropologique génère une frustration qui aggrave le regard dépréciatif que les femmes bretonnes portent sur les hommes bretons. La xénophilie pathologique en est l’expression.

Faute d’un état masculin et racialo-centré, l’instinct maternel dégénère pour se fixer sur des sujets exotiques d’importation. Dans certains cas, des femmes bretonnes, bousculées par leur masculinisation, se précipitent en Afrique pour assouvir un instinct maternel dépourvu d’un objet prédéterminé par l’État et l’homme (sa propre continuité biologique, à l’évidence).

C’est ce qui explique pourquoi les Bretons démilitarisés psychologiquement plébiscitent l’immigration au nom d’une charité chrétienne enrobée de synonymes (« solidarité », « fraternité ») qui répond à la fois à une soumission à un envahisseur objectif, mais aussi à un désir sexuel non avoué publiquement de la part de la partie féminine dominante.

C’est tout particulièrement le noir d’Afrique qui exerce un grand pouvoir de fascination sexuelle sur les femmes bretonnes.

Le troisième fait, c’est l’immigration de masse voulue et organisée par le système capitaliste occidental.

Nous sommes au carrefour de trois évolutions :

  • la dégénérescence des hommes bretons après la perte de leur état et l’ascendance tendancielle des femmes dans la société
  • un christianisme psychologique anti-viril qui aggrave la féminisation sociale
  • l’avènement de la société libre-échangiste de marché avec son corollaire qu’est l’immigration de masse

L’anthropologie, la religion et l’économie convergent pour créer cette matrice destructrice que le lecteur n’aura pas manqué d’identifier en France.

La France a emprunté le chemin de la Bretagne. Deux guerres mondiales et la perte de l’empire colonial ont abouti à la fin de l’État français comme véritable état, aujourd’hui réduit au rôle d’administration autonome au sein de l’UE, comme jadis l’État breton fondu dans la monarchie française. Progressivement, l’homme français cesse d’être un soldat pour ne plus être qu’un pourvoyeur moderne pacifié.

Les homosexuels et les femmes blanches cultivent le mépris de l’homme blanc et attendent avec anxiété la libération sexuelle par les hordes d’envahisseurs.

Toute société vaginocentrée devient affectée de dénatalité, puis de sénilité biologique, ce qui aboutit tôt ou tard à l’invasion du pays par des races plus prolifiques, donc plus jeunes et plus fortes comparativement.

Alors quoi faire ?

Il « suffit » d’emprunter le chemin exactement inverse à celui emprunté pour en venir à ce stade de dégénérescence. Il implique prioritairement de rétablir les polarités sexuelles en rétablissant le patriarcat. Ensuite, l’homme doit restaurer l’État, peu importe le périmètre géographique concerné. Enfin, maître de ses femmes et de son sol, il peut chasser les étrangers qui veulent sa disparition.

Soyons précis : cela ne se fait pas séquentiellement, mais parallèlement. Masculinisme, étatisme (au sens politique) et racisme sont trois théâtres d’action intégrés.

Cela ne peut pas se faire sur la base psychologique d’un christianisme mourant, féminin et dévirilisant, mais sur une doctrine raciale, tribale et martiale qui place l’homme au centre de l’ordre social qu’il a la tâche d’organiser.

Au risque de dire l’évidence, tout cela a été abordé dans ces termes par le National-Socialisme, lequel a pressenti la catastrophe en cours et tenté, avec un caractère visionnaire remarquable, de mener une politique sans concession pour traiter à la racine toutes les causes de la mort biologique que nous voyons.

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